
Les chaussettes de Jean-Michel Aphatie sentent bon la rocaille des chemins escarpés du Sud-Ouest. De retour sur les plateaux de télévision parisiens, l'homme fait respirer ses pieds aux journalistes présents à ses côtés. Un vrai bonheur. Quelques traces de Chanel N° 5, un nuage de pin des Landes et cette bonne vieille odeur de terroir qui vous requinque son homme de gauche après une dure journée de matraquage mondialiste.
Entre deux tests olfactifs de ses arpions, le rude chroniqueur s'insurgeait récemment, sur LCI, contre l'hygiène des Français qui gravitent autour d'Éric Zemmour. Après examen approfondi, le verdict du spécialiste tombait. Il s'agit d'olibrius « qui puent un peu des pieds ». Rassurés par le « un peu », ceux-ci remirent au lendemain le bain de pied prévu de longue date, mais l'injure faite aux électeurs de l'ex-journaliste du Figaro déclenchait un tollé sur les réseaux sociaux. Boulevard voltaire n'était pas en reste avec les écrits de Gabrielle Cluzel et Richard Hanlet dénonçant le mépris du personnage pour les millions de Français qui ne partagent pas le « tout va bien » ambiant.
Sur Twitter, un internaute également choqué par cette remarque imbécile va plus loin et lance le challenge #EnvoieTesChaussettesSalesaApathie.
https://twitter.com/patleter91/status/1491070087926886411?s=20&t=lHxt4Av6k6oQ7RBktgKsaA
Une enveloppe de bonne taille, deux chaussettes sales glissées à l'intérieur et une seule adresse : LCI. Jean-Michel Aphatie, 1, quai du Point-du-Jour, 92100 Boulogne. Pour une réussite totale de l'opération, les perfectionnistes étaleront, ici et là, quelques discrètes pointes de munster bien fait, camembert de Normandie coulant ou toute autre production laitière restituant des effluves de pieds dans un état de zemmourisation avancé.
Cela afin de permettre au destinataire de faire constater à ses chers téléspectateurs et confrères la véracité de ses propos. Des lots de chaussettes répugnantes déballées sur la table de LCI et, soudain, le Français comprend dans quelle pétaudière le sympathisant de Zemmour évolue. Il se pince le nez, implore Macron de se présenter, dénonce le dérèglement climatique... Les fact checkers maison avec des lunettes sont appelés à la rescousse. « Oui. Ça sent mauvais. Il avait raison. »
Loin de jouer un mauvais tour à Jean-Michel Aphatie, le challenge consiste donc bel et bien à aider le propagandiste de gauche dans son travail. À lui apporter la preuve de sa clairvoyance. À l'aube du premier tour, le don de chaussettes sales peut sauver la France de l'abîme. À vos boîtes à lettres !
À défaut d’encourager les électeurs dans le sens des « sales » réflexions de Apathie…
Celui-ci va se faire beaucoup d’ennemis au sein du personnel de LCI.
Je ne doute pas que ce bobo-gaucho-parigot-tête-de…, qui est au journalisme, ce que Sibeth est à l’élégance, et Schiappa à la littérature, portera jusqu’à la fin de ses jours l’image d’un vulgaire et grossier petit personnage de la gauche caviar qui n’en finit pas de s’éteindre !
Après la reception des envois de chaussettes , il parait qu’Apathie s’est faché tout rouge, dans son prochain édito il parlerait des slips de l’esstrême drouàte …chiche !
Il faut d’abord s’entendre sur la définition d’une chaussette sale. Qu’est-ce au juste ? Au bout de combien de jour une chaussette est elle déclarée sale ? Et puis autre donnée du problème : quel type de pieds l’a portée ? Un pied qui pue dès le matin, un pied qui macère toute la journée ? Car il y a sale et sale : un pied peut sentir et ne pas être sale et un autre peut-être sale et ne pas sentir. Apatie n’a pas développé sa théorie et nous sommes perplexes. Jean Michel explique nous.
Si je devais envoyer des chaussettes à ce chroniqueur (même si une carte de presse suffit à faire un journaliste), je choisirais de vieilles chaussettes sales et trouées qui me semblent lui convenir. Mais pourquoi lui faire ce cadeau ?
Ce petit monsieur est bien trop insignifiant, qu’il croupisse dans sa haine. Cessez de parler de lui, vous lui faites gagner de l’argent pour ses restaurants.
Un grand bravo à ceux qui ont eu cette idée ! C’est tout ce que mérite ce sinistre Apathie, l’homme au homard…
Il est réconfortant de voir qu’il y a encore des citoyens qui ne plient pas devant l’insulte et la vulgarité de Mr Apathie.
.. qui nous certifie « sur « l’honneur …
Moi je vote pour celui qui nous certifie que l’honneur qu’il ôtera Apathie de ma télé .
A force de servir le pouvoir, Apathie se croit dans le premier cercle et s’autorise à insulter le peuple. Il serait temps de renvoyer ce journaliste haineux et sans talent au terminal des prétentieux.
quand tu es bobo tu ne pue pas c’est tes esclaves qui suent pour toi !
livraison de tes courses au 6 éme sans ascenseur , afgane qui repasse ton linge pendant 4 heures dans une alcoove sans air , nounou ivoirienne qui garde les deux garnements du couple , chauffeur turc qui astique le 4×4 et la berline dans un garage en troisiéme sous sol
c’est facile de ne pas puer dans ces conditions
Mes moyens ne me permettent pas d’adresser des chaussettes à cette ruine de l’audiovisuel. Mon interrogation va vers des médias qui ont recours à ces parangons de l’insulte, la bave de la haine en guise de raisonnement. Privez les de l’adjectif « nauséabond » et ils ne sauront plus rien dire. Lamentable, c’est dire , puisque ça fait rire « En Marche ».
LCI …. l’employeur de …. Olivier Duhamel …. de Cohn Bendit et de leur idiot utile de Luc Ferry …..
Pour les amateurs de la saga d’Harry Potter, ne trouvez-vous pas une ressemblance frappante entre Aphatie et l’elfe de maison Dobby, esclave soumis de la famille Malefoy? Autre coïncidence, Dobby est libéré de son maitre tyrannique grâce à l’entremise d’une… chaussette sale. Extraordinaire, non ? Peut-être, comme Dobby, Aphatie est-il sous emprise. Dans ce cas, nul doute que cet afflux de chaussettes sales permettra de le libérer!
Apathie s’est mis dans de sales draps…heu, non, dans de sale chaussettes.
Il n’y a que son accent qu’on retiendra de ce journaliste gaucho-bobo.
C’est une situation curieuse de voir des chaines de télé payer un type qui non seulement fait des analyses d’une rare stupidité mais en plus à défaut de convaincre insulte la terre entière…..
Moi je serais LCI je l’enverrais à la concurrence!!!!!
J’ai l’impression que LCI a du mal à recruter et racle les fonds de paniers car les autres ne volent pas très haut non plus. Il y a aussi Cohn Bendit et Françoise Degois qui incitent à zapper.
Mr Apathie est au journalisme ce que l’araignée est au textile. Il bave, il file, mais jamais ne tisse.
Ne méprisez pas les araignées. Elles au moins savent tisser leur toile et pas pour être élues;;.
De quoi nous plaignons ,l’état nous a offert, pendant cinq ans la plus longue psychanalyse dont nous pouvions rêver .
Ainsi donc ,sans lui ,comment aurions- nous pu savoir que nous étions paresseux,
illettrés ,alcooliques ,incapables de traverser la rue pour trouver du travail ,criminels contre l’humanité et maintenant emmerdables et puant des pieds …
Et dire que tant de gens se battent pour diriger un cheptel pareil! La cour des miracles !
fumant de clopes et roulant au Diesel ….
Avec Schiappa dans le rôle d’Esméralda :) !
Est-ce qu’on a le droit de lui envoyer des chaussettes trouées comme le sont les poches de Français qui ne gagnent pas autant que lui ? Quel être répugnant au ton perfide malgré l’accent chantant ! Il mérite la porte, mais quel patron de cette chaîne ne la mérite-t-il pas ?
Pauvre Jean-Michel Aphatie, il ne sait plus quoi inventer pour tenter d’exister. Il est sûr que quand on voit les parcours journalistiques d’un Eric Zemmour, Pascal Praud, Charlotte D’Ornella, Gabrielle Cluzel , Élisabeth Levy et j’en passe, comparés au sien, il y a de quoi être jaloux. Il est prêt à n’importe quoi pourvu qu’on parle de lui. Il oublie que s’il est encore là ce n’est pas grâce à son talent, mais grâce aux subventions gouvernement.
N’oublions pas G.-W. Goldnadel…
Exact, un oubli impardonnable, désolé.
Le Munster bien à point n’est pas mal non plus…
On peut aussi envoyer les chaussettes dépareillées, ce qui remettra au gout (?) du jour la formule de Chirac: » Ça m’en touche une sans faire bouger l’autre ».