On comprend mieux pourquoi Gérard Collomb s’est tiré dare-dare du poste de ministre de l’Intérieur.
Les trois « racailles » expliqueront : « C’est facile, de voler une personne âgée, elle ne peut pas courir après ses agresseurs. »
Comment une telle personne, qui n’en est peut-être pas à son coup d’essai, a pu passer jusque-là à travers les mailles du filet, tirer parti d’un mariage blanc…
« Facho, raciste, SS, nazis ! » comme si le rabâchage tenait lieu d’argumentaire, comme si l’éructation de ces noms dispensait du raisonnement.
Monsieur Fassin, il est aisé de ne voir que ce que l’on veut voir de l’Histoire.
Il parvient à ronger sa muselière afin de se libérer puis se jette sur le pédophile, le contraignant à fuir.
Comment actuellement promouvoir exemplarité et respect de la fonction lorsque le président de la République les bafoue lui-même ?
Problème : le « bodyguard » a un doigt sur la queue de détente d’un pistolet proche du visage de la barmaid.
Mais, au fait, pourquoi de telles intimidations ? Ne seraient-elles pas le signe d’un affolement du pouvoir ?
Spécialiste de l’Europe, de l’écologie, de l’économie et du mondialisme, Juvin est à lui seul le symbole du couteau suisse.
Les surveillants pénitentiaires dépeignent leur quotidien de plus en plus violent et anxiogène.
Notre pays devient chaque jour, sans que nos médias s’en alarment, un peu moins le nôtre.
« C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. »
Je vous laisse imaginer la fureur des « pandores » (officiers et gradés réunis) devant un tel avancement.
Pourquoi Macron a gardé près de lui ce simple garde du corps alors qu’il a droit aux 77 gendarmes et policiers du GSPR qui, eux, sont autrement qualifiés ?
Enfin le bus passe avec Varane en tête, au fond, avec la coupe, Pogba crie des mots inaudibles pour le public et puis… et puis c’est tout.
Les effectifs militaires seraient faciles à trouver : piocher au maximum dans ceux de l’opération Sentinelle. Nos armées effectueraient enfin un travail efficace et non rébarbatif.
Vous comprendrez mon impatience à venir enrichir votre nation en substituant au fez notre vieux béret basque.
Mardi 26 juin, dans le Val-d’Oise, un homme d’une trentaine d’années est accosté par deux hommes qui lui demandent une cigarette. Suite à son refus, il est roué de coups et reçoit un coup de couteau dans la cuisse.
Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.
Cette représentation permettra à nouveau au mari d’Arielle (d’où la blancheur de sa chemise) de magnifier sa personne.
Après les policiers, les gendarmes, les pompiers, les gardiens de prisons et les enseignants, ce sont les médecins qui sont bannis.
Il est en effet plus facile de trouver des arguties juridiques contre des « Identitaires », non violents, que d’expliquer de telles brutalités commises contre des policiers devant un commissariat.
On a le droit de critiquer les dires et les actes de M. Soros comme ceux de M. Zemmour, et ce n’est pas de l’antisémitisme.
Derrière le but louable de sauvegarde de critères se cache une tentative insidieuse de censure de certains contenus.
On comprend mieux pourquoi Gérard Collomb s’est tiré dare-dare du poste de ministre de l’Intérieur.
Les trois « racailles » expliqueront : « C’est facile, de voler une personne âgée, elle ne peut pas courir après ses agresseurs. »
Comment une telle personne, qui n’en est peut-être pas à son coup d’essai, a pu passer jusque-là à travers les mailles du filet, tirer parti d’un mariage blanc…
« Facho, raciste, SS, nazis ! » comme si le rabâchage tenait lieu d’argumentaire, comme si l’éructation de ces noms dispensait du raisonnement.
Monsieur Fassin, il est aisé de ne voir que ce que l’on veut voir de l’Histoire.
Il parvient à ronger sa muselière afin de se libérer puis se jette sur le pédophile, le contraignant à fuir.
Comment actuellement promouvoir exemplarité et respect de la fonction lorsque le président de la République les bafoue lui-même ?
Problème : le « bodyguard » a un doigt sur la queue de détente d’un pistolet proche du visage de la barmaid.
Mais, au fait, pourquoi de telles intimidations ? Ne seraient-elles pas le signe d’un affolement du pouvoir ?
Spécialiste de l’Europe, de l’écologie, de l’économie et du mondialisme, Juvin est à lui seul le symbole du couteau suisse.
Les surveillants pénitentiaires dépeignent leur quotidien de plus en plus violent et anxiogène.
Notre pays devient chaque jour, sans que nos médias s’en alarment, un peu moins le nôtre.
« C’est en venant aider un couple d’amis qu’il a été tué. Il a fait preuve d’héroïsme. »
Je vous laisse imaginer la fureur des « pandores » (officiers et gradés réunis) devant un tel avancement.
Pourquoi Macron a gardé près de lui ce simple garde du corps alors qu’il a droit aux 77 gendarmes et policiers du GSPR qui, eux, sont autrement qualifiés ?
Enfin le bus passe avec Varane en tête, au fond, avec la coupe, Pogba crie des mots inaudibles pour le public et puis… et puis c’est tout.
Les effectifs militaires seraient faciles à trouver : piocher au maximum dans ceux de l’opération Sentinelle. Nos armées effectueraient enfin un travail efficace et non rébarbatif.
Vous comprendrez mon impatience à venir enrichir votre nation en substituant au fez notre vieux béret basque.
Mardi 26 juin, dans le Val-d’Oise, un homme d’une trentaine d’années est accosté par deux hommes qui lui demandent une cigarette. Suite à son refus, il est roué de coups et reçoit un coup de couteau dans la cuisse.
Cette action doit vous rappeler quelque chose ? Pourtant pour les grands médias cet homme ne présente pas d’intérêt.
Cette représentation permettra à nouveau au mari d’Arielle (d’où la blancheur de sa chemise) de magnifier sa personne.
Après les policiers, les gendarmes, les pompiers, les gardiens de prisons et les enseignants, ce sont les médecins qui sont bannis.
Il est en effet plus facile de trouver des arguties juridiques contre des « Identitaires », non violents, que d’expliquer de telles brutalités commises contre des policiers devant un commissariat.
On a le droit de critiquer les dires et les actes de M. Soros comme ceux de M. Zemmour, et ce n’est pas de l’antisémitisme.
Derrière le but louable de sauvegarde de critères se cache une tentative insidieuse de censure de certains contenus.