Match racailles contre CRS : 4 à 1
Au fronton de l’Arc de Triomphe, « Fiers d’être bleus » s’est inscrit en lettres de lumière. Quelques mètres plus bas, le drugstore Publicis est en état de siège… Inutile de décrire le chaos dans toutes les villes françaises, les incendies, les caillassages, les pillages, les actes de vandalisme, les gaz lacrymogènes… L’état de la France est tout entier résumé dans cette image nocturne du haut des Champs-Élysées. La fierté en haut, la honte en bas.
En haut, Macron commence sa tournée générale de bibises sur le front des joueurs. En bas, au même moment, des groupes cagoulés se répandent dans les rues, bien décidés à tout casser, tout voler… On est les champions ! Champions du monde du bordel et de l’anarchie dus à un angélisme indécrottable. Champion du suicide programmé. Victoire du football et défaite de la pensée politique en vogue depuis des décennies. Comme un thermomètre de l’état du pays, les deux Coupes du monde remportées viennent mettre en évidence l’aggravation de cette volonté de détruire la France de la part de populations dites des « quartiers ». Oh, les sauvageons !
La présence de nombreux joueurs d’origine africaine dans l’équipe n’a en rien apaisé les esprits. Auprès des plus belliqueux, le message est reçu comme un encouragement à affirmer sa suprématie. Le signe d’une conquête en cours. Les angelots du mondialisme n’ont toujours pas compris que la sacro-sainte tolérance qu’ils prônaient depuis des lustres était vécue par les « concernés » comme une faiblesse.
Le ministère de l’Intérieur claironnait être prêt en vue de ce déferlement de pseudo-liesse. 12.000 policiers répartis un peu partout sur le territoire. « Sortez tranquilles, braves gens, nous avons la situation en main. » Face à des violences prévisibles, preuve est faite, une fois de plus, qu’ils n’ont rien en main du tout. Qu’ils ne contrôlent rien, ne peuvent rien, qu’ils sont plus faibles que ceux d’en face… Pour l’équipe de France chargée de la sécurité, la partie est perdue. Gérard Collomb ne descendra pas les Champs-Élysées sous les hourras de la foule. Ou bien derrière le car des Bleus, plongé dans un tonneau de goudron et enduit de plumes. « Ils ont gagné ! » suivi de « Il a perdu ! »
De son côté, Emmanuel Macron a traité cette victoire comme on réalise un spot de pub. Enthousiasme forcé. Gesticulations surjouées. Certains ont craint qu’il lance Brigitte en l’air lorsqu'un but était marqué. Ah, il en a fait des tonnes. Sautillant sous le regard perplexe de Poutine… « C’est ce clown qui dirige la France ? » semblait-il penser. Macron va-t-il aller casser une ou deux vitrines pour manifester sa joie ? Se mettre la banlieue dans la poche ? Il peut le faire !
Sans surprise, les médias drogués au politiquement correct s’attardent peu sur la face sombre de la fête. En page d’accueil de BFM TV, tout n’est que liesse, joie et magnificence. Seul un tout petit encart fait allusion à d’éventuels troubles qui peut-être… Enfin, faut voir. Peut-être une "fake news" ? L’œuvre de complotistes... 2022 : Coupe du monde au Qatar. Les Français pourraient prier pour que leur équipe ne gagne pas.
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