Emmanuel Macron
Valérie Pécresse était en meeting, ce samedi, dans la capitale de l’Occitanie. Alors que les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour Les Républicains, la candidate a vertement
On connaissait en effet, dans d’autres domaines et sur le même principe, le pain sans sel, les mandarines sans pépin, le Coca-Cola sans sucre et la bière sans alcool, le hot-dog sans viande, le paiement sans contact et le changement sans le risque, mais l’on doit au macronisme ce concept absolument nouveau du débat sans interlocuteur et de la campagne électorale sans débat.
L’hypothèse d’une incarnation par défaut ne doit pas être écartée : certes, il incarne peu, mais les autres encore moins.
Emmanuel Macron, à trois semaines de l’élection présidentielle, se veut donc rassembleur plus que jamais en pratiquant à la mémoire de la guerre d’Algérie le « en même temps » qui lui est cher.
À aucun moment il n’évoque le déclin de l’enseignement, la crise du recrutement, le manque d’attractivité de la condition enseignante qui dissuade les meilleurs étudiants de se consacrer à ce métier
Une vision pour la France ne consiste pas en une accumulation de propositions techniques.
À la vérité, qui est la photocopie de qui, dans cette triste affaire ? Le débat est difficile à trancher.
Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.
Car enfin, tout le montre et le démontre : Emmanuel Macron nous épargne l’Apocalypse à chaque jour qui passe.
S’il ne soutient pas aujourd’hui avec force la candidature de Valérie Pécresse – et c’est un euphémisme -, c’est sans doute qu’il la juge sévèrement.
Le fameux « en même temps » qui lui permet de séduire tout le monde avant de ne satisfaire personne.
Reste qu’il y a « les valeurs » de la France et l’avis des Français, lesquels, de toute évidence, préfèrent accueillir chez eux des Ukrainiens plutôt que des Afghans.
Malheur aux vaincus, le cœur jaune et bleu se décroche de la bandoulière et la vraie nature du saint-bernard des Ukrainiens prend le dessus, commençant sèchement par sommer la quémandeuse d’arrêter de le filmer.
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Ni personnage providentiel, ni chef de guerre, ni même chef d’État digne de ce nom, Macron a tout simplement, par son absence de vision, d’ambition et d’envergure, conduit la France dans une impasse.
Tous ceux qui ont fait leur service militaire ou qui servent encore dans les forces armées ont croisé, un jour ou l’autre, un jeune soldat comme Macron…
De l’Olympe est venue l’annonce de la réévaluation du point de l’indice de rémunération des fonctions publiques !
Après les Trente Glorieuses, il y a donc eu ces Trente ou Quarante Paresseuses…
Favori sans campagne, acclamé sans meetings, Président sans programme, guerrier sans guerre et diplomate sans pouvoir. Le royaume Potemkine de la Macronie continue sa marche. Jusqu’à quand ?
Aujourd’hui, avec son équipe de stagiaires, ses députés godillots, son mépris, Macron est à 30 %. Merci la guerre
Un second quinquennat Macron avec grand débat permanent ? L’escroquerie a peut-être assez duré.
Que le Président qui a gagné en 2017 grâce à un coup d’État médiatico-judiciaire soit en train de rééditer l’opération en enjambant la campagne, voilà qui n’illustre guère pourtant le fonctionnement normal d’une démocratie
Cette sage décision, tardive mais claire, donne raison à ceux qui, dans l’opposition, dénoncent cette confusion des genres.
À cette heure, les révélations du Canard enchaîné n’ont pas été démenties par l’Élysée, provoquant un déferlement de réactions sur les réseaux sociaux : « La vie d’un homme vaut bien quelques bulletins de vote, même s’ils sont tachés de sang ».
C’est une campagne qui pourrait coûter cher à Emmanuel Macron. En utilisant ses comptes officiels sur les réseaux sociaux, le chef de l’État ne se
Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.
On a peut-être là l’essence du macronisme et de son chef : ils se payent – et nous payent – de mots.
Le président de la République est un homme dangereux. Il préfère ses rêves européens et mondialistes aux réalités françaises.
Valérie Pécresse était en meeting, ce samedi, dans la capitale de l’Occitanie. Alors que les mauvaises nouvelles s’enchaînent pour Les Républicains, la candidate a vertement
On connaissait en effet, dans d’autres domaines et sur le même principe, le pain sans sel, les mandarines sans pépin, le Coca-Cola sans sucre et la bière sans alcool, le hot-dog sans viande, le paiement sans contact et le changement sans le risque, mais l’on doit au macronisme ce concept absolument nouveau du débat sans interlocuteur et de la campagne électorale sans débat.
L’hypothèse d’une incarnation par défaut ne doit pas être écartée : certes, il incarne peu, mais les autres encore moins.
Emmanuel Macron, à trois semaines de l’élection présidentielle, se veut donc rassembleur plus que jamais en pratiquant à la mémoire de la guerre d’Algérie le « en même temps » qui lui est cher.
À aucun moment il n’évoque le déclin de l’enseignement, la crise du recrutement, le manque d’attractivité de la condition enseignante qui dissuade les meilleurs étudiants de se consacrer à ce métier
Une vision pour la France ne consiste pas en une accumulation de propositions techniques.
À la vérité, qui est la photocopie de qui, dans cette triste affaire ? Le débat est difficile à trancher.
Soit un catalogue de mesures, ou de mesurettes, diront les mauvais esprits, mais dans lequel on note l’absence de trois grands sujets : l’islamisme politique, l’immigration et l’insécurité.
Car enfin, tout le montre et le démontre : Emmanuel Macron nous épargne l’Apocalypse à chaque jour qui passe.
S’il ne soutient pas aujourd’hui avec force la candidature de Valérie Pécresse – et c’est un euphémisme -, c’est sans doute qu’il la juge sévèrement.
Le fameux « en même temps » qui lui permet de séduire tout le monde avant de ne satisfaire personne.
Reste qu’il y a « les valeurs » de la France et l’avis des Français, lesquels, de toute évidence, préfèrent accueillir chez eux des Ukrainiens plutôt que des Afghans.
Malheur aux vaincus, le cœur jaune et bleu se décroche de la bandoulière et la vraie nature du saint-bernard des Ukrainiens prend le dessus, commençant sèchement par sommer la quémandeuse d’arrêter de le filmer.
En un mot comme en cent, cela s’appelle gouverner en s’appuyant sur une trouille médiatiquement organisée. Trouille du Covid, trouille de ces « extrêmes » qu’incarneraient Éric Zemmour et Marine Le Pen, trouille d’une guerre lointaine, trouille de l’inconnu.
Ni personnage providentiel, ni chef de guerre, ni même chef d’État digne de ce nom, Macron a tout simplement, par son absence de vision, d’ambition et d’envergure, conduit la France dans une impasse.
Tous ceux qui ont fait leur service militaire ou qui servent encore dans les forces armées ont croisé, un jour ou l’autre, un jeune soldat comme Macron…
De l’Olympe est venue l’annonce de la réévaluation du point de l’indice de rémunération des fonctions publiques !
Après les Trente Glorieuses, il y a donc eu ces Trente ou Quarante Paresseuses…
Favori sans campagne, acclamé sans meetings, Président sans programme, guerrier sans guerre et diplomate sans pouvoir. Le royaume Potemkine de la Macronie continue sa marche. Jusqu’à quand ?
Aujourd’hui, avec son équipe de stagiaires, ses députés godillots, son mépris, Macron est à 30 %. Merci la guerre
Un second quinquennat Macron avec grand débat permanent ? L’escroquerie a peut-être assez duré.
Que le Président qui a gagné en 2017 grâce à un coup d’État médiatico-judiciaire soit en train de rééditer l’opération en enjambant la campagne, voilà qui n’illustre guère pourtant le fonctionnement normal d’une démocratie
Cette sage décision, tardive mais claire, donne raison à ceux qui, dans l’opposition, dénoncent cette confusion des genres.
À cette heure, les révélations du Canard enchaîné n’ont pas été démenties par l’Élysée, provoquant un déferlement de réactions sur les réseaux sociaux : « La vie d’un homme vaut bien quelques bulletins de vote, même s’ils sont tachés de sang ».
C’est une campagne qui pourrait coûter cher à Emmanuel Macron. En utilisant ses comptes officiels sur les réseaux sociaux, le chef de l’État ne se
Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.
On a peut-être là l’essence du macronisme et de son chef : ils se payent – et nous payent – de mots.
Le président de la République est un homme dangereux. Il préfère ses rêves européens et mondialistes aux réalités françaises.
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