Présidentielle 2017
Ce sondage a été cloturé. Voici les résultats :
Nul besoin d’un hypothétique « complot » : un concours de circonstances, un piteux système de défense et quelques bons amis peuvent suffire.
Le mort est à peine froid et le caveau pas encore refermé qu’on s’écharpe déjà autour de l’héritage.
Le Front national ne pourra pas s’abstenir encore longtemps d’une réflexion profonde sur le rejet qu’il inspire auprès des catégories CSP+.
C’est une femme seule. Raison de plus pour la respecter.
Ce maire auvergnat n’a pas été loin, à bien y penser, de tomber sous le coup de la loi électorale.
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Macron a su jouer auprès d’une France seniorisée sur ces nostalgies de jeunesse vivaces mais sous-estimées.
Je crains, hélas, qu’aucune leçon ne soit tirée de ce fiasco.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.
Encore six semaines et on saura si ce Président disposera pour son action d’une majorité cohérente et structurée ou s’il devra composer.
Les analyses sur la « France des oubliés » doivent être affinées, corrigées et mieux appréhendées.
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
Ils ont roulé les Français dans la farine. Les bobos des grandes villes et leur puissance de feu médiatique ont écrasé la France périphérique.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
Est-ce une déroute, une défaite, un échec relatif ? Ou un nouveau pas vers une victoire future ?
De cette incroyable et insupportable manipulation subie par la France depuis dix semaines, on pourra tirer nombre d’enseignements sociologiques.
Analyses et commentaires des experts invités autour de Gabrielle Cluzel et Elise Blaise.
Le Conseil constitutionnel a rappelé que la campagne électorale devait prendre fin le vendredi 5 mai à minuit…
N’en déplaise à quelques belles âmes, il faut voter Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle.
À Rennes, Nantes, Troyes, Poitiers ou maintenant Lyon on osa se prononcer expressément contre Marine.
Cette fin de campagne est suffocante, avec un niveau d’embrigadement des esprits totalement inédit en démocratie.
Emmanuel Macron est porteur d’un projet mondialiste, qui remet en cause le concept même de nation.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…
Ce sondage a été cloturé. Voici les résultats :
Nul besoin d’un hypothétique « complot » : un concours de circonstances, un piteux système de défense et quelques bons amis peuvent suffire.
Le mort est à peine froid et le caveau pas encore refermé qu’on s’écharpe déjà autour de l’héritage.
Le Front national ne pourra pas s’abstenir encore longtemps d’une réflexion profonde sur le rejet qu’il inspire auprès des catégories CSP+.
C’est une femme seule. Raison de plus pour la respecter.
Ce maire auvergnat n’a pas été loin, à bien y penser, de tomber sous le coup de la loi électorale.
À y regarder de près, il est loin d’avoir la confiance de deux tiers des Français…
Macron a su jouer auprès d’une France seniorisée sur ces nostalgies de jeunesse vivaces mais sous-estimées.
Je crains, hélas, qu’aucune leçon ne soit tirée de ce fiasco.
Examinons, pour ce second tour, le vote des gendarmes dans deux bureaux versaillais où sont stationnés les escadrons de gendarmerie mobile de Satory.
Encore six semaines et on saura si ce Président disposera pour son action d’une majorité cohérente et structurée ou s’il devra composer.
Les analyses sur la « France des oubliés » doivent être affinées, corrigées et mieux appréhendées.
On ne sait ce qu’il adviendra de cette présidence déjà saturée de symboles, surtout quand ces symboles sont simplement conçus comme du marketing.
Ils ont roulé les Français dans la farine. Les bobos des grandes villes et leur puissance de feu médiatique ont écrasé la France périphérique.
La clé du succès d’Emmanuel Macron est qu’il a su créer une dynamique positive autour de sa candidature.
Est-ce une déroute, une défaite, un échec relatif ? Ou un nouveau pas vers une victoire future ?
De cette incroyable et insupportable manipulation subie par la France depuis dix semaines, on pourra tirer nombre d’enseignements sociologiques.
Analyses et commentaires des experts invités autour de Gabrielle Cluzel et Elise Blaise.
Le Conseil constitutionnel a rappelé que la campagne électorale devait prendre fin le vendredi 5 mai à minuit…
N’en déplaise à quelques belles âmes, il faut voter Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle.
À Rennes, Nantes, Troyes, Poitiers ou maintenant Lyon on osa se prononcer expressément contre Marine.
Cette fin de campagne est suffocante, avec un niveau d’embrigadement des esprits totalement inédit en démocratie.
Emmanuel Macron est porteur d’un projet mondialiste, qui remet en cause le concept même de nation.
Dans un entretien avec la presse, le pape François a eu, l’autre jour, une sorte d’inspiration divine…