Progressisme
Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
L’Europe, telle que la façonnent aujourd’hui les progressistes (Macron en tête), prend toujours plus la forme d’un projet idéologique.
Des propositions actuellement au stade embryonnaire, certes, de la science-fiction sociétale.
La vidéo d’Éric Zemmour nous confronte, par effet de contraste, non à un passé mythifié, mais à un processus de décivilisation.
La Grèce antique, les empereurs romains : annulés.
Cette guerre d’un nouveau genre utilise l’idéologie, la culture, la finance, l’immigration de masse et, plus généralement, le contrôle de l’information par l’intermédiaire des grands médias.
Ainsi, donc, émerge une censure, voire une autocensure, imposée par cette génération qui, à défaut d’avoir été instruite correctement, se retrouve complètement déracinée, mondialisée et biberonnée aux idéologies progressistes.
Les mesures liberticides d’ampleur exceptionnelle prises en France, bien plus sévères que partout ailleurs, ne se justifient que par l’incompétence de ce gouvernement à adapter notre système de santé au risque, alors qu’il a disposé de huit mois pour améliorer les capacités hospitalières !
Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.
Si c’est ça, le monde de demain, on admettra que celui d’hier ne manquait pas d’un certain charme. Nous sommes, d’ailleurs, quelques milliards de Terriens à le penser.
Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l’a de moins en moins incarnée.
Il est urgent de forger un progressisme de droite.
Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
L’Europe, telle que la façonnent aujourd’hui les progressistes (Macron en tête), prend toujours plus la forme d’un projet idéologique.
Des propositions actuellement au stade embryonnaire, certes, de la science-fiction sociétale.
La vidéo d’Éric Zemmour nous confronte, par effet de contraste, non à un passé mythifié, mais à un processus de décivilisation.
La Grèce antique, les empereurs romains : annulés.
Cette guerre d’un nouveau genre utilise l’idéologie, la culture, la finance, l’immigration de masse et, plus généralement, le contrôle de l’information par l’intermédiaire des grands médias.
Ainsi, donc, émerge une censure, voire une autocensure, imposée par cette génération qui, à défaut d’avoir été instruite correctement, se retrouve complètement déracinée, mondialisée et biberonnée aux idéologies progressistes.
Les mesures liberticides d’ampleur exceptionnelle prises en France, bien plus sévères que partout ailleurs, ne se justifient que par l’incompétence de ce gouvernement à adapter notre système de santé au risque, alors qu’il a disposé de huit mois pour améliorer les capacités hospitalières !
Un ensemble horizontal d’idéologies mondiales, unies vers celle du progrès par la science, s’est substitué à une religion verticale universelle qui se vit à travers les traditions locales. Pour s’immiscer dans une société française désassemblée, atteinte de babélisme.
Si c’est ça, le monde de demain, on admettra que celui d’hier ne manquait pas d’un certain charme. Nous sommes, d’ailleurs, quelques milliards de Terriens à le penser.
Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l’a de moins en moins incarnée.
Il est urgent de forger un progressisme de droite.