Nouveaux festivals 2025 : cap sur l’inclusion et les identités « queer »
L’été culturel s’annonce militant avec les festivals Uniques et Les queers sont dans le pré.
Alors que les beaux jours reviennent, la saison des festivals refait elle aussi surface sous le soleil. Rock, électro, musique classique, théâtre, spectacle vivant, photographie : il y en a pour tous les goûts. Mais si la plupart de ces événements célèbrent l’art, la musique, la scène et les produits du terroir, certains mettent désormais l’accent sur un tout autre registre : inclusivité, diversité et esprit « queer ».
Un festival pour l’inclusion
Ainsi le festival « Uniques », qui se déroule depuis le jeudi 15 mai et jusqu’au samedi 17 mai, célèbre partout en France l’égalité des chances dans le monde du travail. Organisé pour la première fois, cette année, par l’association « Diversidays », qui « accélère les politiques de diversité et d’inclusion des entreprises de la Tech », le festival œuvre à l’insertion professionnelle des personnes handicapées ou plus âgées... comme de « toutes les personnes discriminées ou sous-représentées dans le secteur de la Tech ou les métiers du numérique ». Un projet qui ne dit pas complètement son nom mais dont on comprend les intentions à travers les associations qui y adhèrent : « Afrogameuses », « Jamais sans elles », « L’Autre Cercle », « l’AFMD », « Génération panasiatique », « Destins liés », « Sistech »... Autant de collectifs dont le fer de lance est la mise en avant des profils en fonction de leur sexe, leur origine ou leur orientation sexuelle. Il fallait, bien sûr, compter sur nos institutions pour s’associer à ce projet de grande échelle qui n’attend pas moins de 10.000 personnes au Parc floral de Paris, ce samedi 17 mai. En collaboration avec France Travail, le festival est soutenu par le ministère du Travail, celui de l’Économie, la région Occitanie et d’autres organisations financées par l’impôt des Français.
La culture « queer » à l’honneur
Dans le Lot, un autre festival viendra prolonger cette veine militante. « Les queers sont dans le pré » fera ses débuts dans le Lot, ce samedi 17 mai, à Corn et à Boussac. Cette fois, pas de doute sur l’ambiance qui règnera dans ces deux villages du Grand-Figeac.
Un programme « festif, militant et familial » attend les festivaliers, comme le revendique le très subventionné Planning familial, qui organise l’événement. Entre atelier drag, lectures pour enfants animées par de célèbres drag-queens, drag show, conférence populaire, atelier philo pour enfant, concours de pétanque, l’identité « queer » sera à l’honneur dans une ambiance qui se veut adaptée à toute la famille, mais au marqueur idéologique discutable. Les personnalités invitées à animer les différentes activités ne laissent d’ailleurs pas la place au doute : Bébé-gouine se produira donc dans un drag show aux côtés de Coco Damoiseau, Shanna Banana, Emil Subtiel ou encore Roméo di Gonzo qui s’affiche sur son compte Instagram dans des tenues et des positions érotiques ultra-suggestives dont on doute qu’elles soient adaptées pour des enfants.
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« Un joyeux programme », selon les organisateurs, qui réunit tout autant de profils subversifs et provocateurs, pour la plupart du temps à moitié dénudés, « dans un esprit de pédagogie et de célébration des identités plurielles ». L’inauguration de l’événement se fera en présence des maires de Corn et de Boussac, selon La Dépêche du Midi, auprès de qui la chargée d’administration Claire Buseyne a confié vouloir jouer sur « le lien entre ruralité et luttes LGBTQIA+ ».
En attendant, Christophe Blanc, viticulteur près de Bordeaux, se suicidait la semaine dernière au pied de ses vignes de trop de normes et d’isolement, cri de désespoir porté par de trop nombreux agriculteurs français depuis plusieurs années. Mais nos associations « inclusives » ont manifestement choisi d’autres priorités.
Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 19/05/2025 à 13:43.
Alienor de Pompignan
Journaliste
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Mélanie Grapinet est victime de l’effondrement de l’Éducation nationale
32 commentaires
Encore un truc surement subventionné par nos impôts, à fuir de toute façon ! A quand un festival des hétéros ?
C’est curieux cette manie, chez les LGBTQ+, Queer et Cie, de toujours quémander une reconnaissance. Vivez votre vie et foutez-nous la paix.
Est-ce que les autres demandent une reconnaissance de leur vie privée ?
On reste tétanisé face à toute cette infamie politique qu’il est urgent et vital de « dératiser » sans la moindre hésitation !
Théâtre, festival Woke, Lgbt.. des scènes vu relisez Asterix et le Chaudron magique.
C’est un monde qui se fini gouverné par des incapables que la démocratie grâce a des inconnus qui l’ont dévoyés, comment admettre que des fichés S ou une militante djihadiste a pu faire député Européenne soient élus c’est bien la preuve que le suffrage universel gageur de démocratie ne joue plus sont rôle.
La Macronie progressiste , ne supporte plus la résistance ferme mais discrète de la population provinciale . Il lui faut intensifier la propagande arc-en-ciel auprès des enfants . L’école ne leur suffit pas !
C’est fou comme la mode dirige et manipule les gens. On leur a dit de peindre tous les bâtiments en noir, ils le font. On leur a dit que les pratiques sexuelles « a-normales » sont la tendance, ils s’y précipitent. On leur a dit que le fascisme est d’extrême droite, ils le croient.
Seraient-ils lobotomisés ?
Résultat inéluctable de toute propagande suffisamment intense et prolongée auprès d’une population non instruite.
Ou instruite par des enseignants post-soixante-huitards ayant décidés de détruire le noyau familial , fondement de notre société .
Bien sûr qu’ils le sont. À quoi d’autre servirait l’éducation nationale ?