« Que voulons-nous conserver ? J’ai essayé de faire une petite liste »
Lire la suite »C'est en tant que chauffeuse de salle que le ministre était venu. Une apparition de Saint-Martin demande une préparation psychologique des fidèles.
Lire la suite »Ce qui ressort le plus de son discours, c'est sa tentative de récupérer Napoléon.
Lire la suite »Sa première réflexion porte sur la nécessité que la France renoue avec son identité dont elle doit être fière. Pas question de se repentir de quoi que ce soit.
Lire la suite »Joignant ses mains en Namasté, le Premier ministre en a appelé à la sérénité...
Lire la suite »On peut dire que la Mélenchonie est, en miniature, ce que fera la République dans un avenir proche.
Lire la suite »In fine, dans une planète mondialisée tant économico-socialement que culturellement, tout le monde finit par faire la même chose.
Lire la suite »Ce discours déchiré entrera dans l’Histoire comme l’acmé d’un mouvement de haine organisé par la gauche américaine contre leur nouveau président élu…
Lire la suite »Je tiens à remercier Yoram Hazony de nous avoir réunis aujourd’hui sous la bannière du conservatisme national. Notre grande idée est que le conservatisme n’est pas une norme, ce n’est pas une doctrine fixe. Que c’est avant tout une disposition d’esprit. C’est pourquoi il existe tant d’expressions nationales du conservatisme. Le génie de chaque peuple a traduit à sa manière le besoin universel de conservation de la société. La particularité des mouvements conservateurs présents aujourd’hui est qu’ils ne veulent pas simplement ralentir la marche du progressisme. Ce n’est pas seulement un « oui mais ». Ils proposent une voie radicalement différente. Nous avons de beaux exemples de ces différentes voies nationales ici, aujourd’hui et dans le monde : le conservatisme national de Donald Trump, l’illibéralisme de Vitor Orbán, le souverainisme de Boris Johnson, le catholicisme national polonais, le libéral-conservatisme autrichien et tchèque. Derrière nos différences, nous pouvons tous assumer ce terme de « conservateur » car nous défendons tous une vision commune de l’humanité et de ses extensions naturelles : des communautés de différentes sortes, plus spécifiquement la communauté nationale. Nous sommes le nouvel humanisme de ce siècle. Pourquoi ? Parce que nous connaissons et défendons tous les besoins de…
Lire la suite »La joute verbale entre Greta Thunberg et Donald Trump serait-elle en passe de virer à ces dialogues de sourds immortalisés par le capitaine Haddock et le professeur Tournesol dans les aventures de Tintin et Milou ?
Lire la suite »Ce week-end, c'était la grand-messe des Golden Globes, un apéritif avant le plat de consistance, les Oscars...
Lire la suite »Finalement, en faisant de Nicolas Sarkozy le point Godwin du débat politique français, ses détracteurs ne se dédouanent-ils pas, en creux, de ce sévère bashing qu'ils lui ont fait subir ?
Lire la suite »Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
Lire la suite »Le tribunal de première instance a annulé l'interdiction du burkini qui avait été appliquée dans deux piscines.
Lire la suite »À dix mois des élections municipales en Espagne, le journaliste José Maria Ballester revient sur la possible candidature de Manuel Valls à la mairie de Barcelone, et les questions qu'elle suscite. Pour Boulevard Voltaire, il analyse également la situation politique en Catalogne et au niveau national. Selon Le Huffington Post, la candidature de Manuel Valls a presque été confirmée à la mairie de Barcelone. A-t-il des chances de remporter cette élection ? C’est presque sûr, mais rien n’a été décidé. Ciudadanos ne va pas proclamer ses candidats avant les vacances d’été. J’ai trouvé très optimiste l’article auquel vous faites référence. Manuel Valls est bien né à Barcelone. Il est attaché à la Catalogne et il est attaché à l’unité de l’Espagne, mais être maire, c’est aussi gérer un budget, connaître la vie quartier par quartier, arpenter tous ses coins et connaître sa réalité le plus complètement possible. À mon avis, même s’il s’entoure d’une bonne équipe, de bons adjoints et d’une bonne liste, ce dont je ne doute pas, car c’est quelqu’un de très capable, être la personne la mieux placée pour connaître la réalité de Barcelone, il faudra voir. Qui va-t-il affronter lors de ces municipales ? On imagine que son…
Lire la suite »Mais la province peut aussi s’offrir des moments royaux à l’occasion de la très républicaine fête nationale.
Lire la suite »Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.
Lire la suite »La véritable raison est de se protéger d'un afflux potentiel d'islamistes.
Lire la suite »Il fallait que Narcisse, blessé, retrouvât son image dans le reflet des grandes eaux versaillaises. Chose faite avec la claque des courtisans. Versailles, c’est magique.
Lire la suite »Le 13 novembre 2015, la fille de Patrick Jardin, Nathalie, ingénieur lumière au Bataclan, était assassinée par des islamistes. Convaincu que cet attentat aurait pu être évité, il prépare un livre pour dénoncer la responsabilité de tous les gouvernements qui se sont succédé depuis quarante ans. C'est, explique ce père en deuil, le seul moyen de faire entendre une voix discordante, étouffée par les médias, dans le chœur des "Vous n'aurez pas ma haine". Je suis venu dans le cadre des attentats du 13 novembre 2015. Nous sommes réunis par les juges d’instruction tous les six mois pour nous tenir au courant du déroulement de la procédure. Quel lien avez-vous avec l’attentat du Bataclan ? Ma fille Nathalie a été assassinée au Bataclan le 13 novembre 2015. Elle y travaillait comme ingénieur lumière. Vous préparez un livre au sujet de cet attentat et du terrorisme. Pourquoi vouloir écrire un livre sur ce sujet ? Je suis certain que cet attentat aurait pu être évité et que les pouvoirs politiques ont une très lourde responsabilité dans le déroulement de cet attentat. Il m’est complètement impossible de le faire savoir par les médias. On ne peut pas tout dire aux médias et tous les…
Lire la suite »Tout ce qui n’est pas politiquement correct devient nazi et tout ce qui est un peu plus autoritaire est fascisant.
Lire la suite »En chute dans les sondages, Jupiter-Macron se raccroche pitoyablement à toutes les branches qu’il trouve, quitte à instrumentaliser la souffrance des handicapés à des fins bassement politiciennes.
Lire la suite »Le rapport du Sénat préconise de l’inscrire sur la liste des dérives sectaires de la MIVILUDES.
Lire la suite »Ce décalage constaté entre le réel et l’aliénation journalistique a un précédent : celui des sociétés communistes...
Lire la suite »Il y a de l'Erdoğan dans le Macron...
Lire la suite »Emmanuelle Ménard, députée de l'Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire après le discours d'Emmanuel Macron devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles. Vous qui étiez présente, qu’avez-vous pensé du discours du président de la République au Congrès ? Même s'il s'agit selon Emmanuel Macron d'un rendez-vous annuel, on ne réunit pas tous les députés et tous les sénateurs pour ne rien dire. J’en attendais donc beaucoup de choses. J’attendais un discours avec des annonces. J’ai été très déçue. Nous avons certes eu un beau discours incantatoire, de belles paroles et de belles déclarations. Mais nous n'avons pas eu d’annonces, hormis celles qui le concernent directement. Il a notamment dit qu'il essayerait l’année prochaine de faire en sorte de pouvoir rester, écouter les parlementaires et leur répondre. Nous aurons donc l’année prochaine, deux discours au lieu d’un. Ceci étant, j’ai une petite anecdote très étonnante sur cette disposition. Il annonce cela au Congrès à Versailles en disant qu’il demandera au gouvernement de déposer un amendement en ce sens. Or, ce même amendement a déjà été déposé par plusieurs groupes en commission. Chaque fois il a été retoqué par les députés de La République En Marche avant de passer dans…
Lire la suite »Emmanuel Macron s'est exprimé devant le Parlement réuni en Congrès à Versailles, ce 9 juillet. À l'issue du discours du président de la République, le député Rassemblement national du Nord Sébastien Chenu réagit pour Boulevard Voltaire. Vous avez écouté le président de la République au Congrès de Versailles. Que retenez-vous de ce deuxième discours du Président aux parlementaires? Je retiens tout d’abord que le Président est content de lui, de sa politique, de sa personne et de sa majorité. Il est bien sourd de ce qui se passe dans le pays. Pour autant, même s’il est content de lui, il a tout de même reconnu à mots couverts, dès le début de son allocution, qu’il était en échec sur le chômage, le pouvoir d’achat et l’insécurité. Il n’y a, néanmoins, pas eu que des longueurs et des enfoncements de portes ouvertes. J’ai tout de même retenu quelques propos intéressants. Emmanuel Macron a parlé de l’élection présidentielle de l’année dernière en rappelant que nous étions ses adversaires. Il a également confirmé que nous serions à nouveau ses adversaires aux élections européennes à venir. Il a donc lui-même installé le combat entre militants de la nation et militant de l’Europe supranationale dont…
Lire la suite »À Versailles, le Président Macron n'a guère prononcé qu'un discours de politique générale.
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