Dans vos commentaires cette semaine : Tout ce que touche l’État macronien vire à la catastrophe

Emmanuel Macron béret

La vraie droite en profitera-t-elle ? La rentrée s’annonce rude, en tout cas, pour Emmanuel Macron qui s’apprête à payer cher ses erreurs. Alors, le chef de l’État prépare le terrain et annonce « la fin de l’abondance ». « Je rêve !, lance Claudine Ducrocq. Diminuer l’abondance... de quoi ? Notre Président vit dans un monde différent du nôtre. » Décalé, inconscient, ailleurs, Macron vous stupéfie… et vous inquiète ! « Qu'il n'insiste pas, implore Brigitte van Malder. On sait qu'il n'aime pas les gens simples. »

En attendant, nos lecteurs se préparent à un hiver difficile.

La faute à qui ? « Il a tout fait pour que nous en arrivions là, estime notre lectrice Evelyne Guérin. Dilapidation de nos impôts, subventions à gogo, non-contrôle des divers détournements d'allocations diverses et variées, même à ceux qui n'en n'ont pas vraiment besoin, non-contrôle des frontières et de l'immigration, Sécurité sociale avec bien trop de prises en charge de fainéants et d'étrangers qui n'ont jamais cotisé, Éducation nationale peu attractive et compétitive […] »

Tout pour une certaine France, délétère et en décomposition. La responsabilité du pouvoir en place est grande dans le désastre qui nous attend cet hiver, décrit par Frédéric Lassez.

Car « si Macron n’avait pas pris la décision stupide de vouloir sanctionner la Russie, nous n’en serions pas là aujourd’hui, tranche Gilles Vinet. Il nous demande maintenant de nous serrer la ceinture pour pallier ses erreurs de jugement. Ce n’est pas la Russie qui est sanctionnée mais nous-mêmes ! ». Gouverner, c’est prévoir, croyait-on savoir. Or, Macron joue les cigales démagogues. « Absence totale d’anticipation, énumère Lavandin, gestion à la courte vue, fermeture sans raison sérieuse de Fessenheim pour faire plaisir aux Verts, remise en état ou en service de centrales à charbon… » Résultat ? Une « politique de gribouille ! »

Dans la préparation de cette politique lancée pied au plancher face au mur, n’oublions pas ces infatigables zélateurs du désastre que sont… les écologistes français. « Si vous avez froid cet hiver, prévient Kriss, vous pourrez remercier ou accuser les écolos de tout poil qui vilipendent le nucléaire en obligeant l’État à fermer les centrales ! »

C’est simple, dès que l’État macronien touche à un aspect de la vie de la nation, la catastrophe suit en courant. Le constat est valable, en cette période de rentrée scolaire, pour l’école. La liberté d’instruire ses enfants en dehors de l’Éducation nationale qui n’en finit plus de faire preuve de sa faillite ? Macron la piétine, comme le décrit notre nouvelle recrue Clémence de Longraye. Notre lectrice Nestorine résume le propos : « Au moment où l’Education nationale peine à recruter des enseignants […], on se demande en effet pourquoi refuser l’école à la maison, mais aussi, sur quels critères les contrôles prévus oseront-ils juger "insatisfaisant" l’enseignement délivré par les parents. »

Il y a du pain sur la planche pour reconstruire, redresser enfin le pays en commençant par sa jeunesse. Il faut, à cet égard, traquer les signes encourageants. L’inénarrable Sandrine Rousseau nous a fourni (encore) une de ces petites victoires qui montrent les failles des démolisseurs. La députée verte a échoué à faire interdire le compte Twitter qui se moque d’elle (Sardine Ruisseau), ce qui a propulsé le nombre d'abonnés de ce même compte parodique devant celui de la vraie Sandrine Rousseau ! Un sujet en or pour notre sniper Jany Leroy ! J.-P. Drouin « pense que l’univers des chasseurs doit doucement se marrer du ruisseau de rigolades qui arrive à submerger Sandrine Rousseau ». Des chasseurs qui réclament à la star de l’écologie hors sol 100.000 euros de dommages et intérêts suite à des propos tenus l’hiver dernier dans lesquels elle affirmait : « Un féminicide sur quatre est lié à une arme de chasse. » Commentaire de Leno : « Comme l’ensemble de sa famille de pensée, Rousseau est une urbaine complètement décorrélée de la nature. Il faudrait instituer un permis de ruralité aux urbains pour leur permettre de sortir de leurs villes et de leurs folies. »

Bonne rentrée à tous !

Pour ne rien rater

Revivez le Grand oral des candidats de droite

Les plus lus du jour

L'intervention média

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois