Salman Rushdie

La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».

La rhétorique islamique de « l’islamophobie » a porté ses fruits. Elle a bloqué le discours, interdit le débat, assimilé la critique de l’islam et de ses dérives à une forme de racisme.

Comme si rien, à quelques détails près, ne séparait Laurence Trochu d’un mollah iranien…
L’auteur d’Harry Potter a reçu une menace de mort sur Twitter après avoir publié un message de soutien à Salman Rushdie, qui est toujours dans

« Je suis en désaccord total avec ces gens de gauche qui font tout pour dissocier le fondamentalisme de l’islam »

La leçon de Rushdie, c’est le courage, la persévérance, l’ironie devant toute la grandiloquence indignée qui laisse faire. Mais c’est aussi que la littérature ne suffira pas à nous faire sortir du cauchemar islamiste.

Par une sorte d’éternel retour, Salman Rushdie, que l’on croyait tiré d’affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l’ayatollah Khomeini, en 1988,

Ne pas vouloir qualifier l’obscurantisme musulman est une lâcheté de plus qui ne peut qu’encourager les fanatiques islamistes.
Son agresseur a été arrêté.

La nouvelle reine consort d’Angleterre a appelé les écrivains à ne pas se laisser impressionner par « ceux qui veulent restreindre votre liberté d’expression ou imposer des limites à votre imagination ».

La rhétorique islamique de « l’islamophobie » a porté ses fruits. Elle a bloqué le discours, interdit le débat, assimilé la critique de l’islam et de ses dérives à une forme de racisme.

Comme si rien, à quelques détails près, ne séparait Laurence Trochu d’un mollah iranien…
L’auteur d’Harry Potter a reçu une menace de mort sur Twitter après avoir publié un message de soutien à Salman Rushdie, qui est toujours dans

« Je suis en désaccord total avec ces gens de gauche qui font tout pour dissocier le fondamentalisme de l’islam »

La leçon de Rushdie, c’est le courage, la persévérance, l’ironie devant toute la grandiloquence indignée qui laisse faire. Mais c’est aussi que la littérature ne suffira pas à nous faire sortir du cauchemar islamiste.

Par une sorte d’éternel retour, Salman Rushdie, que l’on croyait tiré d’affaire depuis sa condamnation à mort par le régime de l’ayatollah Khomeini, en 1988,

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Son agresseur a été arrêté.
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