Serbie
Depuis que Macron est au pouvoir, a-t-on eu l’ombre de l’esquisse d’une ébauche de vision ?
La situation reste extrêmement tendue et la guerre en Ukraine n’arrange rien.
Première depuis 2001, la récente visite présidentielle française en Serbie s’est révélée être un acte politique manqué.
Le programme de l’Union européenne devient de plus en plus obsolète auprès du public serbe, malgré tous les efforts des uns et des autres.
M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place.
Ainsi notre Président tente-t-il, aujourd’hui, de jouer les médiateurs entre Russie et USA à propos de l’Iran…
Emmanuel Macron s’est planté en défenseur des militaires, des pompiers « abondamment sifflés » le 14 juillet. Que dire ? Qu’il n’est vraiment pas beau de mentir ?
Très peu de politiciens et de journalistes de l’époque ont osé avouer qu’ils nous avaient menti au sujet du Kosovo.
Il faut reconnaître une chose : il y a bel et bien eu une purification ethnique au Kosovo, mais pas celle que l’on croit. Depuis la fin de la guerre, 200.000 Serbes ont fui le Kosovo…
Il restera, à tout jamais marqué d’une encre indélébile, qu’à l’occasion de la célébration du centenaire de l’armistice de 1918 à Paris, la Serbie, avec son cortège de 1.200.000 morts, n’avait pas sa place à la tribune où ses agresseurs d’antan avaient pris la leur.
La nouvelle du drapeau de l’entité sécessionniste du Kosovo, arboré dans la cathédrale de Notre-Dame, est invraisemblable et profondément scandaleuse.
Pour l’opinion serbe, cela ne fait aucun doute, il s’agit clairement d’un acte d’hostilité envers les Serbes du Kosovo.
Après tout, résister aux tout-puissants, c’est un peu la marque de fabrique des Serbes.
Depuis que Macron est au pouvoir, a-t-on eu l’ombre de l’esquisse d’une ébauche de vision ?
La situation reste extrêmement tendue et la guerre en Ukraine n’arrange rien.
Première depuis 2001, la récente visite présidentielle française en Serbie s’est révélée être un acte politique manqué.
Le programme de l’Union européenne devient de plus en plus obsolète auprès du public serbe, malgré tous les efforts des uns et des autres.
M. Macron a raison, la France doit jouer un rôle important dans les Balkans et les Serbes, pas trop rancuniers, sont même prêts à lui redonner cette place.
Ainsi notre Président tente-t-il, aujourd’hui, de jouer les médiateurs entre Russie et USA à propos de l’Iran…
Emmanuel Macron s’est planté en défenseur des militaires, des pompiers « abondamment sifflés » le 14 juillet. Que dire ? Qu’il n’est vraiment pas beau de mentir ?
Très peu de politiciens et de journalistes de l’époque ont osé avouer qu’ils nous avaient menti au sujet du Kosovo.
Il faut reconnaître une chose : il y a bel et bien eu une purification ethnique au Kosovo, mais pas celle que l’on croit. Depuis la fin de la guerre, 200.000 Serbes ont fui le Kosovo…
Il restera, à tout jamais marqué d’une encre indélébile, qu’à l’occasion de la célébration du centenaire de l’armistice de 1918 à Paris, la Serbie, avec son cortège de 1.200.000 morts, n’avait pas sa place à la tribune où ses agresseurs d’antan avaient pris la leur.
La nouvelle du drapeau de l’entité sécessionniste du Kosovo, arboré dans la cathédrale de Notre-Dame, est invraisemblable et profondément scandaleuse.
Pour l’opinion serbe, cela ne fait aucun doute, il s’agit clairement d’un acte d’hostilité envers les Serbes du Kosovo.
Après tout, résister aux tout-puissants, c’est un peu la marque de fabrique des Serbes.
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