Son message malthusien, entre féminisme, hédonisme et écologie, a été entendu cinq sur cinq… par son propre écosystème.
Ses épées médiévales, la prochaine fois, ne suffiront peut-être pas.
La clé de voûte de l’architecture pro-palestinienne est la rhétorique décoloniale. Née pendant la guerre d’Algérie.
Dans son dernier livre, à travers trente portraits, Christine Kelly se demande ce qui caractérise une femme politique.
Ces JO semblaient, pour la France insoumise, commencer sous les meilleurs auspices. Elle déchante aujourd’hui.
Guillotinée une deuxième fois : qui, au gouvernement, a bien pu valider ça ?
Sur son compte X, France TV écrit, enthousiaste, y voir (attention, jeu de mots) « une mise en cène LÉ-GEN-DAIRE ».
Ce gouvernement démissionnaire, dans tous les sens du mot, met la France en danger.
Penser se débarrasser de Cyril Hanouna en supprimant C8, c’est se fourrer le doigt dans l’œil.
Jean-Luc Mélenchon est-il une source d’inspiration, pour Gérald Darmanin ?
Un lanceur d’alerte perpétuellement à la bourre. Il met en garde quand tout est déjà accompli. Monsieur minuit et quart.
La version américaine de la devise de Charette : « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais ! »
Ils sont des Black Blocs à boutons de manchette, des antifas de salon lambrissé prêts à tout pour contrer le RN.
Ce résultat bricolé ne peut effacer le motif même de ces législatives : la victoire du RN aux européennes.
La France passera en un clin d’œil de la diversité aux nationalités.
Des montages douteux qui explosent entre les mains des bricoleurs du dimanche, cela arrive souvent.
Cette épée aurait été confiée à Charlemagne par un ange.
En plus d’une carte d’électeur, les Français ont un cerveau. Et ils ne sont pas la propriété de leur premier choix.
Près de 12 millions de voix en 2024, contre un peu plus de 4 en 2022.
Si gonflés de leur propre importance, ils sont incapables de mesurer, ni même d’imaginer, leur effet repoussoir.
Un nombre croissant de Français semblent avoir tranché.
Jean-Luc Mélenchon se croit bien assis sur un trône mais l’est peut-être sur un siège éjectable.
La beauté sauvera le monde, disait Dostoïevski. Une part du salut lutte donc contre un cancer dans un manoir anglais.
Un (ancien) Président ne devrait pas faire ça.
Qui, au gouvernement, voudrait sévir contre les antifas ? Ils servent le récit macroniste du « Moi ou le chaos ».
Ce cordon sanitaire tressé par François Mitterrand pour faire barrage au FN, c’était la corde pour pendre la droite.
Les barrages, les fronts républicains, c’est bon pour la droite. La gauche, elle, ne s’embarrasse pas de morale.
Cela restera sans doute, dans son double quinquennat, comme le plus beau coup de théâtre de ce grand acteur.
Son message malthusien, entre féminisme, hédonisme et écologie, a été entendu cinq sur cinq… par son propre écosystème.
Ses épées médiévales, la prochaine fois, ne suffiront peut-être pas.
La clé de voûte de l’architecture pro-palestinienne est la rhétorique décoloniale. Née pendant la guerre d’Algérie.
Dans son dernier livre, à travers trente portraits, Christine Kelly se demande ce qui caractérise une femme politique.
Ces JO semblaient, pour la France insoumise, commencer sous les meilleurs auspices. Elle déchante aujourd’hui.
Guillotinée une deuxième fois : qui, au gouvernement, a bien pu valider ça ?
Sur son compte X, France TV écrit, enthousiaste, y voir (attention, jeu de mots) « une mise en cène LÉ-GEN-DAIRE ».
Ce gouvernement démissionnaire, dans tous les sens du mot, met la France en danger.
Penser se débarrasser de Cyril Hanouna en supprimant C8, c’est se fourrer le doigt dans l’œil.
Jean-Luc Mélenchon est-il une source d’inspiration, pour Gérald Darmanin ?
Un lanceur d’alerte perpétuellement à la bourre. Il met en garde quand tout est déjà accompli. Monsieur minuit et quart.
La version américaine de la devise de Charette : « Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais ! »
Ils sont des Black Blocs à boutons de manchette, des antifas de salon lambrissé prêts à tout pour contrer le RN.
Ce résultat bricolé ne peut effacer le motif même de ces législatives : la victoire du RN aux européennes.
La France passera en un clin d’œil de la diversité aux nationalités.
Des montages douteux qui explosent entre les mains des bricoleurs du dimanche, cela arrive souvent.
Cette épée aurait été confiée à Charlemagne par un ange.
En plus d’une carte d’électeur, les Français ont un cerveau. Et ils ne sont pas la propriété de leur premier choix.
Près de 12 millions de voix en 2024, contre un peu plus de 4 en 2022.
Si gonflés de leur propre importance, ils sont incapables de mesurer, ni même d’imaginer, leur effet repoussoir.
Un nombre croissant de Français semblent avoir tranché.
Jean-Luc Mélenchon se croit bien assis sur un trône mais l’est peut-être sur un siège éjectable.
La beauté sauvera le monde, disait Dostoïevski. Une part du salut lutte donc contre un cancer dans un manoir anglais.
Un (ancien) Président ne devrait pas faire ça.
Qui, au gouvernement, voudrait sévir contre les antifas ? Ils servent le récit macroniste du « Moi ou le chaos ».
Ce cordon sanitaire tressé par François Mitterrand pour faire barrage au FN, c’était la corde pour pendre la droite.
Les barrages, les fronts républicains, c’est bon pour la droite. La gauche, elle, ne s’embarrasse pas de morale.
Cela restera sans doute, dans son double quinquennat, comme le plus beau coup de théâtre de ce grand acteur.