transgenre
Le Donald en a ras le bol (et on le comprend) de toutes ces fadaises. Alors, il a sorti la sulfateuse.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps avant que Donald Trump n’annonce interdire les changements de sexe pour mineurs.
Deux joueuses viennent d’annoncer qu’elles se retiraient de la compétition.
Les discussions tenues sur un forum interne entre spécialistes révèlent les graves dérives des soins pour trans.
Le célèbre équipementier australien Rip Curl se prend une grosse shit storm sur les réseaux sociaux.
Cette loi doit permettre d’empêcher les athlètes trans de voler le podium aux femmes.
Selon certains féministes, une personne transgenre est bel et bien une femme comme les autres. Au risque d’effacer le sport féminin ?
Violées, dégradées, effacées par les transgenres, les féministes, autrefois à la pointe du progressisme, sont désormais cantonnées à devenir des TERF, des femmes qui ne reconnaissent pas les femmes transsexuelles comme des femmes, autrement dit des fachos…
Évolutions sociétales obligent, elle apparaît comme le symbole de la cause LGBT et pourrait devenir millionnaire grâce aux défilés de mode, estime un agent d’Hollywood.
Si on accepte massivement des transgenres dans le sport, ce seront les garçons qui gagneront chez les garçons, et les garçons (devenus filles) qui gagneront chez les filles.
Pour son documentaire, où il dénonce la propagande LGBT des GAFA et des médias mainstream sur cette contagion sociétale, Walsh a reçu des menaces de mort, preuve de la tolérance à la contradiction de la gauche mentale.
Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».
Parmi ces heureuses élues, une figure hautement symbolique : Ovida Delect, « une résistante communiste déportée et poéte
Qu’importe la négation de la réalité, qu’importe la subversion de la maternité, Chesterton avait prédit : « Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 »…
Le Sénat de l’État de Louisiane vient de publier un texte de projet de loi (Senate Bill 44) obligeant les sportifs transgenres à ne concourir, pour les tournois universitaires, que dans les compétitions correspondant à leur sexe d’origine.
Chaque jour, nous constatons que l’idéologie transgenre s’installe de plus en plus durablement dans notre société.
« Il est communément admis scientifiquement que le sexe est un spectre. » Horreur dans la chambre des nouveaux mariés.
Quelqu’un peut-il m’expliquer le principe de précaution appliqué aux transitions de genre ?
Face au questionnement psychologique des adolescents en désarroi, la seule issue acceptable semble être la voie de la mutilation et des traitements hormonaux.
Des gamins seront condamnés à ne pas être correctement soignés, et ceux qui tenteraient de le faire subiront les foudres de la loi.
Rappelez-vous, c’était il y a seulement une semaine, les spécialistes tiraient la sonnette d’alarme : « Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l’« enfant transgenre »
50 spécialistes dénoncent vigoureusement un phénomène devenu inquiétant.
À quelques mois des JO de Tokyo, la question est épineuse et le débat fait rage aux États-Unis.
L’Arkansas montre un chemin de résistance, à chacun de suivre le sien.
Les féministes qui comptent partout les pourcentages d’hommes et de femmes ont du souci à se faire.
Le délire progressiste continue, avant-goût tragique de ce qui nous attend en Europe…
Le 20 janvier, jour de son intronisation, Joe Biden a signé un décret qui autorise désormais les athlètes transgenres biologiquement masculins à concourir dans les sports féminins.
Pour ce qui est de Sasha, l’enfant de 8 ans sujet du documentaire d’agit-prop d’Arte, il est esquissé que le diagnostic aurait été bâclé en un court entretien et que sa mère était déçue quant au sexe de l’enfant…
Le Donald en a ras le bol (et on le comprend) de toutes ces fadaises. Alors, il a sorti la sulfateuse.
Il n’aura pas fallu attendre longtemps avant que Donald Trump n’annonce interdire les changements de sexe pour mineurs.
Deux joueuses viennent d’annoncer qu’elles se retiraient de la compétition.
Les discussions tenues sur un forum interne entre spécialistes révèlent les graves dérives des soins pour trans.
Le célèbre équipementier australien Rip Curl se prend une grosse shit storm sur les réseaux sociaux.
Cette loi doit permettre d’empêcher les athlètes trans de voler le podium aux femmes.
Selon certains féministes, une personne transgenre est bel et bien une femme comme les autres. Au risque d’effacer le sport féminin ?
Violées, dégradées, effacées par les transgenres, les féministes, autrefois à la pointe du progressisme, sont désormais cantonnées à devenir des TERF, des femmes qui ne reconnaissent pas les femmes transsexuelles comme des femmes, autrement dit des fachos…
Évolutions sociétales obligent, elle apparaît comme le symbole de la cause LGBT et pourrait devenir millionnaire grâce aux défilés de mode, estime un agent d’Hollywood.
Si on accepte massivement des transgenres dans le sport, ce seront les garçons qui gagneront chez les garçons, et les garçons (devenus filles) qui gagneront chez les filles.
Pour son documentaire, où il dénonce la propagande LGBT des GAFA et des médias mainstream sur cette contagion sociétale, Walsh a reçu des menaces de mort, preuve de la tolérance à la contradiction de la gauche mentale.
Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».
Parmi ces heureuses élues, une figure hautement symbolique : Ovida Delect, « une résistante communiste déportée et poéte
Qu’importe la négation de la réalité, qu’importe la subversion de la maternité, Chesterton avait prédit : « Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 »…
Le Sénat de l’État de Louisiane vient de publier un texte de projet de loi (Senate Bill 44) obligeant les sportifs transgenres à ne concourir, pour les tournois universitaires, que dans les compétitions correspondant à leur sexe d’origine.
Chaque jour, nous constatons que l’idéologie transgenre s’installe de plus en plus durablement dans notre société.
« Il est communément admis scientifiquement que le sexe est un spectre. » Horreur dans la chambre des nouveaux mariés.
Quelqu’un peut-il m’expliquer le principe de précaution appliqué aux transitions de genre ?
Face au questionnement psychologique des adolescents en désarroi, la seule issue acceptable semble être la voie de la mutilation et des traitements hormonaux.
Des gamins seront condamnés à ne pas être correctement soignés, et ceux qui tenteraient de le faire subiront les foudres de la loi.
Rappelez-vous, c’était il y a seulement une semaine, les spécialistes tiraient la sonnette d’alarme : « Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparaît comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de l’« enfant transgenre »
50 spécialistes dénoncent vigoureusement un phénomène devenu inquiétant.
À quelques mois des JO de Tokyo, la question est épineuse et le débat fait rage aux États-Unis.
L’Arkansas montre un chemin de résistance, à chacun de suivre le sien.
Les féministes qui comptent partout les pourcentages d’hommes et de femmes ont du souci à se faire.
Le délire progressiste continue, avant-goût tragique de ce qui nous attend en Europe…
Le 20 janvier, jour de son intronisation, Joe Biden a signé un décret qui autorise désormais les athlètes transgenres biologiquement masculins à concourir dans les sports féminins.
Pour ce qui est de Sasha, l’enfant de 8 ans sujet du documentaire d’agit-prop d’Arte, il est esquissé que le diagnostic aurait été bâclé en un court entretien et que sa mère était déçue quant au sexe de l’enfant…
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