Nous vivons une situation politique qui relève de l’épouvante.

Nous avons, dans toutes les administrations, des personnages qui tentent de saborder l’Éducation nationale, la Justice, la police et s’incrustent jusque dans les allées du pouvoir.

Nous avons connu, cet été, un "camp d’été décolonial" interdit aux Blancs. Nous avons un parti politique, à l’Assemblée, qui soutient le racisme anti-blanc du PIR (Parti des indigènes de la République), l’association d’Houria Bouteldja. Nous connaissons cette justice française si dure pour les Français en général et si douce pour des agresseurs considérés comme des « victimes » du fait de leurs origines, à qui il faut accorder des circonstances atténuantes, et libérés sans qu’ils aient eu une quelconque journée de prison à faire, voire reçu des sanctions véritablement dissuasives.

Nous subissons les attaques de « républicains » qui plantent leurs dents acérées dans le dos des curés simplement parce qu’ils sont curés et ne s’émeuvent guère lorsque l’un d’eux est décapité !

Les mêmes qui veulent abattre toutes les croix de France et de Navarre, les calvaires et supprimer les saints dans le calendrier, etc.

Tous se font la courte échelle avec une volonté de destruction des symboles de notre culture gréco-latine et judéo-chrétienne. Se voulant plus Robespierre que Saint-Just. Plus Turreau que Carrier dans l’ignoble. Ils paradent comme des Mao, des Pol Pot en devenir, sans que personne ne songe à les contester !

Nous vivons aujourd’hui, par l’intermédiaire de SUD Solidaires, une incroyable perversion du syndicalisme qui consiste à diffuser de la formation raciste anti-blanc à des enseignants syndiqués, chargés de prêcher la bonne parole aux élèves.

Le SIEL, parti de droite nationale, lance un appel à une manifestation le 12 décembre 2017. Il serait urgent que cette manifestation soit un succès et prouve que la France est encore vaillante.

Nous devons démontrer notre attachement aux vraies valeurs de notre France millénaire. Celles de nos rois, nos empereurs, des quelques grands hommes des Républiques, et qui furent les architectes de cette France des villes et des campagnes.

Rien à voir avec ces héritiers actuels. Ces admirateurs de 1789. Ces oublieux du génocide vendéen, de ces milliers de morts dans les prisons, les rues, sous les guillotines, et des noyades de la Loire. Pas plus qu’avec ces communistes, héritiers de Gracchus Babeuf, traîtres à la nation, collaborateurs jusqu’en juin 1941, résistants sur l’ordre de Staline et bouffeurs de curés à toutes les sauces. Rouge de préférence, bien sanguine !

Nous vivons, sans que beaucoup de Français le réalisent vraiment, une époque charnière qui fera que, demain, tous les Français amoureux de la France et des libertés devront surmonter leurs différences d’opinions et accepter enfin de s’unir. Sinon, nous allons laisser à nos enfants un pays qui sera rayé des cartes et ne sera plus qu’une province métissée de l’Union européenne, sous protectorat islamique.

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22 novembre 2017 à 18:48

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