Retour en France des djihadistes
Il y a pourtant quelques motifs de satisfaction dans cette décision ahurissante de la CEDH.
Notre gouvernement, s’il en a un peu dans le pantalon, opérera comme l’ont fait ses prédécesseurs…
Depuis fin 2016, l’aide sociale à l’enfance du département de Seine-Saint-Denis a accueilli 68 enfants, dont beaucoup ont entre 2 et 8 ans.
Bien qu’ils aient délibérément trahi la France, le gouvernement souhaite s’en débarrasser en respectant en apparence ses principes…
Plutôt que de se soucier du sort de leur mère, c’est au devenir de ses enfants, victimes du fanatisme, qu’il faudrait songer.
Les autorités déclarent pratiquer le « cas par cas ». Un bon moyen de ne pas prendre position. Ponce Pilate ou Tartuffe ?
Face à cette menace permanente, ce sont de véritables mesures d’exception qu’il faut mettre en place en urgence
L’heure des comptes a sonné. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que face à la Justice irakienne, qui n’est apparemment pas aussi conciliante
La sidération à l’égard de l’islam est telle qu’elle empêche toute appréciation juste du phénomène.
C’en est assez de s’apitoyer sur des criminels qui ont choisi de trahir la France et de la combattre !
Un enfant est ce que son éducation familiale en fait.
Alors, combien d’assignés à résidence, déjà – français, plus français, binationaux -, le tout aux frais du contribuable ? Combien demain ?
La judiciarisation de ces retours programmés ne résoudra rien sur le fond et fera planer sur la France, pour longtemps encore, une menace inacceptable.
Alors, combien parmi ces femmes à bientôt revenir, une fois qu’elles auront « repris des forces » auront hâte de suivre les conseils prodigués par l’Etat islamique…
Politiquement, ce sont des traîtres, des renégats, et leur appartenance nationale doit être mise entre guillemets : ce sont d’abord des djihadistes, juridiquement « français ».
N’en déplaise à Castaner, ces individus aux mains couvertes de sang sont des terroristes avant d’être des Français. Et ils doivent être considérés et traités comme tels.
Que faire de ces « 130 djihadistes » dont le retour en France est annoncé ? Pourquoi cette question se pose-t-elle aujourd’hui ? Xavier Raufer réagit au
Le député Pierre-Henri Dumont, qui préconise tout haut une solution que beaucoup doivent penser tout bas…
Quinze secondes de gagnées. C’est toujours ça de pris. Ça y est, je peux partir ?
Allons-nous, à l’avenir, connaître des attentats commis par des femmes musulmanes radicalisées sans avoir mis un pied ni en Irak ni en Syrie ?
Les djihadistes peuvent dormir tranquilles, la Justice française veille sur leur sommeil.
Christophe Castaner vient de déclarer sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie.
Que va-t-il se passer lorsque sortiront de prison les djihadistes arrivés en fin de peine ?
Dimanche soir, France 2 diffusait un reportage surprenant qui fait beaucoup parler.
On ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce.
Que faut-il faire des djihadistes partis en Irak ou en Syrie qui veulent à présent revenir ? Le débat fait rage en France.
Xavier Raufer fait le point sur le sujet sensible des djihadistes de retour sur notre territoire.
Sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles.
Il y a pourtant quelques motifs de satisfaction dans cette décision ahurissante de la CEDH.
Notre gouvernement, s’il en a un peu dans le pantalon, opérera comme l’ont fait ses prédécesseurs…
Depuis fin 2016, l’aide sociale à l’enfance du département de Seine-Saint-Denis a accueilli 68 enfants, dont beaucoup ont entre 2 et 8 ans.
Bien qu’ils aient délibérément trahi la France, le gouvernement souhaite s’en débarrasser en respectant en apparence ses principes…
Plutôt que de se soucier du sort de leur mère, c’est au devenir de ses enfants, victimes du fanatisme, qu’il faudrait songer.
Les autorités déclarent pratiquer le « cas par cas ». Un bon moyen de ne pas prendre position. Ponce Pilate ou Tartuffe ?
Face à cette menace permanente, ce sont de véritables mesures d’exception qu’il faut mettre en place en urgence
L’heure des comptes a sonné. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que face à la Justice irakienne, qui n’est apparemment pas aussi conciliante
La sidération à l’égard de l’islam est telle qu’elle empêche toute appréciation juste du phénomène.
C’en est assez de s’apitoyer sur des criminels qui ont choisi de trahir la France et de la combattre !
Un enfant est ce que son éducation familiale en fait.
Alors, combien d’assignés à résidence, déjà – français, plus français, binationaux -, le tout aux frais du contribuable ? Combien demain ?
La judiciarisation de ces retours programmés ne résoudra rien sur le fond et fera planer sur la France, pour longtemps encore, une menace inacceptable.
Alors, combien parmi ces femmes à bientôt revenir, une fois qu’elles auront « repris des forces » auront hâte de suivre les conseils prodigués par l’Etat islamique…
Politiquement, ce sont des traîtres, des renégats, et leur appartenance nationale doit être mise entre guillemets : ce sont d’abord des djihadistes, juridiquement « français ».
N’en déplaise à Castaner, ces individus aux mains couvertes de sang sont des terroristes avant d’être des Français. Et ils doivent être considérés et traités comme tels.
Que faire de ces « 130 djihadistes » dont le retour en France est annoncé ? Pourquoi cette question se pose-t-elle aujourd’hui ? Xavier Raufer réagit au
Le député Pierre-Henri Dumont, qui préconise tout haut une solution que beaucoup doivent penser tout bas…
Quinze secondes de gagnées. C’est toujours ça de pris. Ça y est, je peux partir ?
Allons-nous, à l’avenir, connaître des attentats commis par des femmes musulmanes radicalisées sans avoir mis un pied ni en Irak ni en Syrie ?
Les djihadistes peuvent dormir tranquilles, la Justice française veille sur leur sommeil.
Christophe Castaner vient de déclarer sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie.
Que va-t-il se passer lorsque sortiront de prison les djihadistes arrivés en fin de peine ?
Dimanche soir, France 2 diffusait un reportage surprenant qui fait beaucoup parler.
On ne saurait mettre un pays à feu et à sang et, lorsque ça tourne au vinaigre, exiger de rentrer au bercail, là où la justice est plus douce.
Que faut-il faire des djihadistes partis en Irak ou en Syrie qui veulent à présent revenir ? Le débat fait rage en France.
Xavier Raufer fait le point sur le sujet sensible des djihadistes de retour sur notre territoire.
Sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles.