Pierre Palmade
L’épineuse question de la personnalité juridique du fœtus s’est invitée au cœur du procès Palmade ultra médiatique.
L’humoriste avait blessé grièvement trois membres d’une famille et causé la mort d’un fœtus lors d’un accident, en 2023
Un curieux timing.
L’enfant est « né vivant et viable » à 22 h 18 avant d’être déclaré mort par les médecins à 22 h 51.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a statué le lundi 27 février.
La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.
Le sexe et l’aide aux migrants : sujet tabou.
Ne ratons pas cette occasion, ne gâchons pas cet avertissement au prix terrible. Il nous faut retrouver l’énergie d’affirmer que la volonté est la noblesse d’une existence.
Comme si l’État avait tout misé sur la très rentable répression des petits excès de vitesse…
Entre une Assemblée chauffée à blanc par une impopulaire réforme des retraites et une guerre qui s’intensifie entre la Russie et l’Ukraine, l’actualité a été riche, cette semaine.
Il voudrait renommer les accidents mortels dus à la drogue et à l’alcool en « homicides routiers ».
L’émission de Barthès et sa bande est revenue sur l’affaire Palmade. Mais attention, pas au sens où on aurait pu l’entendre. Il s’est agi, en réalité, d’un florilège sur la banalité du mal.
Ce déversement de haine participe au climat délétère qui règne en France contre les riches, les politiques, les vedettes et tous ceux qui jouissent d’une notoriété.
On a de la compassion à revendre, dans ce milieu-là.
En réalité, il y aurait trop de danger pour le camp de la bien-pensance à reconnaître le fœtus comme une personne à part entière.
L’épineuse question de la personnalité juridique du fœtus s’est invitée au cœur du procès Palmade ultra médiatique.
L’humoriste avait blessé grièvement trois membres d’une famille et causé la mort d’un fœtus lors d’un accident, en 2023
Un curieux timing.
L’enfant est « né vivant et viable » à 22 h 18 avant d’être déclaré mort par les médecins à 22 h 51.
La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris a statué le lundi 27 février.
La barbarie. Nous y glissons dans l’aveuglement général.
Le sexe et l’aide aux migrants : sujet tabou.
Ne ratons pas cette occasion, ne gâchons pas cet avertissement au prix terrible. Il nous faut retrouver l’énergie d’affirmer que la volonté est la noblesse d’une existence.
Comme si l’État avait tout misé sur la très rentable répression des petits excès de vitesse…
Entre une Assemblée chauffée à blanc par une impopulaire réforme des retraites et une guerre qui s’intensifie entre la Russie et l’Ukraine, l’actualité a été riche, cette semaine.
Il voudrait renommer les accidents mortels dus à la drogue et à l’alcool en « homicides routiers ».
L’émission de Barthès et sa bande est revenue sur l’affaire Palmade. Mais attention, pas au sens où on aurait pu l’entendre. Il s’est agi, en réalité, d’un florilège sur la banalité du mal.
Ce déversement de haine participe au climat délétère qui règne en France contre les riches, les politiques, les vedettes et tous ceux qui jouissent d’une notoriété.
On a de la compassion à revendre, dans ce milieu-là.
En réalité, il y aurait trop de danger pour le camp de la bien-pensance à reconnaître le fœtus comme une personne à part entière.
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