[Micro-Boulevard] Qu’est-ce qu’une femme ? Les néo-féministes nous répondent !

micro B

En cette Journée internationale des droits des femmes, notre équipe s’est rendue place de la République à Paris, à la rencontre des néo-féministes et militantes de la cause afin de connaitre leurs préoccupations mais surtout pour leur demander, selon elle, ce qu’est une femme. Un terme aujourd’hui qui fait débat. Est-ce une « personne qui menstrue » ? Est-ce un rôle social ? Est-ce être trop binaire de se genrer « femme » ? Vous aussi, vous vous y perdez dans toutes ces notions  ?

Une question posée avec bienveillance mais qui n’a pas plu à l’ultra-gauche et aux antifas présents. À tel point que notre journaliste Jordan Florentin s’est vu arracher son micro, qui a ensuite été cassé en deux, et fouiller son sac à dos par un militant. Heureusement, notre équipe a pu conserver les images. Boulevard Voltaire remercie tous ses lecteurs qui ont déjà apporté leur soutien. Plainte sera déposée contre ces deux militants, fruits d’un terrorisme intellectuel imposé par une ultra-gauche qui refuse que nous fassions tout simplement... notre métier. Des images à voir !

Jordan Florentin
Jordan Florentin
Journaliste à BV

Vos commentaires

38 commentaires

  1. Moi je ne vois que des choses dégénérées qui nous pourrissent la vie alors que des milliers de vrais femmes souffrent dans le monde

  2. Etre femme est complexe pour les miltant.e.s intérogé.e.s. ( être « genré » est terrible ). Mme de Beauvoir avait prévenu :  » on ne nait pas femme » _ donc comment et pourquoi le deviendrait-on ? Etre non-binaire semble un beau fantasme de « liberté »… Tout cela ne mangerait pas de pain si ce n’était encouragé et livré en kit avec les mots adéquats ! ( genré, non-binaire etc ). Pourquoi ? A mon sens, pour le « sociétal », l’individualisme que propose et promeut le libéralisme. En faît, le turbo-libéralisme, car le libéralisme promeut l’individualisme mais là, il s’agit d’ultra-minorités actives en faît qui pourrait finir par faire pièce au libéralisme. Détruire les repères etc afin de laisser la place au seul marché semble la dernière trouvaille, la démarche actuelle ( j’aimerai me tromper ).

  3. Vous demandez dans cette intervention ce que représente une femme pour ces hurluberlues du genre, c’est comme demander à un félin sauvage s’il peut se passer de proie , tant qu’il n’est pas rassasié il continuera, au risque de s’en prendre même à ses congénères.

  4. C’est la victoire de l’individualisme imbecile qui détruira notre société. Il suffit de voir les victoires de la fourmilière chinoise qui se trouve à l’autre extrémité de la conception sociale pour percevoir ce naufrage que Je souhaite suffisamment lent pour me laisser mourir en paix.

  5. Courage à BV, je ne pensais pas que la folie n’avait plus de limite. Car manifester contre l’existence des hommes et des femmes, il faut avoir un cerveau en décomposition. Ces fantôme ne savent plus où ils sont, ça ce voit à leur tranche, je ne vais pas dire leur tête car ils n’en ont pas sans doute, mais je pense que le problème principal c’est une question de nourriture poudrée un peu trop dosée qui les a conduit sur une autre planète ( celle des fous ).

  6. C’est édifiant. Sous couvert d’une égalité des droits on en a quand même une qui pense que les femmes sont supérieures (puisqu’à la base de la société – sic !). Quant aux « transversales » on comprend bien que toutes ces appellations diverses et variées ne servent qu’à combler le vide de leur pensée. Tenez nous informés des suites de votre plainte également

  7. Une femme c’est une personne équilibrée donc tout le contraire des néo féministes qui n’ont pas grand chose dans le cerveau

  8. Elles sont prises à leur propre piège un peu comme ces animaux qui se jettent contre un filet et qui ne réussissent plus à s’en dépêtrer. Elles fument trop ces nanas. Une question était à leur poser . « Si vous ne vous considérez pas comme une femme, je peux vous considérer à mon égal, homme, donc vous aborder comme j’aborderais un homme, de façon cavalière ?  » . Triste avenir si ces personnes ont à exercer des responsabilités. Heureusement, toutes les femmes, les vraies, ne sont pas de cet acabit.

    • Pas besoin d’une journée des hommes , ils se sont donnés tous les droits depuis des siècles !
      Par contre ces demeurés d’extrême gauche ( souvent vivant de l’argent de leurs parents ) ne comprennent pas que sans les femmes ils ne peuvent exister !

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