COUP DE GRIFFE

Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.

La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.

L’animateur révèle que son objectif professionnel était de devenir cadreur à la télé, le voilà livré à des olibrius qui ne peuvent pas l’encadrer. Ah, que la société a changé…

Du jamais-vu depuis Clovis !

On aimerait que le préfet nous dise à quoi il songe au juste et qui est visé.

L’impôt Poutine, la taxe sur le Vladimir… Diverses appellations aideront les plus naïfs à passer l’hiver.

Et puis est arrivé le fiasco du Stade de France, assumé totalement par le préfet qui a, une fois de plus, accepté de jouer les fusibles pour le ministre de l’Intérieur.

Entre nous, si le Premier ministre ne veut pas être embêté par des questions cons, la prochaine fois, elle n’aura qu’à faire comme tout le monde quand on est ministre : prendre sa voiture…

C’est le blues du TER. Le budget alloué à l’entretien des petites lignes est insuffisant. À terme, certaines pourraient fermer tandis que la vétusté des autres amènerait les trains à rouler de moins en moins vite.

Ne serait-il pas plus prudent d’enfermer tous les Blancs hétéros à titre préventif ?

Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.

Tout cela est consternant mais, fait rassurant (ou pas), la fonction présidentielle paraît soudain à la portée de n’importe quel bateleur.

Deux bien belles journées de remise en cause des « paradigmes patriarcal, hétéronormatif, capitaliste, colonial et suprémaciste » !

Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.

Le comble, c’est que ces mouvements couvrant la quasi-totalité de l’échiquier politique ont tous appelé à voter Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle pour sauver le même « arc républicain ».

Lors du G7 qui se tenait en Allemagne, le plaisant Boris Johnson suggère à la cantonade d’apparaître en chemise sur la photo de famille officielle afin de rivaliser avec la virilité de celui qu’ils souhaitent affaiblir.

J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.

Autant que l’avis de ce germanopratin nous intéresse, c’est-à-dire peu ou prou, mettons-le tout de même face à ses contradictions lorsqu’il renvoie « les deux extrêmes » dos à dos.

Au fil de l’avancée du progressisme, le délayage verbal vient semer le trouble entre la réalité et le mot simple censé la décrire.

La première phrase de la députée Sandrine Rousseau sera le signe annonciateur d’une révolution syntaxique broyant l’antique masculin-féminin en une formule qui fera date : « Bravo à vous pour la magnifique campagne que vous avez fait et faite.

On pourrait presque reprendre la formule de René Coty : aujourd’hui, le premier des Français n’est plus vraiment le premier en France !

Grande semaine d’examens que cette semaine, disions-nous. Pour les lycéens mais aussi pour les Français. Examen de conscience dans l’isoloir.

Franchement, de bien belles images cinématographiques pour les actualités.

Quelle importance, l’essentiel est que l’école reste ludique pour les élèves, c’est bien l’objectif de nos pédagogistes, épigones de Bourdieu, depuis des dizaines d’années.

Le carrosse LFI se transforma en citrouille. Le courtisé de la veille avait mené sa campagne tambour battant et menaçait maintenant d’envahir l’Assemblée nationale.

Le parti se veut officiellement un peu plus nuancé, annonçant qu’en cas de duel NUPES/RN, les consignes de vote seront données au cas par cas. Mais pas pour le RN…

Donc, pour Bergoglio, porter un surplis dentelé serait porter atteinte au fameux esprit du Concile…

Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.

Ce n’est pas sa faute. Ce n’est jamais de sa faute.

La chance de Poutine, c’est aussi Macron. Les deux hommes sont aux antipodes dans la manière d’exercer le pouvoir.

L’animateur révèle que son objectif professionnel était de devenir cadreur à la télé, le voilà livré à des olibrius qui ne peuvent pas l’encadrer. Ah, que la société a changé…

Du jamais-vu depuis Clovis !

On aimerait que le préfet nous dise à quoi il songe au juste et qui est visé.

L’impôt Poutine, la taxe sur le Vladimir… Diverses appellations aideront les plus naïfs à passer l’hiver.

Et puis est arrivé le fiasco du Stade de France, assumé totalement par le préfet qui a, une fois de plus, accepté de jouer les fusibles pour le ministre de l’Intérieur.

Entre nous, si le Premier ministre ne veut pas être embêté par des questions cons, la prochaine fois, elle n’aura qu’à faire comme tout le monde quand on est ministre : prendre sa voiture…

C’est le blues du TER. Le budget alloué à l’entretien des petites lignes est insuffisant. À terme, certaines pourraient fermer tandis que la vétusté des autres amènerait les trains à rouler de moins en moins vite.

Ne serait-il pas plus prudent d’enfermer tous les Blancs hétéros à titre préventif ?

Olivier Véran incarne la faillite de la crise du Covid, la suspension des soignants non vaccinés et la mise en place d’une politique des plus répressives avec le vote du passe sanitaire et du passe vaccinal.

Tout cela est consternant mais, fait rassurant (ou pas), la fonction présidentielle paraît soudain à la portée de n’importe quel bateleur.

Deux bien belles journées de remise en cause des « paradigmes patriarcal, hétéronormatif, capitaliste, colonial et suprémaciste » !

Pap Ndiaye a trouvé la cause de tous les maux de la société éducative et le sens profond de son action : il doit combattre avant tout le Rassemblement national, parti dans la République mais pas républicain.

Le comble, c’est que ces mouvements couvrant la quasi-totalité de l’échiquier politique ont tous appelé à voter Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle pour sauver le même « arc républicain ».

Lors du G7 qui se tenait en Allemagne, le plaisant Boris Johnson suggère à la cantonade d’apparaître en chemise sur la photo de famille officielle afin de rivaliser avec la virilité de celui qu’ils souhaitent affaiblir.

J’en prends le pari, basé sur un agenda inversé aussi stupide qu’irréaliste : le green deal européen se soldera par un échec total comparable à celui de l’Energiewende allemand.

Autant que l’avis de ce germanopratin nous intéresse, c’est-à-dire peu ou prou, mettons-le tout de même face à ses contradictions lorsqu’il renvoie « les deux extrêmes » dos à dos.

Au fil de l’avancée du progressisme, le délayage verbal vient semer le trouble entre la réalité et le mot simple censé la décrire.

La première phrase de la députée Sandrine Rousseau sera le signe annonciateur d’une révolution syntaxique broyant l’antique masculin-féminin en une formule qui fera date : « Bravo à vous pour la magnifique campagne que vous avez fait et faite.

On pourrait presque reprendre la formule de René Coty : aujourd’hui, le premier des Français n’est plus vraiment le premier en France !

Grande semaine d’examens que cette semaine, disions-nous. Pour les lycéens mais aussi pour les Français. Examen de conscience dans l’isoloir.

Franchement, de bien belles images cinématographiques pour les actualités.

Quelle importance, l’essentiel est que l’école reste ludique pour les élèves, c’est bien l’objectif de nos pédagogistes, épigones de Bourdieu, depuis des dizaines d’années.

Le carrosse LFI se transforma en citrouille. Le courtisé de la veille avait mené sa campagne tambour battant et menaçait maintenant d’envahir l’Assemblée nationale.

Le parti se veut officiellement un peu plus nuancé, annonçant qu’en cas de duel NUPES/RN, les consignes de vote seront données au cas par cas. Mais pas pour le RN…

Donc, pour Bergoglio, porter un surplis dentelé serait porter atteinte au fameux esprit du Concile…

Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
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