Après l'attentat, jeudi soir, toutes sortes d'informations ont rapidement circulé. Nombre d'entre elles ont dû être démenties ou rectifiées.

Pour Jean-Yves Le Gallou, des agence de presse majeures comme l'AFP et Reuters - reprises par de nombreux médias - ont commis de graves imprudences : si l'on ne peut pas parler d'attentat djihadiste tant qu'on ne dispose pas d'éléments pour le justifier, on ne peut pas non plus évoquer un vol de sac à main ou un braquage sans rien pour l'étayer.

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21 avril 2017 à 22:32

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