Agriculteurs
L’OFB, tristement connue pour sa police zélée des agriculteurs, a été épinglée par la Cour des comptes.
Un détail de la loi d’orientation agricole actuellement examinée à l’Assemblée nationale ulcère les agriculteurs.
Ce mauvais cru 2024 se traduira par « des baisses de trésorerie entre 30.000 et 50.000 euros » dans les fermes !
Avec ce blocage à la frontière, les agriculteurs manifestent à nouveau leur colère, seul moyen de se faire entendre
Le projet de loi agricole adopté à l’Assemblée mardi 28 mai n’est pas à la hauteur des enjeux de l’agriculture.
La communauté des lecteurs de BV n’est pas un vain mot, comme le montre cette histoire.
Il en faudra sans doute plus pour calmer la colère, l’incompréhension et, surtout, remettre l’agriculture au centre.
Ce n’est pas la première fois que Philippe Caverivière s’en prend aux « sans dents ».
Cette semaine, Bruno Le Maire rajeunit, des agriculteurs dépannent des gendarmes et une garde à vue en bonne compagnie ! Retrouvez, chaque vendredi, le meilleur
Quel symbole que ces gens de la terre protestant à la porte même de l’Union européenne !
Le spécimen Attal réunit tous les dehors du citadin qui ne connaît des champs de blé que l’emballage des biscottes bio.
L’un des points positifs pourrait être la fin de l’instrumentalisation des forces de l’ordre lors des conflits sociaux.
Les trois personnes présentes dans cette voiture bélier étaient de nationalité étrangère.
Hausse des coûts, des charges, des normes : nos agriculteurs nous nourrissent mais se meurent.
Macron se retrouve en première ligne, avec un Gabriel Attal dont l’expérience du monde agricole est inexistante.
Les agriculteurs allemands protestent contre la fin des subventions au diesel agricole et contre la PAC, entre autres…
Nos agriculteurs sont bel et bien au cœur d’un enjeu politique majeur.
Vols à répétition, attaques contre leur profession, vandalisme des écolos… Les agriculteurs sont à bout.
L’éleveur du Cantal n’a pas sa langue dans sa poche. Parmi les images de couchers de soleil, de prés enneigés et de vêlages, il partage au quotidien les nombreuses difficultés, voire la détresse, des agriculteurs.
En cause, des normes françaises bien plus exigeantes que les normes européennes, plaçant l’agriculture française dans un phénomène de concurrence déloyale face aux autres pays de l’Union européenne.
Les pratiques agricoles les plus normales peuvent engendrer quelques nuisances sonores, olfactives et autres : cela s’appelle la vie.
Pour répondre à cette crise du lait qui s’annonce, il a appelé Marc Fesneau à actionner deux leviers.
Blocage de routes, d’aéroports, de centre de distribution alimentaire. Aux Pays-Bas, le monde agricole se mobilise contre le projet de loi radical du gouvernement visant à réduire les rejets d’azote.
Trop habitués au canapé et à Netflix, les citadins oublient que les habitants des campagnes travaillent.
« Je me suis retrouvé en slip pour une palpation. Puis nous avons été conduits dans des box ou je ne mettrais pas mon chien tellement l’odeur est forte ».
« Ce qui serait normal, c’est qu’on puisse indexer le prix de nos produits sur le prix des matières premières, et aujourd’hui, on ne peut pas, c’est une honte »
Pour que les Français puissent continuer à manger de la viande, il faudra bientôt l’importer des antipodes
Retour, donc, au travail de la terre. L’État s’appuie sur la famille et encourage au patriotisme économique. Et dire qu’on est en Macronie !
L’OFB, tristement connue pour sa police zélée des agriculteurs, a été épinglée par la Cour des comptes.
Un détail de la loi d’orientation agricole actuellement examinée à l’Assemblée nationale ulcère les agriculteurs.
Ce mauvais cru 2024 se traduira par « des baisses de trésorerie entre 30.000 et 50.000 euros » dans les fermes !
Avec ce blocage à la frontière, les agriculteurs manifestent à nouveau leur colère, seul moyen de se faire entendre
Le projet de loi agricole adopté à l’Assemblée mardi 28 mai n’est pas à la hauteur des enjeux de l’agriculture.
La communauté des lecteurs de BV n’est pas un vain mot, comme le montre cette histoire.
Il en faudra sans doute plus pour calmer la colère, l’incompréhension et, surtout, remettre l’agriculture au centre.
Ce n’est pas la première fois que Philippe Caverivière s’en prend aux « sans dents ».
Cette semaine, Bruno Le Maire rajeunit, des agriculteurs dépannent des gendarmes et une garde à vue en bonne compagnie ! Retrouvez, chaque vendredi, le meilleur
Quel symbole que ces gens de la terre protestant à la porte même de l’Union européenne !
Le spécimen Attal réunit tous les dehors du citadin qui ne connaît des champs de blé que l’emballage des biscottes bio.
L’un des points positifs pourrait être la fin de l’instrumentalisation des forces de l’ordre lors des conflits sociaux.
Les trois personnes présentes dans cette voiture bélier étaient de nationalité étrangère.
Hausse des coûts, des charges, des normes : nos agriculteurs nous nourrissent mais se meurent.
Macron se retrouve en première ligne, avec un Gabriel Attal dont l’expérience du monde agricole est inexistante.
Les agriculteurs allemands protestent contre la fin des subventions au diesel agricole et contre la PAC, entre autres…
Nos agriculteurs sont bel et bien au cœur d’un enjeu politique majeur.
Vols à répétition, attaques contre leur profession, vandalisme des écolos… Les agriculteurs sont à bout.
L’éleveur du Cantal n’a pas sa langue dans sa poche. Parmi les images de couchers de soleil, de prés enneigés et de vêlages, il partage au quotidien les nombreuses difficultés, voire la détresse, des agriculteurs.
En cause, des normes françaises bien plus exigeantes que les normes européennes, plaçant l’agriculture française dans un phénomène de concurrence déloyale face aux autres pays de l’Union européenne.
Les pratiques agricoles les plus normales peuvent engendrer quelques nuisances sonores, olfactives et autres : cela s’appelle la vie.
Pour répondre à cette crise du lait qui s’annonce, il a appelé Marc Fesneau à actionner deux leviers.
Blocage de routes, d’aéroports, de centre de distribution alimentaire. Aux Pays-Bas, le monde agricole se mobilise contre le projet de loi radical du gouvernement visant à réduire les rejets d’azote.
Trop habitués au canapé et à Netflix, les citadins oublient que les habitants des campagnes travaillent.
« Je me suis retrouvé en slip pour une palpation. Puis nous avons été conduits dans des box ou je ne mettrais pas mon chien tellement l’odeur est forte ».
« Ce qui serait normal, c’est qu’on puisse indexer le prix de nos produits sur le prix des matières premières, et aujourd’hui, on ne peut pas, c’est une honte »
Pour que les Français puissent continuer à manger de la viande, il faudra bientôt l’importer des antipodes
Retour, donc, au travail de la terre. L’État s’appuie sur la famille et encourage au patriotisme économique. Et dire qu’on est en Macronie !