Face à ce déferlement de violence et d’actes criminels que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent, mais n’agissent pas.
Qu’il faille prendre des mesures pour rendre nos routes plus sûres, c’est incontestable.
Après la chasse aux véhicules dans les centres-villes, c’est maintenant au noyau dur de ce qui fait la conduite automobile que le gouvernement s’en prend.
La Police Nationale est malade, et cette maladie touche tous les niveaux hiérarchiques.
En désignant les politiques de la ville comme source de tous nos maux, le ministre de l’Intérieur signifie clairement que rien ne changera.
Trois facteurs peuvent avoir contribué à la baisse du nombre des exactions habituellement observées en cette période de fêtes.
Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…
La presse nationale n’a évidemment pas relayé ces informations, préférant les selfies de notre Président au ski !
Dans les mois qui arrivent, c’est à un nouveau et grave péril que nous allons être confrontés.
Aucun qualificatif n’était trop beau pour évoquer ce projet jupitérien : moderne, nouveau, partenarial, en rupture avec le passé…
L’archétype d’une famille de délinquants qui pourrit la vie de ses semblables et rend certains de nos quartiers infréquentables et invivables.
L’équilibre indispensable à une bonne administration de la justice doit être préservé. Il en va de l’avenir de notre démocratie.
Qu’on le veuille ou pas, ce sont deux figures emblématiques de la France qui viennent, à quelques heures d’intervalle, de nous quitter.
Dans ce contexte essentiellement répressif, la place réservée à la prévention est infime.
Il ne faut donc pas s’étonner que des pans entiers de nos territoires soient devenus inaccessibles aux lois de la République.
Le trafic illicite des stupéfiants constitue à ce jour le 2ème marché économique mondial, juste derrière les armes, mais devant le pétrole.
L’exécutif, aussi ignorant de la chose policière qu’il l’est de la chose militaire, s’apprête à mettre en place une énième réforme de la police.
La situation, dans bon nombre de nos quartiers, échappe à tout contrôle.
Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
Il y a fort à parier que ce sujet de conversation ne fut pas abordé par le ministre avec nos touristes malaisiens.
C’est donc par une asphyxie financière sans précédent que seront réglés les grands problèmes de la France.
L’ensemble des informations recueillies aujourd’hui nous confirme bien que la menace terroriste est avant tout interne…
Les policiers, en 2017, sont confrontés à une violence omniprésente qui se manifeste au quotidien de multiples façons.
Le nouveau ministre de l’Intérieur ne semble rien annoncer de tangible pour tenter d’améliorer une situation qui devient explosive.
Il paraît inconcevable qu’un individu connu pour sa radicalisation ait pu voir renouveler sans aucune difficulté son permis de détention d’armes.
Emmanuel Macron nous avait prévenus : la lutte antiterroriste n’est pas sa spécialité.
C’est bien à un baroud d’honneur que nous avons pris part.
Au fil des mois, la liste des attentats islamistes en Europe s’allonge de façon effrayante. Et celle des victimes avec e
Face à ce déferlement de violence et d’actes criminels que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent, mais n’agissent pas.
Qu’il faille prendre des mesures pour rendre nos routes plus sûres, c’est incontestable.
Après la chasse aux véhicules dans les centres-villes, c’est maintenant au noyau dur de ce qui fait la conduite automobile que le gouvernement s’en prend.
La Police Nationale est malade, et cette maladie touche tous les niveaux hiérarchiques.
En désignant les politiques de la ville comme source de tous nos maux, le ministre de l’Intérieur signifie clairement que rien ne changera.
Trois facteurs peuvent avoir contribué à la baisse du nombre des exactions habituellement observées en cette période de fêtes.
Le développement de l’islamisme dans le département du Tarn n’est-il pas sans interroger certains observateurs…
La presse nationale n’a évidemment pas relayé ces informations, préférant les selfies de notre Président au ski !
Dans les mois qui arrivent, c’est à un nouveau et grave péril que nous allons être confrontés.
Aucun qualificatif n’était trop beau pour évoquer ce projet jupitérien : moderne, nouveau, partenarial, en rupture avec le passé…
L’archétype d’une famille de délinquants qui pourrit la vie de ses semblables et rend certains de nos quartiers infréquentables et invivables.
L’équilibre indispensable à une bonne administration de la justice doit être préservé. Il en va de l’avenir de notre démocratie.
Qu’on le veuille ou pas, ce sont deux figures emblématiques de la France qui viennent, à quelques heures d’intervalle, de nous quitter.
Dans ce contexte essentiellement répressif, la place réservée à la prévention est infime.
Il ne faut donc pas s’étonner que des pans entiers de nos territoires soient devenus inaccessibles aux lois de la République.
Le trafic illicite des stupéfiants constitue à ce jour le 2ème marché économique mondial, juste derrière les armes, mais devant le pétrole.
L’exécutif, aussi ignorant de la chose policière qu’il l’est de la chose militaire, s’apprête à mettre en place une énième réforme de la police.
La situation, dans bon nombre de nos quartiers, échappe à tout contrôle.
Il est plus facile d’avoir l’oreille des puissants lorsque l’on brille soi-même de mille feux…
Il y a fort à parier que ce sujet de conversation ne fut pas abordé par le ministre avec nos touristes malaisiens.
C’est donc par une asphyxie financière sans précédent que seront réglés les grands problèmes de la France.
L’ensemble des informations recueillies aujourd’hui nous confirme bien que la menace terroriste est avant tout interne…
Les policiers, en 2017, sont confrontés à une violence omniprésente qui se manifeste au quotidien de multiples façons.
Le nouveau ministre de l’Intérieur ne semble rien annoncer de tangible pour tenter d’améliorer une situation qui devient explosive.
Il paraît inconcevable qu’un individu connu pour sa radicalisation ait pu voir renouveler sans aucune difficulté son permis de détention d’armes.
Emmanuel Macron nous avait prévenus : la lutte antiterroriste n’est pas sa spécialité.
C’est bien à un baroud d’honneur que nous avons pris part.
Au fil des mois, la liste des attentats islamistes en Europe s’allonge de façon effrayante. Et celle des victimes avec e
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