Ils dénoncent une concurrence déloyale, une paperasserie kafkaïenne, des normes ubuesques, un écologisme dictatorial.
Lire la suite »« On m'a traité comme un délinquant. » Pour avoir curé ses fossés, un éleveur a été convoqué, auditionné et sanctionné.
Lire la suite »Les femmes sont très présentes dans le mouvement de colère.
Lire la suite »La colère des agriculteurs gronde aux portes de Paris depuis lundi. Le Premier ministre du gouvernement Gabriel Attal, s’est adressé aux paysans dans une tentative d’apaisement : « Ce n’est pas normal que vous soyez empêchés d’utiliser certains produits, et que des pays voisins eux les utilisent, et que ça arrive ensuite chez vous. » En dénonçant cette concurrence déloyale directe, il semblerait de prime abord qu’il ait entendu les revendications des travailleurs de la terre. Ces derniers demandent la simplification des normes environnementales, une meilleure rémunération et la mise en place de leviers pour compenser la taxation du gazole non routier. Des ressources énergétiques aux productions agricoles, il n’y a qu’un pas Pourtant, à Bruxelles, les députés européens ont voté, à 66 voix contre 12 ,et 4 abstentions, pour un accord entre l’Union Européenne et le Chili. Ce traité prévoit la réduction de 99,9 % des droits de douane entre l’Union Européenne et le Chili. Dans le cadre d’une volonté de transition écologique vers une énergie plus propre, l’importation du lithium, minéral essentiel à la fabrication de batteries électriques justifiait cet accord facilitant l’échange de ces ressources. Pourtant, les exportations du Chili vers l’Hexagone représentent 9.000 tonnes de porc…
Lire la suite »Il y a belle lurette que l’Union européenne n’est plus qu’un « canton » du mondialisme.
Lire la suite »Culotté, celui qui n'est pas tout à fait étranger à l'importante crise qui déchire aujourd'hui le monde agricole...
Lire la suite »Comment Gabriel Attal se sortira-t-il des ronces de ces « injonctions contradictoires » ?
Lire la suite »Vendredi 26 janvier, le Premier ministre, Gabriel Attal, s'est rendu en Haute-Garonne, accompagné de Marc Fesneau, ministre de l'Agriculture, et de Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Des annonces ont été faites, notamment celle de renoncer à la hausse de la taxe sur le gazole non routier (GNR). Jérôme Bayle, figure de la révolte paysanne dans le Sud-Ouest, après avoir rencontré Gabriel Attal, annonçait la levée du blocage de l'autoroute A64 à Carbonne (Haute-Garonne). Ce samedi 27 janvier, il expliquait, au micro de BFM TV, qu'il avait obtenu gain de cause sur les revendications avancées. Sera-t-il suivi et... Ce sondage a été clôturé. Voici les résultats. 2697 lecteurs ont répondu au sondage. 2238 83 % OUI 392 14 % NON 67 3 % Ne se prononce pas
Lire la suite »Pendant ce temps, la France d’en bas, juchée sur ses tracteurs, manifeste.
Lire la suite »Quand le malaise est tellement profond, même les mesures de bon sens de Gabriel Attal ne suffisent plus.
Lire la suite »L’un des points positifs pourrait être la fin de l'instrumentalisation des forces de l’ordre lors des conflits sociaux.
Lire la suite »Dans l’effondrement général du pays, toutes les impérities se télescopent et entrent en collision.
Lire la suite »Hausse des coûts, des charges, des normes : nos agriculteurs nous nourrissent mais se meurent.
Lire la suite »« Révolte agricole : après l’Allemagne, la France ? », se demandait Sabine de Villeroché, le 11 janvier dernier. Des milliers de tracteurs ont en effet convergé vers les grandes villes allemandes pour protester contre le projet de supprimer l'avantage fiscal sur le diesel. En France, depuis des mois, comme nous le rappelle Frédéric Sirgant ici même, les agriculteurs retournent les panneaux d'entrée de nos villes et villages pour protester contre la « fiscalité environnementale punitive » mais, depuis quelques jours, la pression monte, notamment dans le Sud-Ouest où l'on assiste à des blocages d'entrées d'autoroute. Une révolte paysanne comme notre pays en a tant connu dans son histoire, mais dont il est difficile de prédire si elle peut prendre de l'ampleur, se transformer en vaste mouvement, comparable à celui des gilets jaunes, ou bien si elle ne sera qu'un feu de paille au milieu de l'hiver. Et vous… Ce sondage a été clôturé. Vous avez été très nombreux à répondre à notre question : 5.479 ! L'immense majorité (5.542 lecteurs, soit 99 %) apporte son soutien à nos agriculteurs.
Lire la suite »Macron se retrouve en première ligne, avec un Gabriel Attal dont l'expérience du monde agricole est inexistante.
Lire la suite »Nos agriculteurs sont bel et bien au cœur d'un enjeu politique majeur.
Lire la suite »Loin des paillettes, s'il y a bien une diversité qu'elle aimerait représenter, c'est celle de nos terroirs.
Lire la suite »On aura les Jeux, mais pas le pain qui va avec…
Lire la suite »On imagine les jours d’angoisse et les nuits sans sommeil de ce pauvre paysan.
Lire la suite »La misère paysanne n’est même pas « un sentiment » dans le cerveau de Madame Borne…
Lire la suite »Un texte nécessaire pour ces paysans que leurs nouveaux voisins s'emploient à tourmenter, voire à ruiner.
Lire la suite »Pour protester contre une politique agricole aberrante, des agriculteurs retournent les panneaux d’entrée des communes.
Lire la suite »"Il n’y a aucun système de protection contre la concurrence déloyale des viticulteurs espagnols."
Lire la suite »Marc Fesneau est-il le ministre de l’Agriculture en Ukraine ? Non. De l’Union européenne ? Non plus.
Lire la suite »Pourquoi un tel revirement ?
Lire la suite »Comme toute notre agriculture, la tomate est victime des coûts de production et des réglementations folles.
Lire la suite »Les agriculteurs, sous le choc, dénoncent l’impunité dont jouissent ces activistes écologistes radicaux.
Lire la suite »« Concrètement, les Néo-Zélandais vont pouvoir envoyer en Europe 38.000 tonnes de viande ovine sur 7 ans sans taxe »
Lire la suite »