Il faudra sans doute plus que le renfort de Shirley et Dino pour remonter cette pente et convaincre les électeurs de cette 1re circonscription de la Somme qui a voté au premier tour de l’élection présidentielle à plus de 44 % pour Marine Le Pen…
Mélenchon et son parti, en instrumentalisant les frustrations supposées de la communauté musulmane, deviennent en quelque sorte l’instrument de la poussée islamiste dans l’espace politique français.
En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…
Qui alors élire pour assumer cette charge lourde par son peu de poids politique ?
Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.
La fameuse « bienveillance », prônée en 2017 par un jeune candidat à la présidence de la République, a visiblement changé de camp !
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
L’appel, lancé le 12 avril par Nicolas Sarkozy à voter Emmanuel Macron au second tour, ne s’inscrit pas dans la banalité, désormais traditionnelle, « à faire barrage à l’extrême droite ».
La République a toujours été royale. Le tout est qu’elle le reste ! Du moins, encore un peu, et pas que dans les apparences…
Jacques Attali, visiblement lui aussi à bout d’arguments, est déjà à l’affût. Rien n’échappe à sa sagacité légendaire. Tiens, au fait, elle a dit quoi, Marine Le Pen, chez Bouleau, mercredi soir ?
Emmanuel Macron ne l’emporterait plus qu’à 51,50 %, contre 48,50 % (quasiment dans la marge d’erreur), alors que l’affaire McKinsey vient agacer la Macronie. Là, du coup, on ne rigole plus.
Le 4 avril 1940 avait lieu le massacre de Katyń. Des milliers d’officiers polonais étaient exécutés sommairement. Un crime que l’URSS imputa des années durant à l’Allemagne nazie. Il fallut attendre 1990 pour que les Soviétiques reconnaissent leur responsabilité.
Le nom de Nicolas Sarkozy sifflé par des supporters de Valérie Pécresse : c’est peut-être ce qu’on retiendra du meeting de la dernière chance de
Combien de « généraux » du ministère de la Santé ont été limogés ?
Pas certain que ça prenne aussi bien aujourd’hui…
Il y a un débat dans le débat : qui seront les deux journalistes finalistes (un homme, une femme – parité oblige) appelés à animer ce combat de titans sans merci ?
Pour se défendre, le Président-candidat n’a pas hésité à enfoncer les portes ouvertes…
D’ailleurs, nous explique le marchand de cravates gouvernemental, en France, l’Etat a dépensé quarante fois moins que d’autres pays comme le Royaume-Uni, ce qui, soit dit en passant, laisse une sacrée marge pour le second mandat…
Cela dit, on aura eu un candidat-Président faisant une campagne service minimum. On ne voit pas pourquoi on n’aurait pas aussi une soirée électorale service minimum.
Un État français qui se viderait par le haut et par le bas, ce serait finalement liquider l’héritage capétien chèrement conservé et transmis à travers les siècles…
Il faut s’inquiéter sérieusement de l’implantation de prêtres catholiques obéissant à la discipline et à la doctrine de l’Église catholique.
Cependant, bien bordée, l’idée est à creuser. On se demande, d’ailleurs, pourquoi on n’y avait pas pensé plus tôt.
Il faut reconnaître qu’Édouard Philippe s’y prend plutôt pas mal. Dans le rôle du dauphin qui n’attend pas du tout que son souverain glisse sur une plaque de verglas…
Le seul problème, c’est que la plupart du temps, on n’a pas le choix.
Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.
Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.
Tout plein de symboles : un Président en mouvement, un Président humain puisqu’il aime les bêtes. Bref, le Président qu’il nous faut.
Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.
Il faudra sans doute plus que le renfort de Shirley et Dino pour remonter cette pente et convaincre les électeurs de cette 1re circonscription de la Somme qui a voté au premier tour de l’élection présidentielle à plus de 44 % pour Marine Le Pen…
Mélenchon et son parti, en instrumentalisant les frustrations supposées de la communauté musulmane, deviennent en quelque sorte l’instrument de la poussée islamiste dans l’espace politique français.
En tout cas, Emmanuel Macron pourra toujours se réconforter en prenant connaissance de quelques magnifiques résultats obtenus à l’étranger…
Qui alors élire pour assumer cette charge lourde par son peu de poids politique ?
Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.
La fameuse « bienveillance », prônée en 2017 par un jeune candidat à la présidence de la République, a visiblement changé de camp !
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
L’appel, lancé le 12 avril par Nicolas Sarkozy à voter Emmanuel Macron au second tour, ne s’inscrit pas dans la banalité, désormais traditionnelle, « à faire barrage à l’extrême droite ».
La République a toujours été royale. Le tout est qu’elle le reste ! Du moins, encore un peu, et pas que dans les apparences…
Jacques Attali, visiblement lui aussi à bout d’arguments, est déjà à l’affût. Rien n’échappe à sa sagacité légendaire. Tiens, au fait, elle a dit quoi, Marine Le Pen, chez Bouleau, mercredi soir ?
Emmanuel Macron ne l’emporterait plus qu’à 51,50 %, contre 48,50 % (quasiment dans la marge d’erreur), alors que l’affaire McKinsey vient agacer la Macronie. Là, du coup, on ne rigole plus.
Le 4 avril 1940 avait lieu le massacre de Katyń. Des milliers d’officiers polonais étaient exécutés sommairement. Un crime que l’URSS imputa des années durant à l’Allemagne nazie. Il fallut attendre 1990 pour que les Soviétiques reconnaissent leur responsabilité.
Le nom de Nicolas Sarkozy sifflé par des supporters de Valérie Pécresse : c’est peut-être ce qu’on retiendra du meeting de la dernière chance de
Combien de « généraux » du ministère de la Santé ont été limogés ?
Pas certain que ça prenne aussi bien aujourd’hui…
Il y a un débat dans le débat : qui seront les deux journalistes finalistes (un homme, une femme – parité oblige) appelés à animer ce combat de titans sans merci ?
Pour se défendre, le Président-candidat n’a pas hésité à enfoncer les portes ouvertes…
D’ailleurs, nous explique le marchand de cravates gouvernemental, en France, l’Etat a dépensé quarante fois moins que d’autres pays comme le Royaume-Uni, ce qui, soit dit en passant, laisse une sacrée marge pour le second mandat…
Cela dit, on aura eu un candidat-Président faisant une campagne service minimum. On ne voit pas pourquoi on n’aurait pas aussi une soirée électorale service minimum.
Un État français qui se viderait par le haut et par le bas, ce serait finalement liquider l’héritage capétien chèrement conservé et transmis à travers les siècles…
Il faut s’inquiéter sérieusement de l’implantation de prêtres catholiques obéissant à la discipline et à la doctrine de l’Église catholique.
Cependant, bien bordée, l’idée est à creuser. On se demande, d’ailleurs, pourquoi on n’y avait pas pensé plus tôt.
Il faut reconnaître qu’Édouard Philippe s’y prend plutôt pas mal. Dans le rôle du dauphin qui n’attend pas du tout que son souverain glisse sur une plaque de verglas…
Le seul problème, c’est que la plupart du temps, on n’a pas le choix.
Journée internationale des droits des femmes oblige, je me suis dit qu’il fallait faire un petit effort, cette année. Pour une fois. Une fois dans l’année, ce n’est pas du luxe.
Si l’on devait dresser la liste des responsables politiques qui sont allés serrer la main de dictateurs à travers le monde, il faudrait, ici, plus d’un article.
Tout plein de symboles : un Président en mouvement, un Président humain puisqu’il aime les bêtes. Bref, le Président qu’il nous faut.
Mais l’on retiendra surtout de ce discours qu’il s’est agi de parler aussi (surtout ?) d’Emmanuel Macron.