Vendredi lecture
Une héroïne qui tient un peu d’Athalie, beaucoup de Candide et un peu encore du Comte de Monte-Cristo.
Pour Hazony, Israël fut le premier État-nation du monde.
Au contact du risque islamique, ce nationaliste corse redéfinit sa défense de l’identité corse.
Les JO 2024 : une future « affaire d’État » ?
Dans une époque de déculturation généralisée qui laisse sa place à la violence, qu’espérer du débat politique ?
Contre le progressisme, le combat passera aussi par l’aspect économique, nerf de la guerre.
Traduit dans plus de vingt pays avant même sa parution en France, c’est un phénomène international, et pourtant…
À l’heure où l’islamisme nous gagne, on peut lire ce livre avec profit.
Provincial revendiqué et issu d’une modeste lignée, Pascal Thomas a toujours méprisé les coteries parisiennes.
Noémie Halioua appelle à résister contre le nouveau puritanisme des féministes.
Comment sauver notre liberté de penser ? C’est à cette réflexion que nous invite Eugénie Bastié, grand reporter au Figaro bien connue de nos lecteurs,
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait Muray.
L’Histoire et la France refusent avec vigueur le devoir qu’on leur impose de mourir dans l’indignité.
Dans Les Combattantes de l’info, Gérard Bardy tire le portrait de dix femmes qui osent défier le système médiatique.
Dans Le Sceptre et la Plume (Perrin), Bruno de Cessole dresse une formidable galerie d’hommes de lettres et de pouvoir.
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Ce grand détournement du droit d’asile est le fruit d’années de travail d’associations d’extrême-gauche subventionnées.
L’homme liquide, sans racine ni famille, sans soutien ni barrière, véritable « chair à slogans » mortifères.
Du temps d’Homère, ceux qui avaient le droit d’écrire étaient des génies. Ce n’était peut-être pas plus mal.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Alors que la France n’en finit plus de se déchristianiser, les moines, eux, continuent – à défaut de faire rêver – au moins d’intriguer.
En plus d’une écriture enlevée, souvent drôle, et d’un certain nombre de péripéties qui se lisent d’une traite, l’auteur soulève des questions philosophiques centrales pour notre civilisation moderne.
Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.
C’est bien plus qu’une bande dessinée qui nous est proposée ici, c’est un outil de réflexion pour le plus grand nombre, outre ses qualités de thriller.
Une héroïne qui tient un peu d’Athalie, beaucoup de Candide et un peu encore du Comte de Monte-Cristo.
Pour Hazony, Israël fut le premier État-nation du monde.
Au contact du risque islamique, ce nationaliste corse redéfinit sa défense de l’identité corse.
Les JO 2024 : une future « affaire d’État » ?
Dans une époque de déculturation généralisée qui laisse sa place à la violence, qu’espérer du débat politique ?
Contre le progressisme, le combat passera aussi par l’aspect économique, nerf de la guerre.
Traduit dans plus de vingt pays avant même sa parution en France, c’est un phénomène international, et pourtant…
À l’heure où l’islamisme nous gagne, on peut lire ce livre avec profit.
Provincial revendiqué et issu d’une modeste lignée, Pascal Thomas a toujours méprisé les coteries parisiennes.
Noémie Halioua appelle à résister contre le nouveau puritanisme des féministes.
Comment sauver notre liberté de penser ? C’est à cette réflexion que nous invite Eugénie Bastié, grand reporter au Figaro bien connue de nos lecteurs,
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Il faut du courage pour affronter le « camp du bien » et ses « matons de Panurge », comme les appelait Muray.
L’Histoire et la France refusent avec vigueur le devoir qu’on leur impose de mourir dans l’indignité.
Dans Les Combattantes de l’info, Gérard Bardy tire le portrait de dix femmes qui osent défier le système médiatique.
Dans Le Sceptre et la Plume (Perrin), Bruno de Cessole dresse une formidable galerie d’hommes de lettres et de pouvoir.
Samuel Fitoussi analyse analyse avec précision « l’asservissement de la fiction à l’idéologie woke ».
Ce grand détournement du droit d’asile est le fruit d’années de travail d’associations d’extrême-gauche subventionnées.
L’homme liquide, sans racine ni famille, sans soutien ni barrière, véritable « chair à slogans » mortifères.
Du temps d’Homère, ceux qui avaient le droit d’écrire étaient des génies. Ce n’était peut-être pas plus mal.
Sa liberté sur ces sujets délicats n’est donc pas celle du fou mais celle du savant. Il a le courage d’en user en conscience dans un domaine (un de plus) dans lequel le moindre écart, la moindre erreur, la moindre divergence vous vaut aussitôt l’enfer médiatique.
Avec beaucoup de sens didactique, et même de patience, Alexis Rostand dédiabolise la finance, explique que la pratique des vertus peut la faire avancer dans le bon sens…
Avec Roselyne Bachelot, le désastre culturel prend un tour jubilatoire.
Alors que la France n’en finit plus de se déchristianiser, les moines, eux, continuent – à défaut de faire rêver – au moins d’intriguer.
En plus d’une écriture enlevée, souvent drôle, et d’un certain nombre de péripéties qui se lisent d’une traite, l’auteur soulève des questions philosophiques centrales pour notre civilisation moderne.
Néanmoins, on voit et on comprend à quel point le combat des idées n’est pas « une défaite à nuancer », pour reprendre les termes de l’auteur, mais bel et bien une victoire.
C’est bien plus qu’une bande dessinée qui nous est proposée ici, c’est un outil de réflexion pour le plus grand nombre, outre ses qualités de thriller.