Chômage
La France démarre 2023 avec un goût amer dans la gorge, mélange de résignation et d’exaspération.
Ainsi, sur 114 élus Renaissance sèchement remerciés par les électeurs, 60 pointeraient toujours chez l’ami Paul ; Pôle emploi, à l’état civil.
Le gouvernement veut montrer qu’il tient ferme le manche des réformes, tout en faisant preuve de souplesse.
Tout vient des normes édictées par le BIT pour définir un chômeur…
Les diplômes ne protègent malheureusement plus contre le chômage.
La crise sera d’autant plus terrible que la crainte du lendemain poussera les Français qui peuvent encore dépenser à privilégier l’épargne au détriment de la consommation.
Et un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l’artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France…
Force est de constater que de nombreux pays font mieux que nous…
Le gouvernement a présenté son projet de réforme de l’assurance chômage. Réaction et analyse d’Eudes Baufreton, directeur général de Contribuables associés. https://www.youtube.com/watch?v=4TYZdZN47Lo&feature=youtu.be Emmanuel Macron et
Une commission sénatoriale vient de se pencher sur le fonctionnement de Pôle emploi, né il y a dix ans de la volonté de Nicolas Sarkozy…
Le gouvernement n’a aucune raison de pavoiser.
Ces mesures ne sont pas la révolution annoncée. Elles ne sont que des adaptations aux réalités du terrain et ne changeront pas grand-chose.
Ces annonces semblent plus une posture destinée à séduire l’électorat LR qu’à un réel durcissement.
Les thuriféraires de M. Macron sont aux anges, car le nombre d’inscrits en catégorie A à Pôle emploi a baissé en septembre de 1,8 %.
La hausse est de 1,4 % sur trois mois, période de référence que M. Macron souhaite désormais privilégier pour éliminer les à-coups de l’évolution.
Sur le front de l’emploi, les différences entre immigrés et « autochtones » sont peu significatives… sauf pour ceux qui sont nés en Afrique.
Priorité à la communication destinée à faire croire aux Français qu’ils sont l’élément prépondérant dans l’action du gouvernement.
La France démarre 2023 avec un goût amer dans la gorge, mélange de résignation et d’exaspération.
Ainsi, sur 114 élus Renaissance sèchement remerciés par les électeurs, 60 pointeraient toujours chez l’ami Paul ; Pôle emploi, à l’état civil.
Le gouvernement veut montrer qu’il tient ferme le manche des réformes, tout en faisant preuve de souplesse.
Tout vient des normes édictées par le BIT pour définir un chômeur…
Les diplômes ne protègent malheureusement plus contre le chômage.
La crise sera d’autant plus terrible que la crainte du lendemain poussera les Français qui peuvent encore dépenser à privilégier l’épargne au détriment de la consommation.
Et un grand nombre de faillites, dans l’hôtellerie, la restauration, le commerce de proximité, l’artisanat, va faire exploser le niveau du chômage en France…
Force est de constater que de nombreux pays font mieux que nous…
Le gouvernement a présenté son projet de réforme de l’assurance chômage. Réaction et analyse d’Eudes Baufreton, directeur général de Contribuables associés. https://www.youtube.com/watch?v=4TYZdZN47Lo&feature=youtu.be Emmanuel Macron et
Une commission sénatoriale vient de se pencher sur le fonctionnement de Pôle emploi, né il y a dix ans de la volonté de Nicolas Sarkozy…
Le gouvernement n’a aucune raison de pavoiser.
Ces mesures ne sont pas la révolution annoncée. Elles ne sont que des adaptations aux réalités du terrain et ne changeront pas grand-chose.
Ces annonces semblent plus une posture destinée à séduire l’électorat LR qu’à un réel durcissement.
Les thuriféraires de M. Macron sont aux anges, car le nombre d’inscrits en catégorie A à Pôle emploi a baissé en septembre de 1,8 %.
La hausse est de 1,4 % sur trois mois, période de référence que M. Macron souhaite désormais privilégier pour éliminer les à-coups de l’évolution.
Sur le front de l’emploi, les différences entre immigrés et « autochtones » sont peu significatives… sauf pour ceux qui sont nés en Afrique.
Priorité à la communication destinée à faire croire aux Français qu’ils sont l’élément prépondérant dans l’action du gouvernement.