Politique
Élisabeth Borne est restée près de deux ans en fonction et a échoué sur tout : sécurité, pouvoir d’achat, éducation…
L’important, c’est de changer, de tenir la France en haleine, de montrer qu’on détient encore la foudre des nominations.
Il faut se tourner vers les pompiers et les assureurs pour obtenir, par recoupement, un ordre de grandeur.
La gauche n’est jamais aussi belle lorsqu’elle joue à se faire peur.
Des préfectures sont peu regardantes sur le niveau de français de certains et rejettent ces gens parfaitement intégrés.
Sa popularité fraîche pourrait remettre sur la table l’hypothèse de sa nomination à Matignon. Ou d’une dissolution.
En France, aussi, un Président médiocre et déconnecté essaie de se maintenir au pouvoir par des incantations.
C’est l’usage trop fréquent d’une malhonnêteté foncière qui disqualifie les politiques aux yeux du peuple ordinaire.
« La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens. »
Voilà qui n’est pas très clair, mais c’est beau, à condition de goûter au lyrisme de sous-préfecture.
Le jeudi avant Noël, en plein conseil municipal, les gendarmes ont perquisitionné l’hôtel de ville de Nice.
Question au début d’une nouvelle année : tous les ministres ont-ils bien marqué la France de leur empreinte ?
Remaniement ou pas, Macron gardera le manche du pouvoir et le cap mondialiste.
Cette dernière « darmaninade » vaut son pesant de mauvaise foi. Ou de graves difficultés en arithmétique.
François Belley milite pour un retour aux fondamentaux de l’action politique : moins de com’, plus d’action.
Quel sinistre « communicant » a eu l’idée de cet alignement de drapeaux ?
Sur le ton d’un curé de campagne s’adressant à ses ouailles, père Macron annonce un 2024 chatoyant.
Jacques Delors fut un acteur zélé de la construction d’un État impérial européen sur les ruines de notre liberté…
Un problème pour le RN, la popularité insolente de Jordan Bardella ? Euh, d’abord un problème pour les autres !
On se demande bien à quoi sert tant d’agitation…
Emporter une élection présidentielle, ça se mérite avant de possiblement la gagner.
Parce que la grande cause de l’égalité entre les femmes et les hommes est une question pressante.
Brasse coulée ? Les garçons de bain se posent encore la question dans les vestiaires.
Le problème des mots, c’est qu’à force de les rabâcher à tout propos, ils perdent leur sens et toute leur force.
Il y a ceux qui sont faits pour accrocher les étoiles et ceux dont la vie se passe à avoir les boules.
Serait-il possible de cesser de prendre les électeurs pour des idiots ?
Après la « séquence loi Immigration » faite de rebondissements, la question se pose.
Quelle que soit sa décision, ce que le Conseil constitutionnel validera, c’est d’abord le discrédit du macronisme.
Élisabeth Borne est restée près de deux ans en fonction et a échoué sur tout : sécurité, pouvoir d’achat, éducation…
L’important, c’est de changer, de tenir la France en haleine, de montrer qu’on détient encore la foudre des nominations.
Il faut se tourner vers les pompiers et les assureurs pour obtenir, par recoupement, un ordre de grandeur.
La gauche n’est jamais aussi belle lorsqu’elle joue à se faire peur.
Des préfectures sont peu regardantes sur le niveau de français de certains et rejettent ces gens parfaitement intégrés.
Sa popularité fraîche pourrait remettre sur la table l’hypothèse de sa nomination à Matignon. Ou d’une dissolution.
En France, aussi, un Président médiocre et déconnecté essaie de se maintenir au pouvoir par des incantations.
C’est l’usage trop fréquent d’une malhonnêteté foncière qui disqualifie les politiques aux yeux du peuple ordinaire.
« La Cour des comptes a pour mission de s’assurer du bon emploi de l’argent public et d’en informer les citoyens. »
Voilà qui n’est pas très clair, mais c’est beau, à condition de goûter au lyrisme de sous-préfecture.
Le jeudi avant Noël, en plein conseil municipal, les gendarmes ont perquisitionné l’hôtel de ville de Nice.
Question au début d’une nouvelle année : tous les ministres ont-ils bien marqué la France de leur empreinte ?
Remaniement ou pas, Macron gardera le manche du pouvoir et le cap mondialiste.
Cette dernière « darmaninade » vaut son pesant de mauvaise foi. Ou de graves difficultés en arithmétique.
François Belley milite pour un retour aux fondamentaux de l’action politique : moins de com’, plus d’action.
Quel sinistre « communicant » a eu l’idée de cet alignement de drapeaux ?
Sur le ton d’un curé de campagne s’adressant à ses ouailles, père Macron annonce un 2024 chatoyant.
Jacques Delors fut un acteur zélé de la construction d’un État impérial européen sur les ruines de notre liberté…
Un problème pour le RN, la popularité insolente de Jordan Bardella ? Euh, d’abord un problème pour les autres !
On se demande bien à quoi sert tant d’agitation…
Emporter une élection présidentielle, ça se mérite avant de possiblement la gagner.
Parce que la grande cause de l’égalité entre les femmes et les hommes est une question pressante.
Brasse coulée ? Les garçons de bain se posent encore la question dans les vestiaires.
Le problème des mots, c’est qu’à force de les rabâcher à tout propos, ils perdent leur sens et toute leur force.
Il y a ceux qui sont faits pour accrocher les étoiles et ceux dont la vie se passe à avoir les boules.
Serait-il possible de cesser de prendre les électeurs pour des idiots ?
Après la « séquence loi Immigration » faite de rebondissements, la question se pose.
Quelle que soit sa décision, ce que le Conseil constitutionnel validera, c’est d’abord le discrédit du macronisme.
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