Manifestation des gilets jaunes
Tous ces leaders-là, chacun avec ses postures, ne sont pas très sérieux.
Le peuple français s’est révolté. Le gouvernement s’est entêté.
Décidément, il faut qu’Emmanuel Macron soit en dehors de son pays pour exprimer ce qu’il pense tout bas en son palais de l’Élysée.
Une idée, pour finir : et si on lançait un concours de lettres d’excuses à Emmanuel Macron.
L’État indemnisera-t-il les victimes des violences policières ?
On note des instructions très professionnelles mais avec des effectifs épuisés ou non professionnels, et l’inverse.
Un monde où chacun sera le guetteur de l’autre se prépare sous nos yeux. Pauvre police française !
Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.
La bataille n’est plus celle du nombre. Désormais, la bataille est celle de l’image, de la communication et du récit.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
On devrait relire le dernier tome du Livre du Graal en prose, La Mort du roi Arthur. On y croise des fées et des vavasseurs…
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
Face au nouveau péril jaune, Emmanuel Macron semble faire feu de tout bois…
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
Par chance pour le gouvernement, le mécontentement des Françaises et des Français est protéiforme, ce qui évite que les manifestations ne s’agrègent, pour l’instant, en un soulèvement plus globalement radical.
Jusqu’à mercredi soir, j’étais prêt à me joindre, une nouvelle fois, aux manifestants dont j’appréciais la pureté des intentions…
Nicolas Tardy-Joubert réagit à l’annonce de la constitution d’une liste gilets jaunes, menée par Ingrid Levavasseur, en vue des élections européennes. Il s’interroge sur les
Ils vont tout droit où « on » voulait les mener et ils vont se fracasser !
Certes, la liberté doit être défendue par tous les moyens, mais ce n’est pas dans on ne sait quelle autogestion généralisée, somme d’individualismes sourcilleux, que le peuple français trouvera son chemin.
Contester la réalité d’une blessure et donc le statut même d’une victime, c’est faire subir à la victime une seconde agression – morale.
On serait intéressé de connaître la fréquence d’emploi de cette arme dans ces coins de France qui doivent faire l’objet de cette fameuse « reconquête républicaine ».
Son nom est déjà revenu dans l’actualité la semaine dernière. À deux reprises, et en relation avec la crise des gilets jaunes. Mais en suscitant un certain malaise.
S’il est des drapeaux que les gilets jaunes refusent de voir dans leurs manifestations, ce sont ceux du camp qui cherche à les récupérer.
Samedi 19 janvier, acte X des gilets jaunes à Paris. Boulevard Voltaire était présent. https://www.youtube.com/watch?v=Kedvlz4_fl8&feature=youtu.be
De même, s’il y a manifestement plus de femmes sur les ronds-points que dans les thés dansants du mouvement #MeToo, il doit s’agir d’un malentendu.
Alors, quand enfin il te parlera, dans trois mois, pour te prier de voter aux élections européennes pour le candidat de son parti…
Les forces vives de la nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.
Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Tous ces leaders-là, chacun avec ses postures, ne sont pas très sérieux.
Le peuple français s’est révolté. Le gouvernement s’est entêté.
Décidément, il faut qu’Emmanuel Macron soit en dehors de son pays pour exprimer ce qu’il pense tout bas en son palais de l’Élysée.
Une idée, pour finir : et si on lançait un concours de lettres d’excuses à Emmanuel Macron.
L’État indemnisera-t-il les victimes des violences policières ?
On note des instructions très professionnelles mais avec des effectifs épuisés ou non professionnels, et l’inverse.
Un monde où chacun sera le guetteur de l’autre se prépare sous nos yeux. Pauvre police française !
Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.
La bataille n’est plus celle du nombre. Désormais, la bataille est celle de l’image, de la communication et du récit.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
On devrait relire le dernier tome du Livre du Graal en prose, La Mort du roi Arthur. On y croise des fées et des vavasseurs…
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
Face au nouveau péril jaune, Emmanuel Macron semble faire feu de tout bois…
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
Par chance pour le gouvernement, le mécontentement des Françaises et des Français est protéiforme, ce qui évite que les manifestations ne s’agrègent, pour l’instant, en un soulèvement plus globalement radical.
Jusqu’à mercredi soir, j’étais prêt à me joindre, une nouvelle fois, aux manifestants dont j’appréciais la pureté des intentions…
Nicolas Tardy-Joubert réagit à l’annonce de la constitution d’une liste gilets jaunes, menée par Ingrid Levavasseur, en vue des élections européennes. Il s’interroge sur les
Ils vont tout droit où « on » voulait les mener et ils vont se fracasser !
Certes, la liberté doit être défendue par tous les moyens, mais ce n’est pas dans on ne sait quelle autogestion généralisée, somme d’individualismes sourcilleux, que le peuple français trouvera son chemin.
Contester la réalité d’une blessure et donc le statut même d’une victime, c’est faire subir à la victime une seconde agression – morale.
On serait intéressé de connaître la fréquence d’emploi de cette arme dans ces coins de France qui doivent faire l’objet de cette fameuse « reconquête républicaine ».
Son nom est déjà revenu dans l’actualité la semaine dernière. À deux reprises, et en relation avec la crise des gilets jaunes. Mais en suscitant un certain malaise.
S’il est des drapeaux que les gilets jaunes refusent de voir dans leurs manifestations, ce sont ceux du camp qui cherche à les récupérer.
Samedi 19 janvier, acte X des gilets jaunes à Paris. Boulevard Voltaire était présent. https://www.youtube.com/watch?v=Kedvlz4_fl8&feature=youtu.be
De même, s’il y a manifestement plus de femmes sur les ronds-points que dans les thés dansants du mouvement #MeToo, il doit s’agir d’un malentendu.
Alors, quand enfin il te parlera, dans trois mois, pour te prier de voter aux élections européennes pour le candidat de son parti…
Les forces vives de la nation ont été ainsi épuisées par quarante ans de libéral-socialisme parasitaire.
Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.