« Casser les codes » est devenu un mantra de communicant pour susciter le buzz.
La reine ne faisait pas de la politique, elle ÉTAIT politique. Une incarnation du conservatisme, une relique de notre civilisation.
Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.
S’interroger sur les conséquences prévisibles de l’arrivée massive d’une population étrangère issue de pays dont les mœurs, les relations entre les sexes, la place de la femme, les rapports sociaux et familiaux sont si différents des nôtres était leur devoir.
S’il y a consensus politique sur le constat d’une école en déshérence, la menace du « séparatisme » est commode à agiter pour étouffer toute initiative de faire « autrement ».
Jean-Pierre Maugendre est président de Renaissance catholique. Le samedi 24 septembre prochain, il organise à la Maison de la chimie à Paris un colloque intitulé
Ce gouvernement qui ne connaît et reconnaît que les « valeurs-de-la-République découvre que feu la reine en avait quelques-unes qui valaient bien les siennes.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
Angèle pourrait être notre mère, notre grand-mère.
Les propos clientélistes contradictoires qu’il a tenus sont profondément néfastes ; nous avons trop souffert de la duplicité et du cynisme aves lesquels De Gaulle a traité le dossier algérien pour accepter le « en même temps ».
Quelle inversion magistrale des clichés sexistes ! Quel pied de nez au machisme, mes chéries !
Ce n’est pas l’armée qu’il faut aller chercher dès que ce pays a un pet de travers ou un ongle incarné, mais les valeurs qu’elle seule a conservées.
C’était l’insouciance et Emmanuel Macron a abandonné nos souverainetés : l’énergie et l’alimentation, sur l’autel de l’écologie politique, l’industrie et la défense sur celui d’une mondialisation heureuse…
Pouvaient-ils imaginer que ce nouveau quinquennat serait le cheval de Troie du wokisme bien habillé ?
On ne peut pas changer d’avis tout le temps sur des sujets comme la souveraineté énergétique, la décarbonation de notre énergie, qui engagent la France pour le siècle et qui, concernant la prolifération des éoliennes, empoisonnent la vie des Français…
Vous refusez cette opprobre collective, que vous vivez comme une double peine : vous avez dû, votre vie durant, ramer à contre-courant, et vous êtes à présent solidairement cloués au pilori .
Comme si rien, à quelques détails près, ne séparait Laurence Trochu d’un mollah iranien…
L’écologie des agriculteurs est pragmatique, humaine et raisonnable. C’est l’écologie des possibles. Rien à voir avec les écologistes.
Le cercle vicieux, absurde, est le même que pour l’Éducation, la restauration, la santé… le métier, mal rémunéré et déprécié, n’attire plus ? Qu’à cela ne tienne, déprécions-le un peu plus pour recruter.
On est tout de même dans un drôle de pays où l’on veut du bois pour remplacer le béton et le plastique, pour absorber le CO2, mais on est contre la culture des arbres !
Il était nécessaire que cette question terrible soit traitée. Encore eût-il fallu que celle-ci soit traitée de manière sereine, comme doit l’être tout acte de justice, et sans parti pris.
Il y a une forme d’hypocrisie en France et en Europe.
Quel est le plus gros scandale de ce lundi ? La petite phrase d’Éric Dupond-Moretti ? Ou le fait que cette petite phrase n’ait fait rigoureusement aucun bruit ?
La vérité, malheureusement, comme pour de trop nombreux sujets, c’est qu’une fois les feux éteints, toutes les questions posées se retrouvent sans réponse.
Bordeaux n’est évidemment qu’un exemple. Peut-être d’autant plus frappant du fait de son raffinement, jadis.
Personne, ou presque, ne serait capable du reste de donner l’intitulé de son ministère.
Ce qui se passe aux Pays-Bas est symptomatique.
La cancel culture basse intensité, c’est aussi cela.
« Casser les codes » est devenu un mantra de communicant pour susciter le buzz.
La reine ne faisait pas de la politique, elle ÉTAIT politique. Une incarnation du conservatisme, une relique de notre civilisation.
Ce sera sa martingale, son tour de passe-passe, son écran de fumée, LE sujet qui permettra d’occulter tous les autres.
S’interroger sur les conséquences prévisibles de l’arrivée massive d’une population étrangère issue de pays dont les mœurs, les relations entre les sexes, la place de la femme, les rapports sociaux et familiaux sont si différents des nôtres était leur devoir.
S’il y a consensus politique sur le constat d’une école en déshérence, la menace du « séparatisme » est commode à agiter pour étouffer toute initiative de faire « autrement ».
Jean-Pierre Maugendre est président de Renaissance catholique. Le samedi 24 septembre prochain, il organise à la Maison de la chimie à Paris un colloque intitulé
Ce gouvernement qui ne connaît et reconnaît que les « valeurs-de-la-République découvre que feu la reine en avait quelques-unes qui valaient bien les siennes.
On pourrait convenir d’appeler cette guerre, après celle du Covid, la deuxième guerre punique : pour punir les Français, elle va les punir.
Angèle pourrait être notre mère, notre grand-mère.
Les propos clientélistes contradictoires qu’il a tenus sont profondément néfastes ; nous avons trop souffert de la duplicité et du cynisme aves lesquels De Gaulle a traité le dossier algérien pour accepter le « en même temps ».
Quelle inversion magistrale des clichés sexistes ! Quel pied de nez au machisme, mes chéries !
Ce n’est pas l’armée qu’il faut aller chercher dès que ce pays a un pet de travers ou un ongle incarné, mais les valeurs qu’elle seule a conservées.
C’était l’insouciance et Emmanuel Macron a abandonné nos souverainetés : l’énergie et l’alimentation, sur l’autel de l’écologie politique, l’industrie et la défense sur celui d’une mondialisation heureuse…
Pouvaient-ils imaginer que ce nouveau quinquennat serait le cheval de Troie du wokisme bien habillé ?
On ne peut pas changer d’avis tout le temps sur des sujets comme la souveraineté énergétique, la décarbonation de notre énergie, qui engagent la France pour le siècle et qui, concernant la prolifération des éoliennes, empoisonnent la vie des Français…
Vous refusez cette opprobre collective, que vous vivez comme une double peine : vous avez dû, votre vie durant, ramer à contre-courant, et vous êtes à présent solidairement cloués au pilori .
Comme si rien, à quelques détails près, ne séparait Laurence Trochu d’un mollah iranien…
L’écologie des agriculteurs est pragmatique, humaine et raisonnable. C’est l’écologie des possibles. Rien à voir avec les écologistes.
Le cercle vicieux, absurde, est le même que pour l’Éducation, la restauration, la santé… le métier, mal rémunéré et déprécié, n’attire plus ? Qu’à cela ne tienne, déprécions-le un peu plus pour recruter.
On est tout de même dans un drôle de pays où l’on veut du bois pour remplacer le béton et le plastique, pour absorber le CO2, mais on est contre la culture des arbres !
Il était nécessaire que cette question terrible soit traitée. Encore eût-il fallu que celle-ci soit traitée de manière sereine, comme doit l’être tout acte de justice, et sans parti pris.
Il y a une forme d’hypocrisie en France et en Europe.
Quel est le plus gros scandale de ce lundi ? La petite phrase d’Éric Dupond-Moretti ? Ou le fait que cette petite phrase n’ait fait rigoureusement aucun bruit ?
La vérité, malheureusement, comme pour de trop nombreux sujets, c’est qu’une fois les feux éteints, toutes les questions posées se retrouvent sans réponse.
Bordeaux n’est évidemment qu’un exemple. Peut-être d’autant plus frappant du fait de son raffinement, jadis.
Personne, ou presque, ne serait capable du reste de donner l’intitulé de son ministère.
Ce qui se passe aux Pays-Bas est symptomatique.
La cancel culture basse intensité, c’est aussi cela.