Besançon : un policier blessé après une course-poursuite dans la ville
Nouveau refus d'obtempérer sur fond de narcotrafic.
On apprend, ce samedi, par L'Est républicain, qu'un policier de la brigade d’aide et d’assistance judiciaire (BAAJ) a été blessé à l’issue d’une course-poursuite, dans les rues de Besançon.
Refus d'obtempérer sur fond de narcotrafic
Selon le journal, tout a commencé vendredi lorsqu'un équipage de la brigade d’aide et d’assistance judiciaire (BAAJ) repère un véhicule dans le quartier Battant, à Besançon, avec trois hommes à son bord. Ils ont les vitres baissées et une forte odeur de cannabis s’échappe de l’habitacle, selon le journal. Les forces de l’ordre décident de contrôler les individus mais le conducteur part en trombe et s'enfonce dans les rues du centre-ville. Une course-poursuite s'engage en plein centre-ville de Besançon. Leur course est finalement interrompue par les policiers, mais l'un des passagers s'enfuit à pied. « En parallèle, précise le quotidien, un policier saute dans la voiture pour tenter de couper le contact. Le conducteur se rebelle et lutte face à l’agent. Il finit par accélérer avant de percuter un mur. Il sera interpellé et menotté sur les lieux. Un troisième individu est parvenu à s’extraire en quittant les lieux à pied. Il est toujours recherché. »
Le policier blessé a été hospitalisé et doit subir des examens.
Selon une source citée par le journal, « on pense qu’ils se sont débarrassés de produits stupéfiants au cours de la poursuite ».
Ce nouveau refus d'obtempérer intervient alors que le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a demandé, cette semaine, une poursuite systématique des conducteurs lors d'un refus d'obtempérer.
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La priorité devrait être la protection de la société, pas la rédemption du coupable
38 commentaires
CES poursuites sont INUTILES PUISQUE même si les FDO arrivent à les coincer avec par malheur une petite blessure sont EUX qui seront jugées par l’IGPN et par cette in_Justice favorable aux truands !!!
Ce qui marche bien….comme au Salvador !!!! Fini les bisounourseries judiciaires. Les droits de l’homme ca doit marcher dans les 2 sens…pas aujourd’hui ou le délinquant a un statut privilégié dans le système des chapeaux a plumes mondialistes.
La poursuite physique mettant tout le monde en danger est un procédé physique archaïque totalement incongru à notre époque électronique. Il est tout de même impensable qu’aujourd’hui des techniques utilisent des engins de guerre guidés à des distances de plusieurs milliers de km, dirigées par des opérateurs devant des écrans et que personne de nos ingénieux ingénieurs n’ait trouvé un moyen technique pour stopper ces délinquants ou pour le moins les dissuader? Que diriez vous d’équiper tous les policiers d’un simple « aérosol » collant ou peignant par jets à 5 ou 10 m une substance électronique sur les carrosseries ? Véhicules devenus alors identifiables donc inutile de les poursuivre. S’il est jugé très suspect il pourrait également être suivi par des drones qui seraient lâchés du véhicule ou moto de police dès qu’un refus est commis. Facile ensuite de le faire suivre par un centre opérationnel qui indiquerait sa position pour le bloquer plus loin. De même pour les rodéos moto etc… avant même de rouler on sait oû il est stationné! Le véhicule serait irrémédiablement marqué donc inutilisable pour un moment.
Si de plus cela est fait systématiquement et même simulé, le délinquant aura toujours un doute si son véhicule est « surveillé » ou pas. Nos Ministres sont aussi ignares en technologie qu’en politique mais si nos ingénieurs n’ont pas encore foutu le camp la ré-industrialisation passe aussi par là mais nous ne sommes plus à la guerre 14.
Marquer un véhicule incriminé dans un rodéo ou délit de fuite,d’un jet de subtance achésive,permettrait certes d’identifier ultérierement le véhicule en question,mais ne donnera pas l’assurance ,au sens juridique ,car les juges sont pinailleurs,que c’est le propiétaire de l’engin,s’il nie, qui le pilotait au moment de l’infraction.