
Sonia Backès, à l’instar de son maître, s’est ainsi illustrée, par conviction ou par maladresse, comme le chantre du « Grand Remplacement ».

Ils sont de moins en moins nombreux, ceux qui peuvent témoigner de cette période qui risque fort, malgré ces journées nationales, de tomber dans l’oubli.

Pap Ndiaye, cet OVNI envoyé rue de Grenelle pour remplacer Jean-Michel Blanquer, ne fait guère preuve d’originalité.

Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.

Le problème, c’est qu’ils ne sont pas tous d’accord sur le contenu de cette rupture.

L’important, c’est de pouvoir dire, jeudi prochain, que la rentrée s’est bien passée et qu’il y avait un professeur devant chaque classe. Dans ce domaine aussi, le macronisme, c’est l’illusion.

Une mesure démagogique qui masque l’impuissance d’un gouvernement à mettre en œuvre une véritable politique de recrutement.

La perte d’autorité, qui gangrène toutes les institutions françaises, s’est propagée dans les relations internationales, où Macron joue le Matamore mais a perdu tout réel crédit.

La France insoumise proteste contre le projet d’expulsion d’un imam islamiste, mais on ne va pas pleurer sur le sort d’un évêque catholique.

À bien y réfléchir, les exemples de la Chine et de la France ne sont pas si différents.

Voici que le vent tourne. Selon Le Parisien, le président ukrainien commence à subir des critiques.

Après des « décennies de laxisme », après « tant d’années d’irresponsabilités et de reculade », que peut-on espérer ?

Il n’est pas impossible que Gérald Darmanin, trop pressé de montrer à l’opinion publique sa détermination nouvelle à lutter contre l’islamisme, n’ait pas suffisamment étayé le dossier d’expulsion.

Vision à la fois utopique et intéressée, qui conduit à la soumission devant les plus nombreux.

On voit comment Sciences Po Toulouse rivalise avec l’IEP de Grenoble qui, l’an dernier, a défrayé la chronique.

Cette erreur, s’ajoutant aux fuites qui ont eu lieu pour certaines épreuves et ont contraint de recourir aux sujets de secours, jette encore un peu plus le discrédit sur un baccalauréat, qui n’en avait pas besoin.

La souveraineté du peuple, dans une démocratie, ne serait-elle qu’une illusion ?

On exhibe sa volonté de dialogue, mais on se fiche éperdument, dans les sphères du pouvoir, de ce que pensent la majorité des Français.
Le préjugé de l’égalitarisme a supplanté le savoir émancipateur.

Suggérons donc à notre ministre, au cas où il lirait ces lignes, quelques pistes susceptibles d’améliorer la situation.

À force de chercher des excuses à cet homme qui ne fut pas un lampiste mais, pour le moins, un complice actif des islamistes, on oublie que le devoir des juges, c’est aussi de protéger la société.

Somme toute, nos dirigeants s’accommodent de ce système, malgré ses travers : il leur donne bonne conscience.

Ce passeport atteste-t-il au moins l’acquisition de savoirs et de méthodes solides ? On peut en douter.

Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris.

Mais quelle que soit la sévérité des peines prononcées, fussent-elles exemplaires, elles resteraient symboliques si le pouvoir ne tirait pas toutes les conséquences de cet attentat programmé par les islamistes.

La « nouvelle méthode » que vient de dévoiler le président de la République montre que, du haut de son Olympe, tel un illusionniste, il continue de jouer à faire semblant.

S’il ne veut pas entrer davantage dans la voie de la soumission, le gouvernement doit réagir vite et fermement.
L’académie de Versailles, la plus grosse académie de France, vient d’organiser un « job dating » pour recruter des professeurs en vue de la prochaine rentrée.

Sonia Backès, à l’instar de son maître, s’est ainsi illustrée, par conviction ou par maladresse, comme le chantre du « Grand Remplacement ».

Ils sont de moins en moins nombreux, ceux qui peuvent témoigner de cette période qui risque fort, malgré ces journées nationales, de tomber dans l’oubli.

Pap Ndiaye, cet OVNI envoyé rue de Grenelle pour remplacer Jean-Michel Blanquer, ne fait guère preuve d’originalité.

Il n’a même pas précisé s’il demanderait leur avis aux élus locaux, encore moins à la population.

Le problème, c’est qu’ils ne sont pas tous d’accord sur le contenu de cette rupture.

L’important, c’est de pouvoir dire, jeudi prochain, que la rentrée s’est bien passée et qu’il y avait un professeur devant chaque classe. Dans ce domaine aussi, le macronisme, c’est l’illusion.

Une mesure démagogique qui masque l’impuissance d’un gouvernement à mettre en œuvre une véritable politique de recrutement.

La perte d’autorité, qui gangrène toutes les institutions françaises, s’est propagée dans les relations internationales, où Macron joue le Matamore mais a perdu tout réel crédit.

La France insoumise proteste contre le projet d’expulsion d’un imam islamiste, mais on ne va pas pleurer sur le sort d’un évêque catholique.

À bien y réfléchir, les exemples de la Chine et de la France ne sont pas si différents.

Voici que le vent tourne. Selon Le Parisien, le président ukrainien commence à subir des critiques.

Après des « décennies de laxisme », après « tant d’années d’irresponsabilités et de reculade », que peut-on espérer ?

Il n’est pas impossible que Gérald Darmanin, trop pressé de montrer à l’opinion publique sa détermination nouvelle à lutter contre l’islamisme, n’ait pas suffisamment étayé le dossier d’expulsion.

Vision à la fois utopique et intéressée, qui conduit à la soumission devant les plus nombreux.

On voit comment Sciences Po Toulouse rivalise avec l’IEP de Grenoble qui, l’an dernier, a défrayé la chronique.

Cette erreur, s’ajoutant aux fuites qui ont eu lieu pour certaines épreuves et ont contraint de recourir aux sujets de secours, jette encore un peu plus le discrédit sur un baccalauréat, qui n’en avait pas besoin.

La souveraineté du peuple, dans une démocratie, ne serait-elle qu’une illusion ?

On exhibe sa volonté de dialogue, mais on se fiche éperdument, dans les sphères du pouvoir, de ce que pensent la majorité des Français.
Le préjugé de l’égalitarisme a supplanté le savoir émancipateur.

Suggérons donc à notre ministre, au cas où il lirait ces lignes, quelques pistes susceptibles d’améliorer la situation.

À force de chercher des excuses à cet homme qui ne fut pas un lampiste mais, pour le moins, un complice actif des islamistes, on oublie que le devoir des juges, c’est aussi de protéger la société.

Somme toute, nos dirigeants s’accommodent de ce système, malgré ses travers : il leur donne bonne conscience.

Ce passeport atteste-t-il au moins l’acquisition de savoirs et de méthodes solides ? On peut en douter.

Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris.

Mais quelle que soit la sévérité des peines prononcées, fussent-elles exemplaires, elles resteraient symboliques si le pouvoir ne tirait pas toutes les conséquences de cet attentat programmé par les islamistes.

La « nouvelle méthode » que vient de dévoiler le président de la République montre que, du haut de son Olympe, tel un illusionniste, il continue de jouer à faire semblant.

S’il ne veut pas entrer davantage dans la voie de la soumission, le gouvernement doit réagir vite et fermement.
L’académie de Versailles, la plus grosse académie de France, vient d’organiser un « job dating » pour recruter des professeurs en vue de la prochaine rentrée.
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