Liberté de la presse
La loi de 1881 imposait une liberté absolue de la presse et des médias. On sort totalement de ce schéma.
Mais pas question d’identifier à qui adresser le moindre reproche ! Alors, c’est la foire aux périphrases…
Sans prévenir, la filiale de JC Decaux a refusé de diffuser les affiches de L’Incorrect.
Le gros morceau, la Chine, qui, avec 389 journalistes emprisonnés, a encabané, à elle seule, un tiers des gratte-papier incriminés !
Il faut tout d’abord garder la tête froide ; si les censures s’accentuent, c’est que le système se fissure.
Il ne fait pas bon, en Turquie, de critiquer Erdoğan : des ONG accusent, d’ailleurs, régulièrement ce pays d’atteintes à la liberté de la presse. Mais
Il n’y a pas pire censure que celle que les journalistes s’infligent eux-mêmes…
Message en l’air : demain, je n’achète plus de Nutella™.
Il faut accepter de considérer que Mediapart n’est pas un bloc à détester ou adorer sans examen.
Mais maintenant, c’est carrément la loi de 1881 que l’on veut retoucher ; sous prétexte de l’améliorer, bien sûr.
Décidément, la pluralité des opinions ne plaît pas aux médias « mainstream » : après les insultes de Charline Vanhoenacker qualifiant l’émission de Thierry Ardisson
La France se situe à la 32e place du classement entre l’Afrique du Sud (31e) et le Royaume-Uni (33e).
Les professionnels de la profession montent à la une pour lui décerner la palme du martyre.
On a l’agréable sensation qu’un petit vent de liberté se glisse sous les portes fermées de la pensée unique.
Décidément, tout ce qui ne plaît pas à Emmanuel Macron doit être censuré !
Et ce ne serait que justice car c’est cette génération qui était abonnée à cette presse-là.
Quand nos journalistes s’interdisent d’évoquer un thème, c’est déjà, en soi, une désinformation par abstention.
La presse est ce que l’on nomme le « 4e pouvoir ». À ce titre, elle pourrait servir de contre-pouvoir face aux trois autres.
Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.
Il faut se saisir du manifeste, mais aussi le clarifier et l’enrichir.
Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, commente, pour Boulevard Voltaire, l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien tué dans les locaux du consulat de son pays
Une loi qui nous conduit tout droit vers la réélection de Macron et vers une dictature soft.
Le quotidien Présent est en grave danger financier et menacé de disparition.
Caroline Parmentier lance un appel à la mobilisation de ses lecteurs. Elle explique au micro de Boulevard Voltaire les raisons d’être de cet « appel au secours ».
On ne transige pas avec la liberté de la presse. On ne devrait pas transiger non plus avec la vérité.
Si quelqu’un a le droit de dire une chose, quelqu’un a le droit de dire le contraire. C’est la base élémentaire de la liberté, c’est-à-dire la liberté de ne pas être d’accord.
La loi de 1881 imposait une liberté absolue de la presse et des médias. On sort totalement de ce schéma.
Mais pas question d’identifier à qui adresser le moindre reproche ! Alors, c’est la foire aux périphrases…
Sans prévenir, la filiale de JC Decaux a refusé de diffuser les affiches de L’Incorrect.
Le gros morceau, la Chine, qui, avec 389 journalistes emprisonnés, a encabané, à elle seule, un tiers des gratte-papier incriminés !
Il faut tout d’abord garder la tête froide ; si les censures s’accentuent, c’est que le système se fissure.
Il ne fait pas bon, en Turquie, de critiquer Erdoğan : des ONG accusent, d’ailleurs, régulièrement ce pays d’atteintes à la liberté de la presse. Mais
Il n’y a pas pire censure que celle que les journalistes s’infligent eux-mêmes…
Message en l’air : demain, je n’achète plus de Nutella™.
Il faut accepter de considérer que Mediapart n’est pas un bloc à détester ou adorer sans examen.
Mais maintenant, c’est carrément la loi de 1881 que l’on veut retoucher ; sous prétexte de l’améliorer, bien sûr.
Décidément, la pluralité des opinions ne plaît pas aux médias « mainstream » : après les insultes de Charline Vanhoenacker qualifiant l’émission de Thierry Ardisson
La France se situe à la 32e place du classement entre l’Afrique du Sud (31e) et le Royaume-Uni (33e).
Les professionnels de la profession montent à la une pour lui décerner la palme du martyre.
On a l’agréable sensation qu’un petit vent de liberté se glisse sous les portes fermées de la pensée unique.
Décidément, tout ce qui ne plaît pas à Emmanuel Macron doit être censuré !
Et ce ne serait que justice car c’est cette génération qui était abonnée à cette presse-là.
Quand nos journalistes s’interdisent d’évoquer un thème, c’est déjà, en soi, une désinformation par abstention.
La presse est ce que l’on nomme le « 4e pouvoir ». À ce titre, elle pourrait servir de contre-pouvoir face aux trois autres.
Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.
Il faut se saisir du manifeste, mais aussi le clarifier et l’enrichir.
Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, commente, pour Boulevard Voltaire, l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien tué dans les locaux du consulat de son pays
Une loi qui nous conduit tout droit vers la réélection de Macron et vers une dictature soft.
Le quotidien Présent est en grave danger financier et menacé de disparition.
Caroline Parmentier lance un appel à la mobilisation de ses lecteurs. Elle explique au micro de Boulevard Voltaire les raisons d’être de cet « appel au secours ».
On ne transige pas avec la liberté de la presse. On ne devrait pas transiger non plus avec la vérité.
Si quelqu’un a le droit de dire une chose, quelqu’un a le droit de dire le contraire. C’est la base élémentaire de la liberté, c’est-à-dire la liberté de ne pas être d’accord.