Féminisme
« Nous avons besoin de 50.000 euros pour nous lancer dans le militantisme digital. »
Aujourd’hui, Marguerite Stern paie le prix de sa liberté de pensée.
Loin de moi l’idée de voler au secours de Depardieu mais ceux qui s’acharnent contre lui sont d’une hypocrisie…
Mais pourquoi n’a-t-elle pas fait preuve d’une telle lucidité lorsqu’elle était en poste ?
Elles exigent un monde qui viendrait à bout de ceux qui ne pensent pas comme elles ou qui ne sont pas « elles ».
Cette semaine, Gabrielle Cluzel reçoit Dans votre salon Eugénie Bastié, journaliste au Figaro et essayiste, qui publie dans la collection Tract, chez Gallimard, un nouveau
Deux cent dix6huit ans après sa naissance, cette féministe « qui fut la première femme à se présenter à des élections législatives » sème ainsi à nouveau la discorde parmi les bien-pensants du Palais Bourbon.
« Ni patriarcat, ni capitalisme, ni frontières ! » Quel rapport avec la retraite à 64 ans ?
Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.
Des femmes qui se revendiquent elles aussi féministes mais « identitaires » sont venues dénoncer l’hypocrisie du néo-féminisme.
Je crois au contraire que la société française, la vraie, le peuple en somme, a envie de beauté, y compris de la part de ses enfants.
En définitive, le néo-féminisme a ceci de pratique qu’il condamne sans juger.
Annie Ernaux, réputée pour la crudité triste de ses descriptions intimes, est emblématique de sa génération, celle qui a appelé la libération des mœurs, blanc-seing sexuel qui a été interprété par DSK et ses épigones comme une pancarte « open bar », accrochée sur le front – restons polis – de toutes les femmes.
On ne doit pas dire « il pleut » mais « elle pleut ». Pourquoi pas. On dit bien « il pleut comme vache qui pisse ».
Face à cette succession de faits, la voie était libre pour Andréa Furet, qui n’est autre que l’héroïne du téléfilm Il est elle, et qui avait déjà annoncé au JDD, en novembre dernier : « Ce serait bien d’avoir une femme trans à Miss France. Je tenterai… »
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
Voilà : c’est Marine Le Pen qui défend le mieux les aspirations des femmes.
Une messe « féministe » et « inclusive » a été célébrée, dimanche dernier, en la paroisse Saint-Pierre de Montrouge par le groupe « Féminisme
L’idéologie, c’est bien ; le principe de réalité, c’est mieux.
Et si les femmes, encore et toujours, se sentaient des prédispositions pour « le care », comme on dit aujourd’hui, c’est-à-dire le soin, l’attention, le maternage ?
Alice Cordier, présidente du collectif féministe Némésis, répond sans tabou aux questions de Boulevard Voltaire sur les conséquences de sa médiatisation (dans l’émission « Touche
Je le sais, je le sens, la nouvelle République écologique et sociale sera le paradis sur Terre.
C’est marrant, plus le féminisme progresse, plus les femmes régressent…
Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ? Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?
Et voilà qui pose, une fois de plus, l’épineuse question du féminisme occidental vis-à-vis des violences faites aux femmes. Question d’autant plus épineuse que ces féministes sont prêtes à s’égorger à coups de sac à main sur la définition même de leur combat.
Comme le soulignait si justement l’écrivain algérien Wassyla Tamzali, toutes les guerres identitaires se font sur le corps des femmes…
Petite fille zélée ayant voulu cocher toute les cases faussement rebelles imposées, elle devrait se voir tresser des couronnes de laurier par les grandes prêtresses de la nouvelle morale.
« Nous avons besoin de 50.000 euros pour nous lancer dans le militantisme digital. »
Aujourd’hui, Marguerite Stern paie le prix de sa liberté de pensée.
Loin de moi l’idée de voler au secours de Depardieu mais ceux qui s’acharnent contre lui sont d’une hypocrisie…
Mais pourquoi n’a-t-elle pas fait preuve d’une telle lucidité lorsqu’elle était en poste ?
Elles exigent un monde qui viendrait à bout de ceux qui ne pensent pas comme elles ou qui ne sont pas « elles ».
Cette semaine, Gabrielle Cluzel reçoit Dans votre salon Eugénie Bastié, journaliste au Figaro et essayiste, qui publie dans la collection Tract, chez Gallimard, un nouveau
Deux cent dix6huit ans après sa naissance, cette féministe « qui fut la première femme à se présenter à des élections législatives » sème ainsi à nouveau la discorde parmi les bien-pensants du Palais Bourbon.
« Ni patriarcat, ni capitalisme, ni frontières ! » Quel rapport avec la retraite à 64 ans ?
Une question « majeure » dont « on parle « très peu » car les féministes ont décidé que ce n’était pas utile, voire très dérangeant.
Des femmes qui se revendiquent elles aussi féministes mais « identitaires » sont venues dénoncer l’hypocrisie du néo-féminisme.
Je crois au contraire que la société française, la vraie, le peuple en somme, a envie de beauté, y compris de la part de ses enfants.
En définitive, le néo-féminisme a ceci de pratique qu’il condamne sans juger.
Annie Ernaux, réputée pour la crudité triste de ses descriptions intimes, est emblématique de sa génération, celle qui a appelé la libération des mœurs, blanc-seing sexuel qui a été interprété par DSK et ses épigones comme une pancarte « open bar », accrochée sur le front – restons polis – de toutes les femmes.
On ne doit pas dire « il pleut » mais « elle pleut ». Pourquoi pas. On dit bien « il pleut comme vache qui pisse ».
Face à cette succession de faits, la voie était libre pour Andréa Furet, qui n’est autre que l’héroïne du téléfilm Il est elle, et qui avait déjà annoncé au JDD, en novembre dernier : « Ce serait bien d’avoir une femme trans à Miss France. Je tenterai… »
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
Voilà : c’est Marine Le Pen qui défend le mieux les aspirations des femmes.
Une messe « féministe » et « inclusive » a été célébrée, dimanche dernier, en la paroisse Saint-Pierre de Montrouge par le groupe « Féminisme
L’idéologie, c’est bien ; le principe de réalité, c’est mieux.
Et si les femmes, encore et toujours, se sentaient des prédispositions pour « le care », comme on dit aujourd’hui, c’est-à-dire le soin, l’attention, le maternage ?
Alice Cordier, présidente du collectif féministe Némésis, répond sans tabou aux questions de Boulevard Voltaire sur les conséquences de sa médiatisation (dans l’émission « Touche
Je le sais, je le sens, la nouvelle République écologique et sociale sera le paradis sur Terre.
C’est marrant, plus le féminisme progresse, plus les femmes régressent…
Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ? Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?
Et voilà qui pose, une fois de plus, l’épineuse question du féminisme occidental vis-à-vis des violences faites aux femmes. Question d’autant plus épineuse que ces féministes sont prêtes à s’égorger à coups de sac à main sur la définition même de leur combat.
Comme le soulignait si justement l’écrivain algérien Wassyla Tamzali, toutes les guerres identitaires se font sur le corps des femmes…
Petite fille zélée ayant voulu cocher toute les cases faussement rebelles imposées, elle devrait se voir tresser des couronnes de laurier par les grandes prêtresses de la nouvelle morale.