[L’INVITÉ] « Le racisme anti-Blanc est un phénomène lourd, massif »

38 commentaires

1. La perspective optimiste proposée en fin d’entretien me semble vraiment optimiste.
   Mais si elle est un espoir ténu, elle est le seul.

2. Attention aux mouvements de balancier, aux coups de barre trop brutaux qui, sur le moment , suscitent un vif espoir mais finissent par énormément décevoir avec le temps, car la réalité n’est pas en noir et blanc, elle est complexe avec 50 nuances de gris… On ne fait pas dévier de sa trajectoire un super tanker par un coup de barre brutal qui ne pourra pas durer très longtemps, mais par un coup de barre mesuré ET constant sur une longue durée.
   Concrètement que faire ?
   => Rechercher et donner le pouvoir aux hommes (ou femmes) politiques qui n’ont pas changé leurs convictions profondes depuis 20 ans mais qui seront néanmoins capables de manoeuvrer le voilier France et de garder un cap à long terme , tout en veillant au grain au jour le jour, en réagissant vite en cas de danger et en n’hésitant pas à louvoyer (passer de bâbord à tribord…) en fonction du vent, des récifs, des courants contraires…

3. Il suffit de lire tous les anti RACISTES qui, ne le sont QUE POUR LES LEURS !!!…

4. On a déjà compris que toucher à un « diversité » vous coutait ou la peau ou la prison quelle qu’ait été la raison ou le premier agresseur. La notion de défense est balayée. Alors que peut faire le petit blanc? C’est pour ces mêmes raisons qu’est né le KU KLUX KLAN dans les états du sud..

5. ce qui m’inquiète, au plus haut point, ce sont les conséquences qui peuvent être induites par la négation de ce racisme anti-blanc, en France qui, qu’on le veuille ou non, est un pays de blancs à l’origine

   l’extrème droite, la vraie, celle qui a disparu depuis bien longtemps et fort heureusement, ne risque-t-elle pas de resurgir avec des équipées punitives en nombre ? un peu partout dans notre pays.
   car les blancs, chez eux, ne se laisseront pas faire, j’en ai la conviction.

   nier le phénomène, c’est ouvrir la voie, surtout, à d’autres réactions radicales, en réponse à ce que d’aucun pourrait considérer comme existentiel

   En plus, nos élites, inconséquentes, ne cessent de le suggérer en parlant de guerre à tort et à travers et la guerre, ça veut dire les armes.

   Déjà que leur utilisation devient courante dans des quartiers, d’ici que d’autres écervelés saisissent l’occasion d’en découdre est le plus inquiétant.

   que ferons-nous ? on comptera les points ? les blessés ? et les cadavres ? c’est affolant.

   on voit bien que la négation de tout par tous nos dirigeants depuis de nombreuses années conduit à notre chaos actuel. Ca va s’arrêter où ?

   ce sont toutes ces fuites de nos poltrons de gouvernants qui doivent cesser. Ils refusent de voir car ils savent qu’ils n’ont aucun courage en rien pour régler quoique ce soit. Ils ne savent que se trouver des excuses et quand c’est trop gros, que voulez-vous qu’ils fassent d’autre que de nous dire que ça n’existe pas et, en plus, en nous inondant de leur blablabla, avec un cumul de termes dévoyés de leur sens qui ne peuvent que risquer de suggérer d’autres réactions radicales, en face, de ceux qu’ils refusent de reconnaitre.et qu’ils méprisent : les blancs – les policiers – les hétérosexuels – les mâles etc……

   C’est quoi le but ? que tous se révoltent contre tous ?. On y est. Alors on fait quoi maintenant ? car on est arrivé au bout du bout et à tout nier en tout, tout le temps, on va finir par revenir au far-west « new look » dans les rues de nos villes et dans les villages de France ? A croire que c’est à cet ultime chaos qu’ils veulent tous nous conduire en niant tout, toujours, et en nous prenant tous pour des imbéciles car, nous, nous voyons, pour notre plus grand malheur.

   c’est de celà dont moi j’ai très peur.

   • Ce que nous vivons est l’échec d’un projet de société multiculturel et immigrationniste. Nos dirigeants, de droite comme de gauche, on proposé ce modèle de société d’abord accepté par les Français, puis ils l’ont imposé par la force quand des oppositions ont commencé à s’exprimer. Les opposants ont été systématiquement fascisés, ringardisés et souvent envoyés au tribunal pour y être condamnés.
     Aujourd’hui, plus personne n’accepte ce modèle, ni les Français qui ne reconnaissent plus leur pays, ni les étrangers qui veulent imposer le culture. Si les politiques reconnaissaient leurs fautes et leur responsabilité dans ce désastre, ils devraient abandonner leurs fonctions, quitter la vie politique et laisser la place à des partis nationalistes ou patriotes. Ce choix est bien entendu inacceptable pour eux, aussi ils continuent la même politique, méprisent le peuple et lui ôtent toute possibilité de réformer ou d’influer sur les choix sociétaux en vigueur depuis plus de 40 ans.
     A terme, j’ai bien peur que vos craintes soient justifiées, il y aura des affrontements entre communautés (c’est d’ailleurs déjà le cas) et peut-être pire.

6. Parler de racisme anti blanc c’est cautionner, ceux qui son responsables d’une certaine forme d’insécurité qui ne touche … que les Blancs modestes. Le racisme n’a rien à voir là dedans. C’est une guerre faite au Peuple par nos supposées élites dont les racailles sont les exécutants. Les coupables ne sont pas les non Blancs en tant que tels mais nos dirigeants et la politique judiciaire qu’ils mènent avec une détermination révélatrice depuis 40 ans. Juger les délits et crimes non en fonction de leur gravité mais des profils ethno culturels comparés des coupables et victimes est en soit anti constitutionnel. J’accuse, Badinter, Taubira, Belloubet, le syndicat dit « du mur des cons », d’avoir distribué des permis d’agresser aux « jeunes » de banlieue par la légèreté des peines encourues par eux seuls dans ces cas….Et mes compatriotes d’avoir voté pour ceux qui ont permis cette ignominie….Peut m’importe qu’une racaille de banlieue soit raciste envers moi, pourvue qu’elle redoute de passer 10 ans à l’ombre si elle m’agresse…..

7. Un peuple soumis et couché reniant son histoire ne peut que disparaître.

8. Il est enseigné à l’école. Le problème est donc l’Education Nationale, pas les immigrés qui arrivent.

9. Trois facteurs pèsent dans l’histoire des peuples, des nations et des civilisations: le nombre, le nombre et le nombre. Michel Brunet ? Arnold Toynbee ?
   

Le nombre de musulmans augmente en France avec l’immigration et la natalité , donc ils finiront par imposer leur système politico-religieux .

   Les petits Blancs et les grands , qui se trouvent minoritaires dans des quartiers , des écoles , et n’ont pas les moyens de fuir , doivent s’adapter , se soumettre , se convertir .
   Le cheval de Troie de l’immigration permet la conquête de l’occident , et les occidentaux herbivores se laissent coloniser .
   Il faut limiter au maximum l’immigration , réduire au minimum toutes les aides accordées aux migrants , la plus part de nos politiciens sont des idiots utiles .

   • Bonjour Patrick Sinclair, Je suis d’accord avec vous. Il suffirait de supprimer les aides aux migrants pour voir leur nombre diminuer. Il faudrait diviser le flux migratoire par 50 et passer à une immigration choisie et tant pis si elle est un bonheur pour le pays qui accueille et un malheur pour celui qui perd ses élites. Et un grand nombre personnes sont de faux réfugiés politiques car pour se mettre à l’abri du gouvernement qui les pourchasse, il leur suffit de passer dans le pays d’à côté et nul besoin d’aller en Europe. Mais il n’y a aucune aide dans le pays voisin, ni pour ses ressortissants et encore moins pour les étrangers. C’est pour cette raison qu’ils traversent l’Afrique puis la Méditerranée pour venir chez nous.

10. Ce qui est relaté dans cette interview, ce sont les prémisses d’une catastrophe annoncée.
    Au rythme de 500 000 entrées par an, les Français seront vite submergés. On voit ce qui est arrivé à des pays comme l’Afrique du Sud où les blancs minoritaires sont pourchassés et même assassinés.  Allons-nous rentrer dans un conflit racial en même temps que religieux, civilisationnel ? L’effroyable processus de destruction de notre civilisation semble bien avancé et ne connaît aucune opposition de la part d’un État à la lâcheté avérée et chronique.
    Sommes-nous voués à nous soumettre ou à disparaître ? Lorsque tous les Euro-politiciens qui ont permis et délibérément favorisé cette situation auront pris réellement conscience du drame, il sera trop tard. Ils auront beau alors s’exclamer « on ne savait pas », leur hypocrisie et leur corruption ne les sauvera plus, ils seront chassés et pire, car devenus gênants pour leurs nouveaux maîtres.
    Mais aussi de nombreux Français ne veulent rien voir ou refusent de se lever et de se battre pour préserver leur histoire, leur culture, leur identité ; pour sans doute choisir un jour le renoncement et la soumission, bien aidés en cela, et ce, depuis longtemps par la propagande et la doxa officielle, le lavage de cerveau médiatique, la diffusion de la drogue amollissante, la destruction et l’intoxication à l’école, l’endoctrinement universitaire, la soumission déjà effective de nombreux élus.

    • Gouverner, c’est prévoir !

11. Lorsque l’homme qui devient électeur est instruit alors il peut s’exprimer en conscience. Mais lorsqu’il est nourri de flatteries et de promesses, alors l’espoir disparaît.

12. Anecdote : Un jour de 1963 en primaire à Notre Dame du Liban à Dakar, les garçons noirs et blancs lorgnaient les fruits d’un beau manguier de l’autre côté du mur d’enceinte de l’école. La récréation commençait à peine et nous eumes le temps de franchir l’obstacle et de cueillir quelques mangues des branches les plus basses. De retour dans la cour de récré, les filles qui nous avaient observé, nous demandèrent si nous voulions partager. Pour faire les beaux, nous avons accepté. La dessus, la maitresse arriva et demanda « Mais où avez-vous trouvé ces mangues, les filles ? ». Et sans vergogne, ces dernières dirent la vérité et les garçons furent punis. Et c’est là qu’au primaire, je compris que les filles, noires ou blanches, sont toutes les mêmes.

13. Le racis.me anti-blanc a toujours existé. J’en ai pâti quand je séjournais en Afrique. C’est alimenté par la jalousie de la réussite par le travail et l’intelligence de la part de ceux qui ont tendance à vivre au jour le jour sans chercher à s’élever

14. Le racisme anti blanc existe depuis bien avant Crépol, perso, je l’ai vécu fin années 90 mais là c’est vrai qu’à Crépol c’était flagrant même si les juges ne retiennent pas ce fait, c’est la réalité hélas ! Bien sur certains ne le reconnaitront jamais pour je ne sais quelle raison ou idéologie mais ça ne change rien !

    • Vrai ! Une de mes filles (50 ans) a déjà subi, et elle n’était pas seule.
      Crachats, insultes, « Vous nous mangerez dans la main » ….
      Les politiques, et avant Macron, ont laissé faire, parce que tout simplement ils ne se sentaient pas concernés, et après eux, et leurs gras privilèges, le déluge. Aujourd’hui à ciel ouvert, les juges ont pris le relais. Un de Gaulle pour remettre l’occupant à sa place ?

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