Déclencher la peur dans une population, c’est s’assurer de sa soumission. Nous en savons quelque chose, en ces temps de pandémie où, pour la première fois…
Donc, pas de tombeau, et ce n’est guère étonnant s’agissant d’un personnage qui baigne plus qu’à moitié dans les brumes de la mythologie.
Vingt siècles d’imposture et de mystification. On n’en sort pas aisément.
Tous les 21 septembre, nous sommes encore quelques-uns à travers le monde à commémorer la mort du « divin Maro ».
On ne fera pas à Emmanuel Macron l’injure de croire qu’en reprenant cette petite phrase, il n’était pas conscient de sa machiavélique duplicité.
Bob Dylan a fini par déclarer qu’il daignerait se rendre à Stockholm pour la remise du Nobel de littérature qui lui a été décerné cette année.
Le Petit Remplacement, plus insidieux, plus sournois, n’est pourtant pas moins alarmant.
L’islam a réclamé sa place, rien que sa place, mais toute sa place. Celle de deuxième religion de France. Demain la première ?
Pourquoi cette mollesse, pourquoi cette démission sur un problème aussi vital que la montée de l’islam conquérant ?
Qu'avons-nous fait de concret ? Avons-nous levé le petit doigt ?
Virgile fait ce mois-ci son entrée dans la Pléiade. Comment ? Il n’y était pas encore ?
Qu’avons-nous besoin d’entraver notre glorieuse marche en avant par on ne sait quelles obscures attaches ? Ce sont des ailes que nous voulons, pas des racines.
Olivier Sers s’est déjà illustré en traduisant notamment Catulle, Lucrèce et Ovide, chaque fois en se lançant le défi de rendre vers pour vers.
Michel Onfray annonce à qui veut l’entendre que, d’ici une cinquantaine d’années - autant dire demain –, l’islam aura triomphé en France.
Il se tient actuellement au Grand Palais une exposition consacrée à l’empereur Auguste à l’occasion du bimillénaire de sa mort.