France : come on, boys ! Tout doit disparaître !

Et ça continue ! Cela, semble-t-il, n’aura de cesse que le français n’ait totalement disparu. Le journaliste français, ou prétendu tel, du moins le journaliste fonctionnarisé de l’immense majorité de nos médias subventionnés, a le même respect pour sa langue que pour ceux auxquels il s’adresse. Il suffit d’écouter la télé ou la radio, de lire la presse, les magazines ou les journaux, tous ces médias maintenus sous perfusion en survie artificielle à grandes giclées d’argent public.

Ainsi, il n’y a plus d’affaires classées, désormais, en France, c’est bien connu : il y a des "cold cases" ; il n’y a plus, non plus, depuis peu, de fausses nouvelles ou de désinformations, tout simplement, ni même de bidonnages, de canulars ou de mystifications : non, il y a des "fake news" ! C’est ahurissant : il suffit qu’un mot soit américain pour qu’instantanément, le journaliste prétendument français le fasse sien.

Deux exemples, pris parmi une ribambelle, hélas chaque jour grandissante. Que le lecteur se livre à un peu de "fact checking" s’il ne me croit pas.
Grâce à ses vecteurs zélés de la presse subventionnée, l’infection se propage à vitesse accélérée. Il faut dire que s’il descend bien bas, l’exemple vient de haut. D’emblée, dès avant son élection, Emmanuel Macron n'a-t-il pas donné le ton, indiqué la direction ? Après tout, cette terre sans histoire, sans race, sans culture, de surcroît grande criminelle contre l'humanité, mérite-t-elle autre chose que de disparaître ?

Je ne comprends pas que nos cousins québécois ne portent pas plainte contre la terre de leurs ancêtres, ses dirigeants, ses "coaches", pour haute trahison, intelligence avec des puissances étrangères, vandalisme caractérisé — Dieu sait que les possibles chefs d’accusation ne manquent pas ! — ou, au moins, pour non-assistance à culture en danger.

Et les mêmes agents de l’État, les mêmes "jouranalystes" à la petite semaine, "décrypteurs d’actualité" autoproclamés, que le ridicule, on le sait, n’a jamais fait reculer, d’oser nous mettre en garde au sujet de la paille russe, qui, insidieusement, se positionnerait, ou tenterait de se positionner, dans l’œil du tristement célèbre PAF (paysage audiovisuel français… ou propagandisme à foison, je ne sais jamais).
Vivement le "frenching", cette mode, cette manie venue des États-Unis, et qui consiste à parler français !

Allons allons ! Aucune chance de ce côté. Je ne suis pas si naïf, n’y crois pas un instant. Jamais ceux qui s’emploient à nous informer, à nous déformer, pour mieux nous faire disparaître, ne permettraient un tel contretemps.

Ce n’est que pur "plaisanting" de ma part — en même temps qu’un rêve insensé… une blague quoi ! Oh, pardon : un "joke" !

Maxime Sentence
Maxime Sentence
Publicitaire, écrivain

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