Police
Au micro de Boulevard Voltaire, Alexandre Langlois réagit à son exclusion temporaire de six mois de la police nationale. Sur proposition du directeur général de
Pourquoi Castaner annonce-t-il une réflexion sur des violences policières qu’il s’évertue par tous les moyens à réfuter ?
Ce soutien ne me rend pas aveugle à ses fautes et délits éventuels qui doivent être sanctionnés sans faiblesse.
La police de sécurité du quotidien – comme si la police était une mission autre que quotidienne -, n’a, en vérité, jamais été autre chose qu’un vaste plan de communication destiné à donner de la visibilité à une politique sécuritaire anémique.
Emmanuel Macron est allé chercher un peu de lumière et de légitimité auprès de deux rares institutions qui en avaient encore, en les instrumentalisant.
La plupart des casseurs, les vrais, n’ont pas été inquiétés.
Une opération de maintien de l’ordre est potentiellement un moment particulièrement dangereux dès lors que l’usage de la force, caractérisé par les sommations de l’autorité civile, est annoncé.
Ces personnels, dévoués mais méconnus du grand public, seront donc fixés sur leur avenir début janvier.
Les forces de l’ordre semblent avoir plusieurs types de réponses en fonction des publics incriminés.
En réalité, toute cette cacophonie ne connaît qu’une origine. L’incompétence.
C’est donc par le dialogue et la recherche de solutions politiques, y compris le vote, que tout conflit social doit recevoir des solutions. Le mouvement, parfaitement justifié et légitime, des gilets jaunes ne peut échapper à cette règle.
Frédéric Ploquin voit juste quand il pointe le danger des propos d’un Yann Moix.
Au micro de Boulevard Voltaire, Alexandre Langlois réagit à son exclusion temporaire de six mois de la police nationale. Sur proposition du directeur général de
Pourquoi Castaner annonce-t-il une réflexion sur des violences policières qu’il s’évertue par tous les moyens à réfuter ?
Ce soutien ne me rend pas aveugle à ses fautes et délits éventuels qui doivent être sanctionnés sans faiblesse.
La police de sécurité du quotidien – comme si la police était une mission autre que quotidienne -, n’a, en vérité, jamais été autre chose qu’un vaste plan de communication destiné à donner de la visibilité à une politique sécuritaire anémique.
Emmanuel Macron est allé chercher un peu de lumière et de légitimité auprès de deux rares institutions qui en avaient encore, en les instrumentalisant.
La plupart des casseurs, les vrais, n’ont pas été inquiétés.
Une opération de maintien de l’ordre est potentiellement un moment particulièrement dangereux dès lors que l’usage de la force, caractérisé par les sommations de l’autorité civile, est annoncé.
Ces personnels, dévoués mais méconnus du grand public, seront donc fixés sur leur avenir début janvier.
Les forces de l’ordre semblent avoir plusieurs types de réponses en fonction des publics incriminés.
En réalité, toute cette cacophonie ne connaît qu’une origine. L’incompétence.
C’est donc par le dialogue et la recherche de solutions politiques, y compris le vote, que tout conflit social doit recevoir des solutions. Le mouvement, parfaitement justifié et légitime, des gilets jaunes ne peut échapper à cette règle.
Frédéric Ploquin voit juste quand il pointe le danger des propos d’un Yann Moix.