Édouard Philippe
Les chiffres rapportés ont de quoi laisser le contribuable sans voix, surtout à l’heure où on lui annonce de nouvelles ponctions sur son modeste budget.
Cette fluidité est la marque de fabrique du macronisme : Macron n’est, en fait, qu’une jeune pousse des cabinets ministériels socialistes aux abois.
On ne se bouscule donc plus au portillon du pouvoir. Cinq ministres pressentis auraient déjà décliné l’invitation.
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Encore une start-up qui part à la godille.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
on ne pouvait qu’être frappé, au cours de toutes les séquences qui l’ont opposé à d’autres qu’aux journalistes – hôpital, maire, retraitée – puis à Laurent Wauquiez, par le malaise qui l’habitait
Guillaume Bernard analyse, en exclusivité pour Boulevard Voltaire, le débat entre Laurent Wauquiez et le Premier ministre Édouard Philippe. Pour lui, c’était « un débat de
…comment relever le niveau de l’enseignement avec moins de professeurs et moins d’enseignements disciplinaires ?
…la trahison politique n’a de sens ni d’intérêt que dans un monde où la victoire est certaine ou probable.
Et dire qu’on nous exhorte à faire des « efforts » !
…il est difficile d’identifier la valeur ajoutée qu’il apportera à ce poste infiniment désiré par rapport aux diplomates qui auraient pu l’espérer sans avoir démérité.
Afficher avec une suffisance provocatrice une politique de fracture sociale est évidemment un contresens…
On a donc le droit de tout faire si on n’est pas mis en examen !
Comment donner chair à un ectoplasme…
… un sentiment d’injustice et de relégation par rapport à d’autres zones géographiques et d’autres couches de la société que l’État se garde bien de « fliquer » ainsi et d’attaquer au portefeuille.
En effet, au mois de juillet de cette année, le nombre de véhicules flashés sur les routes a été multiplié par 2,1 par rapport au mois de juillet 2017.
Il paraît que le drone qui survolait Brégançon est tombé à l’eau. Il semblerait que ce ne soit pas le cas des affaires embarrassantes qui s’accumulent pour l’Élysée.
Le coup est parti d’un petit camarade qui adore être au premier rang lui aussi mais qui a su se faire très discret durant l’affaire Benalla.
« Il n’y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre », dit la sagesse populaire.
Depuis, le chevalier blanc devenu roi s’accroche aux branches en chutant de l’une à l’autre.
Ce juppéiste, devenu conseiller stratégique de François Fillon, a bien accepté de devenir Premier ministre d’Emmanuel Macron : il ne perdrait pas sa dignité s’il venait à changer d’opinion sur la limitation de vitesse.
Le ministre de l’Intérieur a déjà compris que son protégé se ferait coincer sur des choses qu’il juge comme des détails : le 80 km/h,
Une fois de plus, nous avons droit à toute une série d’annonces qui ne sont ni financées ni réellement planifiées.
Nos dirigeants, ayant intégré le fait que la France est désormais devenue une « puissance moyenne » (Valéry Giscard d’Estaing dixit), la langue de Molière a pu devenir au passage un dialecte optionnel.
Sur la question de l’immigration, le Président Macron tente de faire tourner son « en même temps » à plein régime : il ne veut pas de l’Aquarius mais il crie haro sur l’Italie et, au final, accueille une bonne partie de ses migrants…
Seuls les Français sont habilités à le faire : chaque fois qu’ils en auront l’occasion et, pour commencer, aux prochaine
Car c’est au nom de la « pédagogie » qu’il convient d’éduquer les électeurs afin de les aider à viser le tableau d’honneur et éviter les comportements déviants…
Les chiffres rapportés ont de quoi laisser le contribuable sans voix, surtout à l’heure où on lui annonce de nouvelles ponctions sur son modeste budget.
Cette fluidité est la marque de fabrique du macronisme : Macron n’est, en fait, qu’une jeune pousse des cabinets ministériels socialistes aux abois.
On ne se bouscule donc plus au portillon du pouvoir. Cinq ministres pressentis auraient déjà décliné l’invitation.
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Encore une start-up qui part à la godille.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
on ne pouvait qu’être frappé, au cours de toutes les séquences qui l’ont opposé à d’autres qu’aux journalistes – hôpital, maire, retraitée – puis à Laurent Wauquiez, par le malaise qui l’habitait
Guillaume Bernard analyse, en exclusivité pour Boulevard Voltaire, le débat entre Laurent Wauquiez et le Premier ministre Édouard Philippe. Pour lui, c’était « un débat de
…comment relever le niveau de l’enseignement avec moins de professeurs et moins d’enseignements disciplinaires ?
…la trahison politique n’a de sens ni d’intérêt que dans un monde où la victoire est certaine ou probable.
Et dire qu’on nous exhorte à faire des « efforts » !
…il est difficile d’identifier la valeur ajoutée qu’il apportera à ce poste infiniment désiré par rapport aux diplomates qui auraient pu l’espérer sans avoir démérité.
Afficher avec une suffisance provocatrice une politique de fracture sociale est évidemment un contresens…
On a donc le droit de tout faire si on n’est pas mis en examen !
Comment donner chair à un ectoplasme…
… un sentiment d’injustice et de relégation par rapport à d’autres zones géographiques et d’autres couches de la société que l’État se garde bien de « fliquer » ainsi et d’attaquer au portefeuille.
En effet, au mois de juillet de cette année, le nombre de véhicules flashés sur les routes a été multiplié par 2,1 par rapport au mois de juillet 2017.
Il paraît que le drone qui survolait Brégançon est tombé à l’eau. Il semblerait que ce ne soit pas le cas des affaires embarrassantes qui s’accumulent pour l’Élysée.
Le coup est parti d’un petit camarade qui adore être au premier rang lui aussi mais qui a su se faire très discret durant l’affaire Benalla.
« Il n’y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre », dit la sagesse populaire.
Depuis, le chevalier blanc devenu roi s’accroche aux branches en chutant de l’une à l’autre.
Ce juppéiste, devenu conseiller stratégique de François Fillon, a bien accepté de devenir Premier ministre d’Emmanuel Macron : il ne perdrait pas sa dignité s’il venait à changer d’opinion sur la limitation de vitesse.
Le ministre de l’Intérieur a déjà compris que son protégé se ferait coincer sur des choses qu’il juge comme des détails : le 80 km/h,
Une fois de plus, nous avons droit à toute une série d’annonces qui ne sont ni financées ni réellement planifiées.
Nos dirigeants, ayant intégré le fait que la France est désormais devenue une « puissance moyenne » (Valéry Giscard d’Estaing dixit), la langue de Molière a pu devenir au passage un dialecte optionnel.
Sur la question de l’immigration, le Président Macron tente de faire tourner son « en même temps » à plein régime : il ne veut pas de l’Aquarius mais il crie haro sur l’Italie et, au final, accueille une bonne partie de ses migrants…
Seuls les Français sont habilités à le faire : chaque fois qu’ils en auront l’occasion et, pour commencer, aux prochaine
Car c’est au nom de la « pédagogie » qu’il convient d’éduquer les électeurs afin de les aider à viser le tableau d’honneur et éviter les comportements déviants…