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"Il s’agit d’une des plus grandes manipulations de l’opinion de ce début de siècle, sinon la plus grande, dûment voulue et organisée, qui trompe tout un peuple bafoué dans son droit à la vérité, sur un aspect central de sa vie quotidienne."

Vous l’aurez compris, ce qui va suivre est explosif, ce sujet a des répercussions sur de nombreux aspects de la vie des Français, sur les crises que nous traversons, sur la crise des gilets jaunes… Le mythe de la pollution de l’air à Paris : voilà le sujet, et plus largement, c’est toute l’idéologie qui suit, qui sont ici remis en cause. Christian Gerondeau, ingénieur polytechnicien et spécialiste des questions environnementales, est allé chercher un rapport d'Airparif, association agréée par le gouvernement, chargée de la mesure de la pollution de l’air, principalement en région parisienne. Le résultat est éloquent : à Paris, de 1950 à nos jours, la concentration de particules fines est passée de 200 à 20 microgrammes par mètre cube, soit le taux le plus bas depuis le Moyen Âge. En Allemagne, le taux est à plus de 120. Le dioxyde de soufre, le plomb et le monoxyde de carbone ont, quant à eux, totalement disparu depuis maintenant quelques années.

Tous les chiffres de ces études montrent donc bien que la pollution de l’air, à Paris, s’est considérablement réduite depuis une cinquantaine d’année et qu’elle est aujourd’hui infime. Ne reste pratiquement plus que les particules dites « naturelles », c’est-à-dire ne provenant pas de l’activité humaine. Les différentes avancées technologiques et les réglementations sur les voitures, les industries, les logements ont permis, jusqu’aux années 2000, de régler la situation.

Alors, pourquoi assistons-nous aujourd’hui, dans la capitale, à une telle psychose sur ce sujet : pics de pollution fréquemment franchis, piétonisation, circulation alternée, journées sans voiture, sans parler des prétendus 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air ?

La réponse est simple : les seuils d’alerte de la pollution ont été considérablement réduits et sont bien en dessous des niveaux pour lesquels l’exposition aux particules serait néfaste pour la santé. D’autant que les seuils internationaux sont bien plus élevés et que les taux le sont d’autant plus dans la plupart des pays du monde.

Ces chiffres sur la pollution sont tenus à l’écart du débat public dans le seul but de pouvoir entretenir la psychose sur ce sujet, au service de la politique d’Anne Hidalgo, des ONG/lobbies tels que Greenpeace ou WWF et de l’idéologie décroissante.

Or, Christian Gerondeau le démontre bien dans son ouvrage, il existe bien un mythe sur la pollution de la capitale. Un exemple frappant : les polluants au début du XXe siècle noircissaient les bâtiments, que l'on était obligé de ravaler tous les dix ans pour enlever la couche de pollution. Aujourd'hui, la cathédrale de Paris, par exemple, n'a pas eu besoin de ravalement depuis 1996 et elle est toujours aussi immaculée.

En bref, un excellent ouvrage d’une centaine de pages pour comprendre les dessous de la pollution de l’air à Paris.

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23 décembre 2018 à 15:23

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