Loi immigration
Selon eux, « les prémices de la préférence nationale guettent ».
Il fait quoi alors, du tricot ? Non, mais, à l’évidence du détricotage.
Sur leur passage, les quelque 450 manifestants, souvent vêtus de noir, ont brisé plusieurs vitrines.
Le tiers de la loi le plus protecteur de la France et des Français passe à la trappe.
À la vérité, les Pays-Bas nous montrent la voie.
La gauche n’est jamais aussi belle lorsqu’elle joue à se faire peur.
Le président de la République avait annoncé qu’il saisissait les sages. C’est chose faite depuis ce 26 décembre.
D’aucuns diront qu’on est chez les fous…
Serait-il possible de cesser de prendre les électeurs pour des idiots ?
Après la « séquence loi Immigration » faite de rebondissements, la question se pose.
Quelle que soit sa décision, ce que le Conseil constitutionnel validera, c’est d’abord le discrédit du macronisme.
France Universités et une centaine de présidents d’établissements d’enseignement supérieur font part de leur inquiétude.
Avec tout ce que Nadia Hai ignore, ce sont des bibliothèques entières qu’on pourrait emplir.
À la fin du compte, le peuple français est encore le grand perdant de cette histoire.
« Si le Conseil constitutionnel censure cette loi, il signera à terme son arrêt de mort ».
Un double aveu : celui de l’ampleur de la délinquance d’origine immigrée et celui de l’incompétence de Darmanin.
Selon Hervé de Lépinau, « on est sur une politique de bombardement massif du gouvernement avec le RN ».
Les sénateurs RN et Reconquête regrettent un texte qui « aurait pu mettre fin à l’immigration illégale ».
« 22 lois en trente ans » sur l’immigration, rappelait Benoît Hamon, sur France Info
Si l’on comprend bien Madame Hédon, ne sachant de quoi demain sera fait, il est urgent de ne rien faire aujourd’hui.
Aucune leçon ne semble avoir été tirée dans un contexte de submersion migratoire et d’explosion de l’insécurité.
Faut-il donc sortir de l’Assemblée nationale pour régler ce problème ?
Cette volonté de régulariser l’immigration clandestine est une solution de facilité et un nouvel appel d’air à l’immigration.
Selon eux, « les prémices de la préférence nationale guettent ».
Il fait quoi alors, du tricot ? Non, mais, à l’évidence du détricotage.
Sur leur passage, les quelque 450 manifestants, souvent vêtus de noir, ont brisé plusieurs vitrines.
Le tiers de la loi le plus protecteur de la France et des Français passe à la trappe.
À la vérité, les Pays-Bas nous montrent la voie.
La gauche n’est jamais aussi belle lorsqu’elle joue à se faire peur.
Le président de la République avait annoncé qu’il saisissait les sages. C’est chose faite depuis ce 26 décembre.
D’aucuns diront qu’on est chez les fous…
Serait-il possible de cesser de prendre les électeurs pour des idiots ?
Après la « séquence loi Immigration » faite de rebondissements, la question se pose.
Quelle que soit sa décision, ce que le Conseil constitutionnel validera, c’est d’abord le discrédit du macronisme.
France Universités et une centaine de présidents d’établissements d’enseignement supérieur font part de leur inquiétude.
Avec tout ce que Nadia Hai ignore, ce sont des bibliothèques entières qu’on pourrait emplir.
À la fin du compte, le peuple français est encore le grand perdant de cette histoire.
« Si le Conseil constitutionnel censure cette loi, il signera à terme son arrêt de mort ».
Un double aveu : celui de l’ampleur de la délinquance d’origine immigrée et celui de l’incompétence de Darmanin.
Selon Hervé de Lépinau, « on est sur une politique de bombardement massif du gouvernement avec le RN ».
Les sénateurs RN et Reconquête regrettent un texte qui « aurait pu mettre fin à l’immigration illégale ».
« 22 lois en trente ans » sur l’immigration, rappelait Benoît Hamon, sur France Info
Si l’on comprend bien Madame Hédon, ne sachant de quoi demain sera fait, il est urgent de ne rien faire aujourd’hui.
Aucune leçon ne semble avoir été tirée dans un contexte de submersion migratoire et d’explosion de l’insécurité.
Faut-il donc sortir de l’Assemblée nationale pour régler ce problème ?
Cette volonté de régulariser l’immigration clandestine est une solution de facilité et un nouvel appel d’air à l’immigration.