Laxisme de la justice allemande face aux viols commis par les migrants

Alors que les agressions sexuelles perpétrées par les migrants sur les Allemandes se poursuivent, la justice accorde des circonstances atténuantes aux agresseurs, qui se voient frappés de peines très légères.

Un individu de nationalité gambienne, entré illégalement en Allemagne en 2014 et vivant, depuis lors, en tant que réfugié à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, avait été condamné en première instance à huit mois d’emprisonnement pour avoir tenté, durant une demi-heure, de violer une Allemande de 17 ans, l’acte ayant été évité au dernier moment suite à l’intervention de colocataires de la victime alertés par les cris de celle-ci. Le Gambien est allé en appel et la justice a réduit fortement la peine : il est seulement frappé, ce 23 août 2017, de cinquante heures de prestations sociales (et contraint à trois entretiens au sein de l’association de conseils pour le planning familial, la pédagogie sexuelle et les conseils sexuels Pro Familia), son avocat, payé aux frais du contribuable, ayant plaidé le fait que son client présente de bonnes possibilités d’intégration. L’agresseur a décidé, devant le tribunal, de ne pas s’excuser auprès de sa victime.

Un Irakien de 23 ans ayant violé, le 6 août 2017, une Munichoise de 22 ans a, par contre, ce même jour, accepté devant un tribunal de lui présenter des excuses. La victime avait dansé toute la nuit lors d’une soirée organisée au bord du lac de Starnberg, dans les environs de Munich. Elle s’était ensuite rendue à la station de train local où l’Irakien, ayant lui aussi pris part à cette soirée, l’avait abordée en lui faisant croire qu’il connaissait un chemin plus court, l’avait entraînée vers une prairie, l’avait jetée à terre, lui avait tenu la bouche fermée et l’avait violée.

Le 23 août 2017, à 2 h du matin, au sein de l’ancien jardin botanique à Munich, des passants ont été alertés par des cris. Ils ont vu une étudiante allemande de 17 ans en train d’être violée par un Afghan de 18 ans. La police, prévenue, a été contrainte de tirer un coup de feu en l’air afin de pouvoir capturer l’individu alors en fuite.

Ce 20 août 2017, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une Allemande a été violée dans les toilettes de la discothèque Maquina par un Africain demandeur d’asile.

Les hôpitaux ne sont pas épargnés. Mojtaba H., un Afghan demandeur d’asile de 30 ans, est jugé à Hambourg pour avoir pénétré par une fenêtre au sein d’une clinique durant la nuit afin de commettre une agression sexuelle, le viol étant évité suite à l’intervention d’une infirmière, malgré le fait que l’agresseur ait eu le culot de lui prétendre être le petit ami de la victime.

Pendant ce temps, le journaliste anti-islamisation Michael Stürzenberger a été condamné, ce 18 août 2017, à Munich, à six mois de prison avec sursis et à cent heures de travail social pour avoir publié sur Facebook une photo historique montrant les collusions ayant existé entre un pan de l’islam et le national-socialisme, la juge estimant, entre autres, qu’il a ainsi stigmatisé les musulmans.

La justice allemande est devenue une institution de république bananière où les peines les plus légères frappent les migrants coupables des pires délits pendant que certains patriotes se voient condamnés pour délit d’opinion.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 09/01/2020 à 18:42.
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Lionel Baland
Écrivain et journaliste belge francophone

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