Convoquée pour un interrogatoire par les partisans de Tito qui, après la défaite du fascisme, déferlaient sur les marches orientales de l’Italie, elle fut séquestrée, torturée, violée par 17 bourreaux avant d’être jetée, encore vivante, dans une foiba…
À cheval entre le thriller et le film d’horreur…
Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.
Le lanceur d’œuf identifié n’est ni un féroce skinhead ni un cul-terreux de souche, mais… le fils d’un conseiller municipal du Parti démocrate ! Rires dans la salle.
L’extension de la saisie à toutes sommes futures perçues, et la sanction tombant avant la conclusion de l’enquête, laissent peu de doute sur les véritables motivations de cette affaire.
Les Italiens en ont, eux aussi, pris pour leur grade, notamment lorsque Macron a comparé leurs inquiétudes face à l’incroyable immigration de peuplement en acte à une épidémie de « lèpre ».
Dans une société qui a peur des mots et qui prend pour écart de langage toute expression de la réalité, il n’y a pas de doute : les dires du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, ont de quoi choquer.
Un président de la République non élu par les citoyens vient d’interdire un gouvernement élu par le peuple.
Si le programme est qualifié de séditieux et d’irréalisable par les médias, il semble s’imposer comme tout à fait légitime dans l’esprit des citoyens.
Les violences antifascistes se sont intensifiées jusqu’au vil et brutal lynchage d’un représentant de Forza Nuova, mardi 20 février en plein centre de Palerme.
La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté.
Ce qui est, en fait, entré en crise n’est que le régime des partis institutionnels comme on le connaît depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais le système a plus d’un tour dans son sac.
On s’en donne à cœur joie pour tenter de dégommer les dernières bribes de coutumes et traditions enracinées des peuples autochtones.
La région d’Émilie-Romagne vient, elle aussi, d’entamer des négociations avec le gouvernement pour demander plus d’autonomie, toujours dans le cadre de la Constitution.
Le projet d’une nouvelle loi sur l’antifascisme (il y en a déjà deux) a saturé l’espace audiovisuel des dernières semaines.
L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration.
Un Italien sur deux en est désormais convaincu : les Organisations non gouvernementales opérant en Méditerranée seraient en collusion avec les passeurs.
L’actuel ministre de l’Intérieur Marco Minniti n’a pu que les confirmer lors d’une interrogation parlementaire sur le sujet.
Voilà le rythme vertigineux de l’invasion à laquelle doit faire face l’Italie.
Dans un pays où la fierté d’en être est encore ressentie, vouloir réduire la nationalité à un simple fait bureaucratique déclenche de vives réactions.
Dans une société qui a fait du profit son moteur, notre survie en tant que civilisation paraît bien dérisoire…
La polémique concernant les liens entre ONG et trafiquants d’êtres humains ne désenfle pas malgré les dénégations des associations et du monde politique.
Qui osera encore contester le caractère orchestré de l’invasion migratoire ?
Convoquée pour un interrogatoire par les partisans de Tito qui, après la défaite du fascisme, déferlaient sur les marches orientales de l’Italie, elle fut séquestrée, torturée, violée par 17 bourreaux avant d’être jetée, encore vivante, dans une foiba…
À cheval entre le thriller et le film d’horreur…
Depuis le blocage du Diciotti, aucune embarcation n’a quitté les côtes libyennes.
Le lanceur d’œuf identifié n’est ni un féroce skinhead ni un cul-terreux de souche, mais… le fils d’un conseiller municipal du Parti démocrate ! Rires dans la salle.
L’extension de la saisie à toutes sommes futures perçues, et la sanction tombant avant la conclusion de l’enquête, laissent peu de doute sur les véritables motivations de cette affaire.
Les Italiens en ont, eux aussi, pris pour leur grade, notamment lorsque Macron a comparé leurs inquiétudes face à l’incroyable immigration de peuplement en acte à une épidémie de « lèpre ».
Dans une société qui a peur des mots et qui prend pour écart de langage toute expression de la réalité, il n’y a pas de doute : les dires du nouveau ministre de l’Intérieur italien, Matteo Salvini, ont de quoi choquer.
Un président de la République non élu par les citoyens vient d’interdire un gouvernement élu par le peuple.
Si le programme est qualifié de séditieux et d’irréalisable par les médias, il semble s’imposer comme tout à fait légitime dans l’esprit des citoyens.
Les violences antifascistes se sont intensifiées jusqu’au vil et brutal lynchage d’un représentant de Forza Nuova, mardi 20 février en plein centre de Palerme.
La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté.
Ce qui est, en fait, entré en crise n’est que le régime des partis institutionnels comme on le connaît depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais le système a plus d’un tour dans son sac.
On s’en donne à cœur joie pour tenter de dégommer les dernières bribes de coutumes et traditions enracinées des peuples autochtones.
La région d’Émilie-Romagne vient, elle aussi, d’entamer des négociations avec le gouvernement pour demander plus d’autonomie, toujours dans le cadre de la Constitution.
Le projet d’une nouvelle loi sur l’antifascisme (il y en a déjà deux) a saturé l’espace audiovisuel des dernières semaines.
L’actualité de ces dernières semaines aura – de nouveau – mis à dure épreuve les discours angéliques sur les bienfaits de l’immigration.
Un Italien sur deux en est désormais convaincu : les Organisations non gouvernementales opérant en Méditerranée seraient en collusion avec les passeurs.
L’actuel ministre de l’Intérieur Marco Minniti n’a pu que les confirmer lors d’une interrogation parlementaire sur le sujet.
Voilà le rythme vertigineux de l’invasion à laquelle doit faire face l’Italie.
Dans un pays où la fierté d’en être est encore ressentie, vouloir réduire la nationalité à un simple fait bureaucratique déclenche de vives réactions.
Dans une société qui a fait du profit son moteur, notre survie en tant que civilisation paraît bien dérisoire…
La polémique concernant les liens entre ONG et trafiquants d’êtres humains ne désenfle pas malgré les dénégations des associations et du monde politique.
Qui osera encore contester le caractère orchestré de l’invasion migratoire ?