Donald Trump
Donald Trump veut faire des législatives de l’automne son référendum personnel.
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
Ainsi, l’habit ne fait pas le moine. Depuis longtemps, déjà, ceux qui font la paix ne sont pas les plus onctueux, ni les moins rudes ; ceux qui font la guerre ont souvent l’air de gens très convenables.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, notre avenir aurait été tout autre.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.
Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Après tout, Trump considère haut et fort que les guerres commerciales sont plus faciles à gagner que les expéditions coloniales des Bush.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.
Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Donald Trump, malgré les critiques incessantes du « camp du bien universel », vient peut-être – contre toute attente – d’initier un coup de maître…
En façade, les 14 premiers mois de la présidence Trump représentent un incontestable succès.
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Fin de nombre d’illusions trop longtemps entretenues ?
Qui peut jurer qu’au Bataclan, si seulement l’un ou plusieurs des policiers hors service qui faisaient partie des spectateurs avaient été armés, l’issue eût été la même ?
Rien ne dit que les USA et Israël sortiront vainqueurs de cette confrontation.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.
La visite de Merkel, suivant celle de Macron, pourrait-elle donner à Trump les munitions nécessaires pour contrer les néoconservateurs ?
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
Trump ne fait que se débattre, feignant d’organiser ce qu’il ne contrôle plus, pas même l’immigration. Un roi nu ?
Trump a loué dimanche l’héroïsme français en la personne d’Arnaud Beltrame, chevaleresque et patriotique officier de gendarmerie, symbole de tous les héros combattant le djihadisme.
Donald Trump veut faire des législatives de l’automne son référendum personnel.
Il est dans l’intérêt de la France de mettre la question iranienne au centre du débat, quitte à se monter plus flexible sur les mesures protectionnistes prises par Trump.
Ainsi, l’habit ne fait pas le moine. Depuis longtemps, déjà, ceux qui font la paix ne sont pas les plus onctueux, ni les moins rudes ; ceux qui font la guerre ont souvent l’air de gens très convenables.
Cette personnalité éminemment foutraque vient de nous administrer une magistrale leçon de politique.
Les politiques sont comme les acteurs de cinéma : ils doivent envoyer du rêve. Et force est de constater que les dernières productions, à droite, sont plutôt des navets.
Si la France avait eu la chance d’avoir un homme de sa trempe, notre avenir aurait été tout autre.
La Chine sera sans doute la première à profiter du retrait des entreprises européennes en Iran, ce qui ajoutera encore à sa spectaculaire montée en puissance.
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Donald Trump ne fait jamais que brailler un peu fort ce que des têtes mieux formées que la sienne murmurent tout bas depuis des décennies.
Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus.
C’est tellement énorme qu’on a envie d’en rire. Mais tout ce que fait ce type est énorme.
Après tout, Trump considère haut et fort que les guerres commerciales sont plus faciles à gagner que les expéditions coloniales des Bush.
La parfaite dramaturgie récemment déployée par la « bande des quatre » est impeccable.
Avec la reconnaissance unilatérale des USA de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu, des violences étaient à craindre. Le résultat n’a pas tardé
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Donald Trump, malgré les critiques incessantes du « camp du bien universel », vient peut-être – contre toute attente – d’initier un coup de maître…
En façade, les 14 premiers mois de la présidence Trump représentent un incontestable succès.
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Fin de nombre d’illusions trop longtemps entretenues ?
Qui peut jurer qu’au Bataclan, si seulement l’un ou plusieurs des policiers hors service qui faisaient partie des spectateurs avaient été armés, l’issue eût été la même ?
Rien ne dit que les USA et Israël sortiront vainqueurs de cette confrontation.
Au fond, il n’y a qu’en Europe qu’on se laisse manger la soupe sur la tête.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.
La visite de Merkel, suivant celle de Macron, pourrait-elle donner à Trump les munitions nécessaires pour contrer les néoconservateurs ?
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
Trump ne fait que se débattre, feignant d’organiser ce qu’il ne contrôle plus, pas même l’immigration. Un roi nu ?
Trump a loué dimanche l’héroïsme français en la personne d’Arnaud Beltrame, chevaleresque et patriotique officier de gendarmerie, symbole de tous les héros combattant le djihadisme.