Christian de Moliner
Professeur agrégé et écrivain
L’idée d’une flat tax était sans doute une bonne idée, mais je pense que le taux pose de graves problèmes.
Les thuriféraires de M. Macron sont aux anges, car le nombre d’inscrits en catégorie A à Pôle emploi a baissé en septembre de 1,8 %.
Si plus personne ne veut nous prêter, ou seulement à des taux exorbitants, que se passera-t-il ?
Le célèbre mathématicien Cédric Villani, par ailleurs député, a été chargé par M. Blanquer d’une mission de sauvetage de sa discipline.
Après le costume d’ennemi des pauvres, M. Macron endosse, « en même temps », celui d’ennemi des familles.
Cet organisme payé par nos impôts est chargé de « conseiller » le Premier ministre.
Si beaucoup d’agents de l’État sont surmenés et croulent sous le travail, une part non négligeable d’entre eux est parfaitement inutile…
Selon les dernières estimations, notre taux de croissance atteindra 1,8 % en 2017 (un record depuis 2011) et 1,6 % en 2018.
Cette baisse de la taxe d’habitation ne sera-t-elle pas au final un marché de dupe ?
Les auteurs de cette proposition de loi arguent qu’au-delà des dommages qu’ils infligent, les « fous de Dieu » cherchent la publicité.
M. Macron a perdu la bataille de l’opinion ; il est désormais considéré comme le Président des riches.
Nos compatriotes détiendraient, à titre individuel, près de 300 milliards d’euros dans les paradis fiscaux, soit 15 % du PIB de la France.
M. Macron joue aux dés. Si aucune crise n’a lieu pendant les cinq ans de son mandat, il aura gagné son pari.
Les classes favorisées, elles, seront gagnantes. L’assurance-vie ne sera pratiquement pas touchée.
Comme souvent, il n’y a aucune solution miracle ! Sauf une, impossible à mettre en œuvre politiquement…
Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ?
Avec le tour de vis annoncé, 150 millions rentreront dans les caisses de l’État.
Comment peut-on prétendre qu’il n’a jamais fait aussi chaud au Groenland puisqu’en l’an 1000, les Vikings y ont trouvé un grand nombre de forêts ?
La hausse est de 1,4 % sur trois mois, période de référence que M. Macron souhaite désormais privilégier pour éliminer les à-coups de l’évolution.
C’est au pied du mur qu’on voit le maçon et beaucoup de nos compatriotes risquent de se dire qu’ils ont été bernés.
Al-Andalus n’a été ni plus ni moins tolérant que les États chrétiens qui lui ont succédé.
Dans ce cas, les prix baisseraient-ils systématiquement de 15 % , puisque le service ne serait plus compris ?
En 2016, alors qu’il espérait se faire réélire, M. Hollande a abusé des emplois aidés.
En fait, M. Macron n’a guère le choix, car il lui faut trouver de l’argent, mais il est en train de s’enliser dans la même impuissance que M. Hollande.
Dans l’industrie, et particulièrement dans l’automobile, tout va très vite.
Scandale de l’été : en 2016, Airbnb n’a payé en France que 92.000 euros au titre de l’impôt sur les sociétés.
Sur le front de l’emploi, les différences entre immigrés et « autochtones » sont peu significatives… sauf pour ceux qui sont nés en Afrique.
La défiance envers M. Trump est dorénavant telle que toutes les autres considérations sont oubliées et que le dollar est aspiré vers le bas.
L’idée d’une flat tax était sans doute une bonne idée, mais je pense que le taux pose de graves problèmes.
Les thuriféraires de M. Macron sont aux anges, car le nombre d’inscrits en catégorie A à Pôle emploi a baissé en septembre de 1,8 %.
Si plus personne ne veut nous prêter, ou seulement à des taux exorbitants, que se passera-t-il ?
Le célèbre mathématicien Cédric Villani, par ailleurs député, a été chargé par M. Blanquer d’une mission de sauvetage de sa discipline.
Après le costume d’ennemi des pauvres, M. Macron endosse, « en même temps », celui d’ennemi des familles.
Cet organisme payé par nos impôts est chargé de « conseiller » le Premier ministre.
Si beaucoup d’agents de l’État sont surmenés et croulent sous le travail, une part non négligeable d’entre eux est parfaitement inutile…
Selon les dernières estimations, notre taux de croissance atteindra 1,8 % en 2017 (un record depuis 2011) et 1,6 % en 2018.
Cette baisse de la taxe d’habitation ne sera-t-elle pas au final un marché de dupe ?
Les auteurs de cette proposition de loi arguent qu’au-delà des dommages qu’ils infligent, les « fous de Dieu » cherchent la publicité.
M. Macron a perdu la bataille de l’opinion ; il est désormais considéré comme le Président des riches.
Nos compatriotes détiendraient, à titre individuel, près de 300 milliards d’euros dans les paradis fiscaux, soit 15 % du PIB de la France.
M. Macron joue aux dés. Si aucune crise n’a lieu pendant les cinq ans de son mandat, il aura gagné son pari.
Les classes favorisées, elles, seront gagnantes. L’assurance-vie ne sera pratiquement pas touchée.
Comme souvent, il n’y a aucune solution miracle ! Sauf une, impossible à mettre en œuvre politiquement…
Comment réussir cette purge inédite depuis le gouvernement Laval en 1935 ?
Avec le tour de vis annoncé, 150 millions rentreront dans les caisses de l’État.
Comment peut-on prétendre qu’il n’a jamais fait aussi chaud au Groenland puisqu’en l’an 1000, les Vikings y ont trouvé un grand nombre de forêts ?
La hausse est de 1,4 % sur trois mois, période de référence que M. Macron souhaite désormais privilégier pour éliminer les à-coups de l’évolution.
C’est au pied du mur qu’on voit le maçon et beaucoup de nos compatriotes risquent de se dire qu’ils ont été bernés.
Al-Andalus n’a été ni plus ni moins tolérant que les États chrétiens qui lui ont succédé.
Dans ce cas, les prix baisseraient-ils systématiquement de 15 % , puisque le service ne serait plus compris ?
En 2016, alors qu’il espérait se faire réélire, M. Hollande a abusé des emplois aidés.
En fait, M. Macron n’a guère le choix, car il lui faut trouver de l’argent, mais il est en train de s’enliser dans la même impuissance que M. Hollande.
Dans l’industrie, et particulièrement dans l’automobile, tout va très vite.
Scandale de l’été : en 2016, Airbnb n’a payé en France que 92.000 euros au titre de l’impôt sur les sociétés.
Sur le front de l’emploi, les différences entre immigrés et « autochtones » sont peu significatives… sauf pour ceux qui sont nés en Afrique.
La défiance envers M. Trump est dorénavant telle que toutes les autres considérations sont oubliées et que le dollar est aspiré vers le bas.
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