Compagnes des djihadistes : la France doit reprendre d’urgence sa souveraineté
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a donc tranché, ce 14 septembre. La France est priée de réexaminer au plus vite les requêtes des familles de djihadistes, femmes et enfants de ces guerriers de l'islam partis combattre en Syrie. Et d'ouvrir grand ses bras.
Deux couples avaient saisi la Cour pour obtenir le rapatriement de leurs filles, deux jeunes femmes compagnes de djihadistes, et leurs trois petits-enfants. Ils ont obtenu raison. La France doit organiser « le rapatriement de leurs filles et de leurs petits-enfants retenus dans les camps du nord-est de la Syrie administrés par les Forces démocratiques syriennes (FDS) ». Car le refus de la France de les récupérer expose ces aventurières et leurs enfants, selon la CEDH, « à des traitements inhumains et dégradants contraires à l’article 3 de la Convention ». Comme si les centaines de victimes françaises de cette idéologie ne comptaient pas. Comble de l’humiliation : la France doit verser une « satisfaction équitable suffisante pour tout dommage moral pouvant avoir été subi par les requérants », soit 18.000 euros et 13.200 euros aux deux familles requérantes pour frais et dépens.
Il y a pourtant quelques motifs de satisfaction dans cette décision ahurissante de la CEDH. D’abord, elle provoque une bronca à droite, transcendant les habituels clivages.
Une fois de plus la souveraineté juridique de la France est confisquée par la cedh. Il faut inscrire dans la constitution que pour tout ce qui concerne les intérêts vitaux de la nation, le dernier mot revient aux élus du peuple français et non à des juges nommés. https://t.co/VzRiLcoIsq
— Bruno Retailleau (@BrunoRetailleau) September 14, 2022
Chaque juge de la #CEDH devrait accueillir sous son toit des familles de terroristes islamistes, devrait faire jouer ses enfants avec ces bombes à retardement.
Il y a un droit supérieur à tous les autres : le droit à la sécurité des Français ! https://t.co/yLxwocq6FE
— Julien ODOUL (@JulienOdoul) September 14, 2022
La France condamnée ce matin par la #CEDH pour son refus de rapatrier des femmes djihadistes de Syrie : et si on commençait par appliquer l'article 15, la vie de la Nation étant bien menacée par l’islamisme radical ?
Lisez et vous comprendrez la lâcheté de nos gouvernants ! pic.twitter.com/rmNb5gLvBZ— Gilbert Collard (@GilbertCollard) September 14, 2022
La CEDH interfère une nouvelle fois dans l’exercice de la souveraineté française en demandant un réexamen des demandes de rappariements des femmes jihadistes détenues en Syrie.
La France doit pouvoir choisir qui elle veut ou non sur son territoire national !
— Eric Ciotti (@ECiotti) September 14, 2022
Ensuite, cette décision dévoile clairement aux Français les conséquences des choix tragiques de nos dirigeants. L’immigration a amené en France, entre autres, un islam si radical qu’il incite des hommes, des femmes et des enfants nés au pays de Voltaire à risquer leur vie en Syrie, pour les intérêts du djihad. Ce constat remplace de longs discours sur l’état d’une partie de la population vivant en France, sur les banlieues dans lesquelles ces fous dangereux ont puisé leur idéologie et leurs résolutions, sur le désastre d’une immigration hors de contrôle qui enfante des monstres. De quoi ouvrir les yeux des derniers Français encore endormis ?
La décision de la CEDH éclaire, par ailleurs, notre dépendance envers ces organismes supranationaux non élus qui ligotent le pays, avec son accord, même lorsqu’il s’agit de protéger la vie de nos concitoyens. L’Europe apparaît ici pour ce qu’elle est, une camisole de force qui empêche les peuples d’exercer la défense légitime de leurs intérêts vitaux.
Enfin, il faut lire cette décision dans le détail pour en percer les contradictions. Le principe de base est clairement énoncé : « Sur le fond, la Cour juge tout d’abord que les ressortissantes françaises et leurs enfants ne bénéficient pas d’un droit général au rapatriement au titre du droit d’entrée sur le territoire national garanti par l’article 3 § 2 du Protocole numéro 4. » Mais voilà, le texte évoque aussi la « violation de l’article 3 § 2 du Protocole n° 4 ("Nul ne peut être privé du droit d’entrer sur le territoire de l’État dont il est le ressortissant") de la Convention européenne des droits de l’homme ». Et tient compte des responsabilités de l’État face à « l’intégrité physique et la vie des nationaux retenus dans les camps, en particulier celles des enfants ».
Alors, peut-on sortir de la CEDH ? Bien sûr ! La Convention européenne des droits de l’homme prévoit, comme toute convention, une clause de dénonciation, dans son article 58. Il faut attendre cinq ans après la ratification (un délai échu pour la France), puis donner un préavis de six mois au secrétaire général du Conseil de l’Europe. Au terme de ces six mois, la France ne pourrait plus être sanctionnée par la Cour européenne des droits de l’homme pour toute action réalisée postérieurement à sa sortie.
Une indispensable bouffée d’air, de liberté et de souveraineté.
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58 commentaires
Le gros point noir de notre pays c’est de n’être plus un pays SOUVERAIN. Il faut absolument que ça change sinon, la France partira à l’égout. Avez-vous enfin vu et compris que nous sommes déjà dans le caniveau ?
il faut sortir de la CEDH et voter une loi dans la constitution pour une protection totale de la france et
des Français
Franchement, voir la bobine de Retailleau et de Ciotti m’insupporte. C’est leur parti qui a transféré notre souveraineté à l’Ue. Heureusement, qu’ils sont gaullistes!
Quel éparpillement sciemment orchestré de » causes » et » d’effets » , toutes ces » entités-bidons » qui décident pour nous à BRUXELLES .
Assez de palabres et analyses inutiles .
LA SEULE SOLUTION pour que la FRANCE retrouve sa Souveraineté est SORTIR DE CETTE UNION EUROPÉENNE .
FREXIT !
La CEDH outre passe ses droits, nous sommes combattus par des gens qui utilisent les droits de l’homme contre nous que nous somme à l’origine de ce concept mais surtout pas eux. Rapatrier des personnes qui ont reniés leur appartenance, c’est une ineptie et de plus anti morale. Être contre la peine de mort, cette chose bien trop douce comparé à l’état d’esprit de ces gens là, c’est normal mais par contre, rouvrir des bagnes sans espoir d’en sortir vivant, deviens une nécessité urgente et alors ils ne demanderaient plus d’être rapatrié dont ce mot de rapatrié ne leur conviens par du tout pour ces gens là qui se sont expatrié volontairement.
Oui ! c’est urgent que la France retrouve sa souveraineté mais en attendant, disons-le, c’est édifiant et le terme est désuet pour qualifier ça. Si le rôle de la CEDH est de sauvegarder les droits et libertés fondamentales de l’homme, elle n’a donc pas le droit de nous imposer de prendre en charge les familles de barbares au risque d’aggraver plus encore le péril dans lequel nous sommes déjà. Ces familles en leur temps, ont choisi le camp de la barbarie, c’est simple, qu’elles y restent. Pourquoi avoir des états d’âme ? ce n’est pas à nous d’en subir les conséquences. Ce n’est pas parce que nous sommes le pays des DROITS de l’HOMME que nous devrions accepter de récupérer les déchets de la planète. Au contraire, si nous sommes le pays des DROITS de L’HOMME, ça donne le DROIT à notre Gouvernement de REFUSER afin de PROTEGER son peuple de ces barbares. Nous avons déjà ce qu’il faut depuis trop longtemps et qui non seulement sont un sérieux danger pour la France mais un coût colossal alors que nous sommes endettés pour très longtemps.
Préavis pour récupérer son indépendance, mdr !
On pourrait se poser la question de savoir si une majorité de français sans faire offense à qui que ce soit , savent quelles sont dans les détails, les prérogatives de cette CEDH ? Il faut dire que la confusion a été entretenue dès le début par le fait que cette cour européenne fait allusion aux droits de l’homme et du citoyen dont la déclaration a été faites en 1789 . Sauf que dans l’esprit, cette CEDH en est souvent très éloignée . Que restera -t -il des droits des hommes face la kalachnikov d’un terroriste qui aura été repêché en Syrie? C’est surtout les droits des étrangers à se rendre dans le pays de l’UE qu’ils auront choisi , même si leurs us et coutumes sont aux antipodes de celui des pays hôtes. Selon cette juridiction nous aurions des obligations d’accueil à respecter même si elles vont parfois à l’encontre de nos valeurs. Cela supposerait aussi que les gens que nous sommes obligés de recevoir, selon cette cour, fassent allégeance à cette notion de droits de l’homme . Hors, ceux-ci, en majorité , considèrent que les droits de l’homme sont les droits des musulmans à appliquer la charia !
Bien d’accord avec vous, on entend toujours : l’intégration est un échec , mais pour s’intégrer il faut la rencontre de deux volontés, et eux ont la volonté de ne pas s’intégrer , de ne pas adopter nos valeurs impies , mais de nous imposer les leurs , au besoin par la violence , les attentats.
N’étaient elles pas volontaires? C’était leur choix, qu’elles y restent.
Oui, c’est tout ce qu’il faut dire, le reste n’est que littérature !!!
Les déclarations ahurissantes de certaines de ces « folles », et je pèse mon mot, sont malheureusement à prendre au sérieux.
Je me demande si, et Macron, et Darmanin, sont bien conscients du danger que représentent ces femmes pour la population, à plus ou moins long terme ?
Et je n’ose penser à leurs enfants endocrinés, pures « bombes à retardement ».