Arrivé en cours d'émission, le téléspectateur s'imagine que le débat du jour organisé par Pascal Praud tourne autour des lunettes d'Alain Jakubowicz. Faut-il, oui ou non, qu'il consulte son ophtalmo ? La question divise les invités. Sur les multiples vidéos traitant de la consommation de crack dans la capitale, l'ancien patron de la Licra n'a pas vu de surreprésentation des migrants. Le problème peut également provenir de son écran plat. Un réglage inadapté, une mauvaise réception du signal... Pour vérification de la bonne vue de son client, l'animateur-journaliste évoque le XIXe arrondissement de Paris. Les reportages auxquels son invité n'a pu échapper montrent des consommateurs de crack majoritairement migrants dans les squares et aux abords du périphérique. À vue de nez : 99 %. La polémique sur les lunettes enfle. Présent sur le plateau devenu cabinet de consultation, Joseph Macé-Scaron souligne la pléthore de faits divers scabreux liés au crack. Ils mettent en cause la population que l'avocat de Nordahl Lelandais ne voit pas.

Face aux évidences que lui présente l'oculiste de CNews, le patient ne distingue que la prise de cocaïne aux alentours du boulevard Saint-Germain. « La semaine dernière, L'Obs faisait la une sur monsieur Beigbeder et la cocaïne. Je n'ai pas connaissance que monsieur Beigbeder est un migrant. » Faut-il bloquer l'arrivée en France des milliers de Beigbeder dont on ne sait que faire ? Les riverains sont à bout. Des écrivains à la dérive se battent sous leurs fenêtres, des prix Goncourt agressent les enfants... Décidément, les deux yeux de l'invité sont atteints. Maître Jakubowicz est au bord de la canne blanche. Quelqu'un pour le raccompagner ?

Un migrant interviewé par le média Brut témoigne à propos du crack : « Ça, ça n'existe pas au bled. On connaît pas ça. » Pas de chance pour la France, pas de chance pour ces pauvres Africains venus chercher l'eldorado. Ils seront contraints de trouver les 100-200 euros journaliers pour se maintenir dans les paradis artificiels que l'Occident leur a fait découvrir. Entre accueillants et accueillis, le contrat est perdant-perdant. L'addiction du bobo gauchiste au phénomène migratoire reste une énigme.

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28 juin 2022 à 21:25

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10 commentaires

  1. Cet homme n’a pas besoin de canne blanche…Ses petites cellules grises sont en perdition, tout simplement. Car il serait inconcevable d’imagner chez lui de néfastes influences hautement rénumératrices, n’est-ce-pas?

  2. C’est quand même fascinant , cette mauvaise foi et cette propension à vouloir – aussi- détruire le pays d’accueil chez certains descendants d’immigrés européens – polonais, en l’occurrence- à qui des grands-parents ,a priori travailleurs et courageux , ont permis la meilleure intégration possible et la possibilité de s’élever dans le  » corps » ( les corps) de grands bourgeois friqués . Vite , un socio-psychiatre !

  3. Mr Jacubowicz fait partie de ces gens qui sont extrêmement heureux de la disparition de la France, de sa civilisation, de son mode de vie. Et pour étayer son point de vue, il ne recule devant aucune assertion, aussi tordue et puante soit-elle. Hautement méprisable, cet individu.

  4. Comme d’habitude, Jacubowicz préfère défendre les criminels plutôt que les honnêtes gens. Et comme d’habitude sa défense est ridicule et pathétique. Mais à quoi s’attendre de la part d’un homme qui a plaidé la cause de N. Lelandais ?

  5. Pourquoi avoir vendu « L’ Eldorado  » quand ce sont la rue , la misère et le crack qui les attendaient ?
    QUI est derrière le business florissant de cet esclavagisme 2.0 ?
    ON veut les  » Têtes  » !!!

    1. Voilà la bonne question, dont on attendra longtemps la réponse : nombre d’ONG, de policiers (PAF) et de politiques palpent gros dans ce trafic qu’ils dénoncent véhémentement par ailleurs. C’est ça la France macronienne : seul compte le fric, et les scrupules à la poubelle.

  6. Normal ,sinon comment ils trouveraient leur femmes de ménages et autres .

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