« Pourquoi le son des cloches ne dérange pas et pourquoi l'appel à la prière dérange ? »

Sur le plateau de Jean-Marc Morandini, le célèbre Aurélien Taché pose la question qui le turlupine depuis sa plus tendre enfance. L'un fait « ding-dong », l'autre « Allahu akbar ». Les deux sont bruyants. Sur son sonomètre personnel, le résultat est sans appel. La quantité de décibels est à peu près identique. Comprend pas.

Par le passé, une myopie passagère ne lui avait pas permis de faire la différence entre un serre-tête et un hijab. Une déficience visuelle dont il s'était excusé. Cette fois-ci, le handicap est d'ordre auditif. Les yeux, maintenant les oreilles. Pffff... Quelle poisse !

Pour expliquer cette équivalence sonore qui ne devrait en rien perturber la population, le député du Val-d'Oise assure percevoir des ondes islamophobes. « On ne voit pas le lien avec l'islamophobie ? » Il le voit, il l'entend. Tous ses sens sont en éveil. « C'est évident que c'est ça ! » confirme-t-il. Islam muselé, invisibilisé, victime de préjugés discriminatoires... Selon le musicologue Taché, il est temps que les Français passe à la stéréophonie. Le son des cloches dans une oreille, l'appel du muezzin dans l'autre. Entre les deux, le chef d'orchestre mondialiste dirigeant le chaos engendré par cette cacophonie.

« Là, c'est la prière du vendredi, on sait que c'est la prière la plus emblématique du culte musulman », excuse-t-il. Concession après concession, l'égalitariste invétéré invite le peuple français à renoncer à ses racines culturelles. Un pas en arrière après l'autre. Entre autres militants dévoués à la cause, l'attaché Taché est à la manœuvre.

6412 vues

18 mars 2022 à 16:50

Partager

La possibilité d'ajouter de nouveaux commentaires a été désactivée.

67 commentaires

  1. Bah si, monsieur le taché, le son des cloches nous dérangent aussi, surtout quand ces cloches sont des traitres à leur pays, leur histoire, leurs ancêtres, leur culture, leur liberté, le droit du peuple à rester souverain chez lui.

Les commentaires sont fermés.