Sécurité routière
Le modèle conçu par la société Idemia se distingue pour son zèle digne d’un garde-chiourme d’internat soviétique.
Comme si l’État avait tout misé sur la très rentable répression des petits excès de vitesse…
La nouvelle campagne de publicité de la Sécurité routière a de quoi laisser pantois.
Selon l’association 40 millions d’automobilistes, la dégradation des radars a commencé bien avant : le 1er juillet 2018, date de l’instauration des 80 km/h.
Pour que soit levée l’obligation de l’éthylotest, après trois à six mois, nous suggérons que soit dosé dans ses cheveux l’éthylglucuronide.
L’intelligence sera peut-être artificielle ; mais la bêtise, elle, demeure humaine.
Que cette initiative soit propre à modifier profondément les habitudes de consommation du samedi soir, il est permis d’en douter…
Le procureur de la République de Roanne vient de requérir de deux à quatre mois de prison contre un automobiliste jugé « pour outrage à une personne chargée d’une mission de service public ».
La seule technologie moderne mise en œuvre par l’autorité publique est le radar, réseau préventif mais surtout répressif.
Les chiffres, très sérieux, sont ceux du dernier rapport de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière. Et ils sont nets.
Il est temps de taper fort sur le bitume pour adapter le réseau au trafic moderne et réel.
Dans cette ambiance de réglementation routière chaque jour un peu plus restrictive, posséder un véhicule récent est un peu comme acheter un piano à queue pour jouer « Au clair de la lune ».
Après la chasse aux véhicules dans les centres-villes, c’est maintenant au noyau dur de ce qui fait la conduite automobile que le gouvernement s’en prend.
Dans ce contexte essentiellement répressif, la place réservée à la prévention est infime.
Au début, on vous fait croire, Français, qu’on ne vous prend pas pour des cons.
Antoine Armstrong dénonce l’expérimentation en cours pour privatiser les radars embarqués.
Parmi les facteurs qui ont certainement contribué à réduire la mortalité sur les routes, il y a indubitablement la vitesse.
Le modèle conçu par la société Idemia se distingue pour son zèle digne d’un garde-chiourme d’internat soviétique.
Comme si l’État avait tout misé sur la très rentable répression des petits excès de vitesse…
La nouvelle campagne de publicité de la Sécurité routière a de quoi laisser pantois.
Selon l’association 40 millions d’automobilistes, la dégradation des radars a commencé bien avant : le 1er juillet 2018, date de l’instauration des 80 km/h.
Pour que soit levée l’obligation de l’éthylotest, après trois à six mois, nous suggérons que soit dosé dans ses cheveux l’éthylglucuronide.
L’intelligence sera peut-être artificielle ; mais la bêtise, elle, demeure humaine.
Que cette initiative soit propre à modifier profondément les habitudes de consommation du samedi soir, il est permis d’en douter…
Le procureur de la République de Roanne vient de requérir de deux à quatre mois de prison contre un automobiliste jugé « pour outrage à une personne chargée d’une mission de service public ».
La seule technologie moderne mise en œuvre par l’autorité publique est le radar, réseau préventif mais surtout répressif.
Les chiffres, très sérieux, sont ceux du dernier rapport de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière. Et ils sont nets.
Il est temps de taper fort sur le bitume pour adapter le réseau au trafic moderne et réel.
Dans cette ambiance de réglementation routière chaque jour un peu plus restrictive, posséder un véhicule récent est un peu comme acheter un piano à queue pour jouer « Au clair de la lune ».
Après la chasse aux véhicules dans les centres-villes, c’est maintenant au noyau dur de ce qui fait la conduite automobile que le gouvernement s’en prend.
Dans ce contexte essentiellement répressif, la place réservée à la prévention est infime.
Au début, on vous fait croire, Français, qu’on ne vous prend pas pour des cons.
Antoine Armstrong dénonce l’expérimentation en cours pour privatiser les radars embarqués.
Parmi les facteurs qui ont certainement contribué à réduire la mortalité sur les routes, il y a indubitablement la vitesse.