Série Chair tendre : Comment le militantisme woke de France Télévisions prospère aux frais du contribuable
« Je m’appelle Sasha Dalca. Je ne suis ni fille, ni garçon. Je suis aucun des deux. Je suis un peu des deux. Je n’ai pas encore décidé. » Avec Chair tendre, nouvelle série diffusée depuis le 23 septembre dernier, france.tv slash – plate-forme du groupe France Télévisions dédiée aux 18-30 ans – poursuit son œuvre de déconstruction.
La promotion des thèses LGBT
Dix épisodes d’une vingtaine de minutes. Le format peut sembler court, mais il est largement suffisant pour imposer un message militant. Sasha, élève en classe de terminale, débarque dans un nouveau lycée en milieu d’année scolaire. Mais rapidement, au gré des conversations, le flou s’installe. Fille ou garçon, le doute s'instille. Assez vite, le spectateur comprend que Sasha est en réalité « intersexe ». Chaque année entre, 0,2 et 2 % des enfants naissent avec des caractéristiques sexuées qui ne correspondent pas aux attributs masculins ou féminins. Derrière cette réalité biologique se cache un discours militant qu’exploite à merveille la dernière série de france.tv slash. « Ton identité de genre, c’est à toi de la trouver », assure ainsi un médecin au personnage principal. Partant de l’exception rarissime des personnes « intersexes », la série entend imposer l’idée d’une indifférenciation des sexes pour tous. À la question « Et vous, qui êtes-vous ? » posée par le personnage principal en guise de conclusion, chaque téléspectateur est appelé à s’interroger sur sa propre identité, loin de toute réalités biologiques.
Chair tendre est loin d’être la première création militante de la plate-forme. LGBT+, antiracisme, écriture inclusive… Les créations de france.tv slash cochent toutes les cases du catalogue militant. Alors que le cahier des charges de France Télévisions impose « l'honnêteté, la transparence, l'indépendance et le pluralisme de l'information », les programmes de la plate-forme diffusent sans aucune contradiction l’idéologie woke. Le tout payé par l’argent du contribuable ! En raison de ces manquements à la mission de service public, « Pas avec ma redevance », un collectif apartisan de citoyens fondé en janvier dernier, entendait imposer à la plate-forme « son obligation de pluralisme et d’impartialité ». Leur pétition avait rassemblé rapidement quelque 31.000 signatures et suscité une réponse de France Télévisions. Le collectif avait obtenu la suppression de certaines publications sur les réseaux sociaux. Mais la ligne éditoriale de france.tv slash n'a pas bougé.
Ainsi, le programme « Skam France », adaptation d’une série à succès norvégienne, aborde de nombreux champs du militantisme intersectionnel. La saison 2 est, par exemple, consacrée dans son entièreté à l’homosexualité de deux lycéens. La saison suivante met ensuite en scène une jeune musulmane portant le hijab et luttant contre le racisme. Les documentaires diffusés sur la plate-forme ne sont pas en reste. Océan, une web-série autobiographique, raconte la « transition de genre » d'Océane Marie-Rose, devenue Océan. Les premiers épisodes retracent le changement de sexe du personnage principal. Loin des protocoles médicaux fastidieux et souvent irréversibles, le programme présente la « transition » comme un simple « voyage ». Dans un autre épisode, Océan discute avec Rokhaya Diallo, militante antiraciste, du « privilège blanc » et de la « fragilité blanche ». Transgenre, polyamour, Black Lives Matter, « intersexes », cette série coche toutes les cases du militantisme woke. france.tv slash propose également de nombreuses productions sur le phénomène des drag queens, ces travestis masculins qui se construisent une identité féminine souvent exagérée, voire loufoque.
À l’heure où les 18-30 ans s’informent sur les réseaux sociaux et les plates-formes numériques, la propagande woke du service public met en danger notre jeunesse sans le moindre frein ni le moindre débat.
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21 commentaires
Cela s’appelle un lavage de cerveaux , mais dans quel but ces gens font-ils cela ?
Qui finance toute cette campagne ?
Que vont devenir ces pauvres gosses une fois à l’âge adulte ?