[Vidéo] Prof de danse : deux élèves réagissent à la sortie de Sciences Po

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Une professeur de Sciences Po est accusée d'avoir dit « homme » et « femme » pendant son cours de danse et d'avoir refusé de se soumettre à la doxa woke, une information BV. Mais qu'en pensent les élèves ? Notre journaliste Jordan Florentin s'est rendu rue Saint-Guillaume, devant les portes de l'établissement, pour recueillir l'avis de deux élèves. Surprise ?

 

Jordan Florentin
Jordan Florentin
Journaliste à BV

Vos commentaires

39 commentaires

  1. La petite wokiste ne sachant que répondre à la fin, préfère s’éclipser à cours d’arguments.Et c’est ce genre d’individus qui est sensé être la future élite du pays. On est mal barrés.

  2. Est-ce qu’il faut comprendre que les leaders sont les hommes et le followers sont les femmes: au secours sandrine rousseau, il y a un réel problème.

  3. Curieux qu’une étudiante de sciences-po mette fin à une discussion sous prétexte que son interlocuteur n’est pas du même avis. On lui souhaite une belle carrière.

  4. Et pourtant .On a bien un gouvernement entier ,hommes et femmes mélangés ,danseurs de tango.
    Ils tournent avec le vent.Plus vite que les éoliennes .

    • Ils dansent aussi le mambo !! Ils avancent d’un pas pour reculer tout aussi vite . Il faut les suivre, mais parce que parfois ils nous marchent sur les pieds !

  5. Ce reportage interrogeant deux élèves est édifiant , tout n’est pas perdu :
    – la jeune femme est formatée 100 % , elle refuse les questions et déroule son catéchisme woke avec suffisance , on connaît cela maintenant .
    – le jeune homme a l’air de pouvoir penser par lui même , et de tenir un débat oral et contradictoire face à la dictature intellectuelle , il faut lui reconnaître un certain courage …
    Quand le groupe d’élèves de Sciences-po vont peut-être le frapper de la vindicte populaire , ces mêmes élèves pris isolément seront peut-être interrogés par la liberté de son opinion et éprouveront du respect ?

  6. Cette jeune femme qui représente clairement la parisienne bobo habitant les beaux quartiers de Paris, n’à rien trouvé de plus valorisant pour exister que d’adopter une position idéologique gauchiste, dont elle ne partage certainement pas les us et coutumes dans son milieu familial.
    Je pense qu’il est nécessaire et urgent de taper sur la table pour éradiquer ces minorités agissantes qui dévalorisent notre société française.
    Mais les suiveurs minoritaires ont-ils le courage de devenir les meneurs majoritaires ?

  7. Quand je pense que cette petit femme dans quelques années va « commander » et gouverner dans une entreprise , je plains ses subordonnées !!!
    Cela ne choque personne ces mots anglais de « leader » et de « follower », moi cela me révolte pour une pseudo grande école française !!!!

    • Cette jeune femme qui représente clairement la parisienne bobo habitant les beaux quartiers de Paris, n’à rien trouvé de plus valorisant pour exister que d’adopter une position idéologique gauchiste, dont elle ne partage certainement pas les us et coutumes dans son milieu familial.
      Je pense qu’il est nécessaire et urgent de taper sur la table pour éradiquer ces minorités agissantes qui dévalorisent notre société française.
      Mais les suiveurs minoritaires ont-ils le courage de devenir les meneurs majoritaires ?

  8. Quand demandera t’on à la majorité des personnes s’ils sont homme ou femme et non pas follower ( quelle manque de personnalité) ou leader ( quelle arrogance)
    Et bizarre, des mots non français, mais d’où cela vient t’il ? Je crois sur ce sujet qu’on est bien des followers.

  9. La « nièce » de sandrine rousseau estime que la danse de Salon se fait de façon « non genrée » … Ce sont ces idéologues qui vont arriver dans les sphères du pouvoir politique ! …
    Son « contradicteur » est plus modéré mais sans non plus très « combatif » pour dire clairement : « les minorités doivent ne pas être ceux qui « donnent les directives » …
    La FRANCE est vraiment « mal barrée » … dans tous les sens du terme

  10. Imaginez ces étudiants en fin de cycle, postulants devant un DRH ! L’une a des positions hétéroclites qui ne s’inscrivent pas du tout dans un climat social établi, serein, reflet de celui d’une France profonde apaisée. Elle serait certainement source de troubles sociaux, surtout si elle se révèle activiste, militante après embauche définitive. Quant à l’étudiant « homme », il est très partagé , ne prend pas position. Dans une entreprise, la vie n’est faite que de prises de décisions, et si possible qui s’inscrivent dans le déroulé reconnu de l’établissement choisi donc l’engagement ferme est nécessaire. Ce qui ne plombe pas pour autant les évolutions , les innovations. Une réflexion s’imposerait donc avant embauche définitive de ce jeune homme. Accordons lui une période d’essai afin de tester son niveau de responsabilité.

  11. Le wokistan ou Frankistan ? Le bon sens n’existe presque plus. C’est qu’un élève qui s’est plaint donc encore les minorités qui ont le dernier mot. Il devrait y avoir des cours d’anti imbecilite…

  12. Il suffit donc d’une plainte d’un étudiant pour mettre au ban une professeur ! Je maintiens, naturellement, qu’un couple de danseurs est composé d’une femme et d’un homme ! Ensuite, libre aux hommes ou femmes de danser ensemble
    Dieu a créé un homme et une femme Adam et Ève ! N’en déplaise à ces « wokistes » !

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