théâtre
Drag-queens et trans interprétaient une œuvre de Shakespeare, qui incite à « quitter l’amour hétéronormé »…
Adaptée d’un livre de Christian Bobin, la pièce, intimiste, mêle réflexions poétiques et musique.
Quelle musique, quelles œuvres, quels textes ? Quels programmes ?
Les artistes sont-ils toujours dans la recherche du beau ou sont-ils lancés dans une course à la woke attitude ?
La création doit être invariablement marquée du sceau de l’engagement à gauche, elle doit toujours refléter ses poncifs politiquement corrects.
Dans un souci d’« intersectionnalité » au goût du jour, le personnage – qu’on avait l‘habitude de voir assez couillu – est incarné par… une dame : Nathalie Mann.
Drag-queens et trans interprétaient une œuvre de Shakespeare, qui incite à « quitter l’amour hétéronormé »…
Adaptée d’un livre de Christian Bobin, la pièce, intimiste, mêle réflexions poétiques et musique.
Quelle musique, quelles œuvres, quels textes ? Quels programmes ?
Les artistes sont-ils toujours dans la recherche du beau ou sont-ils lancés dans une course à la woke attitude ?
La création doit être invariablement marquée du sceau de l’engagement à gauche, elle doit toujours refléter ses poncifs politiquement corrects.
Dans un souci d’« intersectionnalité » au goût du jour, le personnage – qu’on avait l‘habitude de voir assez couillu – est incarné par… une dame : Nathalie Mann.
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